Avant-propos : « On peut débattre de tout, sauf des chiffres » (lorsqu’ils ne sont pas mensongers, bien sûr). Propagande gouvernementale reprise inlassablement en Octobre et Novembre 2021 par la « meute » des médias mainstream français… et abandonnée depuis parce que les chiffres deviennent dérangeants.
Il convient donc de faire parler les chiffres déclarés par les États eux-mêmes.
Remarques sur le tableau ci-dessus :
Avec près de 376,5 millions de tests positifs déclarés en 2022 dans une population mondiale de 8 milliards d’habitants qui avait déjà reçu 9,2 milliards de doses de vaccin en 2021, on réalise que la contamination n’a jamais été réduite par le vaccin, bien au contraire, puisqu’elle a été 4,5 fois plus importante en 2022 sur des populations vaccinées qu’en 2020 sans vaccin. Qui ne connaît pas parmi ses proches des gens double ou triple vaccinés qui ont attrapé le Covid en 2022 ?
Le slogan « Tous vaccinés, tous protégés » était donc un énorme mensonge répété ad nauseam par les pseudo-scientifiques, les politiques et leurs relais médiatiques.
La grande majorité des contaminations et des décès de l’année 2022 l’a été dans des pays très vaccinés d’Europe et d’Amérique du Nord (Voir les détails dans les tableaux qui suivront). L’Europe est d’ailleurs restée l’épicentre de l’épidémie depuis quinze mois, sans discontinuer, ce qui est la preuve que la stratégie du tout vaccinal n’y a jamais fonctionné. Elle ne compte que 9,5% de la population mondiale mais déclare encore sur les quinze derniers jours, 20% des tests positifs et un tiers des décès enregistrés sur la planète. C’est un fait difficilement contestable, même par les « déconneurs » du Monde ou de Libération qui ont réponse à tout.
Où est passé le miracle vaccinal en Europe ? Cherchez l’erreur.
Avec le variant Omicron (et ses sous-variants BA) très contagieux mais très peu létal, surtout et y compris dans les pays peu vaccinés d’Afrique ou d’Asie, le nombre de nouveaux cas quotidiens déclarés (pour la plupart Omicron) a été multiplié par 6 entre le 1er décembre 2021 et le 25 janvier 2022 (3,4 millions de cas/j). Il a ensuite été divisé par près de 8 pour s’établir aujourd’hui à 450 000 tests positifs /jour, (moyenne sur 7 jours) au 1er Jan 2023 0h00 GMT.
À l’approche du printemps et de l’été septentrional, le nombre de décès hebdomadaire avait fortement baissé entre la 2ème semaine de février 2022 (74 000 décès/sem) et le 21 juin 2022 pour s’établir à 9400 décès/semaine, un « plus bas » depuis plus de 2 ans Il a connu ensuite un rebond sur trois mois jusqu’à 17 300 décès/semaine en 2ème semaine d’août. Il est redescendu ensuite très doucement avec un léger rebond depuis 21 semaines pour s’établir autour de 13 000 décès/semaine aujourd’hui. Les tendances observées dans les deux hémisphères montrent une évolution de la Covid vers une maladie respiratoire saisonnière moins létale que la grippe.
Malgré une vaccination de masse menée tambours battants depuis début décembre 2020, l’épidémie aura été deux fois plus meurtrière en 2021 qu’en 2020 (contamination et nombre de décès) sur l’ensemble de la planète. La vaccination n’a donc pas fait reculer l’épidémie partout où elle a été appliquée en 2021 et, pour 2022, les chiffres de contamination ont été bien pire (multiplication par 4,5) et la mortalité, à peine meilleure, qu’en 2020, sans vaccin. Les pays en développement les moins vaccinés d’Afrique et d’Asie s’en sont, d’ailleurs, beaucoup mieux sortis, et se remettent plus vite que les pays développés les plus vaccinés : c’est un fait.
Alors même que l’efficacité du virus et de ses variants s’atténue avec le temps et que de nouveaux traitements précoces efficaces ont été découverts, la létalité de cette épidémie aurait dû reculer nettement avec l’apport de 13,2 milliards d’injections vaccinales pour une population de 8 milliards d’habitants ; injections vaccinales « vendues » par Big Pharma pour une efficacité de 90 à 95% sur les formes graves. Ça n’a manifestement pas été le cas au cours de l’année 2021 et le recul a été faible en 2022.
Contrairement aux promesses maintes fois répétées par les exécutifs et leurs relais médiatiques, promoteurs du vaccin, celui-ci n’a encore rendu à personne « sa vie d’avant ». Jamais les contraintes n’ont été aussi nombreuses et fortes, sur une durée de trois ans, pour un résultat aussi nul.
Et pourtant, comme toutes les autres épidémies avant elle, nouveaux variants ou pas, l’épidémie Covid-19 finit enfin par régresser naturellement sous l’effet de plusieurs facteurs :
• La prolifération des variants rend chacun d’entre eux moins létal au fil du temps. C’est le cas du Omicron et de ses derniers sous-variants.
• Le réservoir de personnes fragiles et atteintes de comorbidité, donc susceptibles de faire des formes graves de la Covid s’est progressivement « vidé » par décès des plus fragiles. On ne meurt pas deux fois…
• Dans de nombreux pays, une meilleure prise en charge des patients et l’apparition et l’application de nouveaux traitements précoces pour les personnes atteintes de la Covid ont réduit considérablement la mortalité liée à ce virus.
• L’immunisation naturelle d’une partie croissante de la population mondiale qui, testée ou non, a contracté la maladie et en a guéri, devrait également contribuer à la baisse de la létalité. À cet égard, le variant Omicron et ses sous-variants, très contagieux mais très peu létaux, ont joué le rôle d’un véritable vaccin naturel pour ceux qui ont contracté la maladie, sans être porteurs de multiples facteurs de co-morbidité.
Notons qu’avec la guerre en Ukraine qui impacte la planète entière, les médias ont un nouvel os à ronger. Les grands titres de l’actualité s’en trouvent considérablement changés mais les médias et les politiques continuent à surfer sur la peur et à manipuler l’opinion sur ce nouveau sujet. C’est d’ailleurs le rôle qui leur est attribué, dans tous les pays du monde, dans le cadre de leur participation à « la guerre de l’information ». En France, la campagne présidentielle a été largement occultée, elle aussi, par la crise ukrainienne, dont les conséquences risquent fort d’impacter nos vies beaucoup plus que la Covid-19, surtout si la gestion de cette crise est aussi maladroite et contre-productive que celle de la Covid-19, tant au niveau national qu’européen ou otanien, ce qui semble être le cas.
Vouloir régler les problèmes qui vont se poser en empruntant toujours plus d’argent, en vivant à crédit, en « sanctionnant » toujours plus ceux qui ne partagent pas le narratif dominant, sans prendre en compte les effets boomerang, ne sont pas des stratégies efficaces et durables, tant pour la crise sanitaire que pour la crise ukrainienne. L’explosion de la dette aura forcément une limite … et ne pourra qu’accélérer le déclassement de certains pays, dont le nôtre, déjà en cours.
Pour en revenir à la Covid-19, les données présentées par différents pays (UK, France, Israël, Italie) montrent que seulement 12% environ des décès attribués à la Covid peuvent être attribués uniquement à la Covid et de manière certaine. 88% des décès auraient donc pu être attribués à l’une ou l’autre des multiples comorbidités dont souffraient les patients décédés. Autrement dit, le nombre de 6,7 millions de décès sur trois ans est certainement surévalué, et pas qu’un peu. Il pourrait fort bien être de l’ordre de 1 millions qui, répartis sur trois ans, deviendrait un nombre dérisoire au niveau planétaire. De là à dire que cette « pandémie » a été plus médiatique et politique que réelle, il n’y a qu’un pas que je n’hésite plus à franchir.
***
Vidéos et documents « alternatifs » et intéressants sur la vaccination et la gestion de la crise sanitaires
1. Sur le professeur Raoult, Martine Wonner et quelques autres et sur la corruption de l’exécutif « en marche »
Un article de France Soir identifie pour nous les « chiens » subventionnés par Big pharma, encouragés et soutenus par le gouvernement, qui ont hurlé en meute pour déstabiliser et décrédibiliser le professeur Raoult. Les modalités de fonctionnement de cette « meute » et du « lynchage organisé » sont mises à jour. Des noms sont donnés que l’on n’oubliera pas lorsque le temps sera venu.
Ces règlements de compte par de petits, tout petits et minables personnages ne sont pas dignes de notre pays. Ils ont porté atteinte à la confiance que portaient les citoyens à la véritable science et à la médecine toute entière. Ces gueux malfaisants, souvent incompétents et corrompus, vivant des aumônes de Big Pharma, sans honneur, sans valeurs, sans conscience, sans foi ni loi, mais décorés à qui mieux mieux par l’exécutif, corrompu lui-même, pour leur soutien indéfectible, devront tôt ou tard rendre des comptes1.
Quant aux Conseils de l’Ordre régionaux et aux délateurs minables qui s’attaquent à tous ceux qui ont eu le courage d’exprimer une opinion discordante, honte à eux. Ils nous rappellent le fonctionnement du Conseil supérieur de la Médecine créé en octobre 1940 par le régime de Vichy et dont l’objectif était de recenser les médecins juifs dénoncés par leurs confrères. Ces conseils de l’ordre régionaux ou nationaux et ces délateurs qui perdent leur sang-froid ne grandissent ni leur image, ni l’image que de nombreux citoyens se faisaient de la médecine, de la science et surtout de leur indépendance. Ils puent la lâcheté, le conformisme et la corruption. Ils devront tôt ou tard répondre de leurs actes et faire l’objet d’une « épuration » lorsque le temps viendra de nettoyer les écuries d’Augias.
Honneur et respect, en revanche, aux Justes qui ont été les victimes de ces chasses aux sorcières dignes d’un régime totalitaire parce qu’ils ont eu le courage de s’exprimer et de nous dire leur part de vérité :
Martine Wonner, Alain Houppert, Alexandra Henrion-Caude, Louis Fouché, Luc Montagnier, Christian Perronne, Stéphane Gayet, Pauline Chaniat, Olivier Soulier, Eric Loridan, Laurent Toubiana, Didier Raoult, Laurent Mucchielli et bien d’autres que nous n’oublierons pas.
2. Sur la désinformation politique et médiatique qui a fortement marqué la gestion de l’épidémie dans le monde et en France
Un tableau récapitulatif vaut mieux qu’un long discours.
3. Sur la xième mise en examen pour tromperie de l’ANSM (Agence nationale de Sécurité du Médicament française)
Cet organisme est en charge de valider les médicaments mais aussi les vaccins et d’en surveiller les éventuels effets secondaires. Après sa mise en examen et sa condamnation en mars 2021 dans la triste affaire du Mediator ayant entraîné plus de 2000 décès, l’ANSM est à nouveau mise en examen, pour tromperie cette fois, dans l’affaire du levothyrox2.
À voir absolument : https://reseauinternational.net/effets-secondaires-la-face-cachee-des-vaccins
4. Réintégration des personnels suspendus non injectés
Dans une interview télévisée sur C8, madame Annie Duperey pousse un coup de gueule bienvenu pour dénoncer l’incommensurable bêtise de l’exécutif français et des autorités de santé. Elle est l’une des rares de sa profession ayant eu le courage de le faire.
Vidéo (2’) https://reseauinternational.net/anny-duperey-reintegrez-les-soignants
5. Sur les vaccins en général
Enfin une émission équilibrée, et donc inattaquable, sur une télévision mainstream : ARTE. Elle mérite le détour parce qu’elle pose les problèmes liés à la vaccination en toute honnêteté, sans idées préconçues propagandistes. On y voit une multitude de scientifiques, tous plus titrés les uns que les autres, parler d’un sujet qu’ils maîtrisent et on les entend émettre des réserves lorsque celles-ci doivent s’imposer.
Après l’explosion de la mortalité en Australie dans une population vaccinée à 86% et qui a pris les mesures de précaution les plus folles au monde, un sénateur australien s’insurge dans l’enceinte du Sénat, contre la gestion de la crise sanitaire dans son pays (très courte vidéo).
Le nouveau congrès républicain US supprime l’obligation vaccinale pour les militaires US3.
Cette décision importante survient après celle de La Cour suprême US prise en janvier dernier sur une décision illégale de l’exécutif états-uniens de Biden. Les contre-pouvoirs US fonctionnent mieux que ceux de notre pays. Le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel français, inféodés à l’exécutif, ont toujours validé ses décisions, si illégales soient elles4.
***
Quels sont, jusqu’à présent, les résultats planétaires de l’expérimentation vaccinale de masse ?
Source : Our World in Data : https://ourworldindata.org/covid-vaccinations
69,1% de la population mondiale aurait reçu au moins une dose d’un vaccin COVID-19 et 63,4% seulement seraient complètement vaccinés, représentant 5 milliards d’h.
13,2 milliards de doses auraient été administrées dans le monde (dont 9,2 milliards en 2021 et seulement 4 milliards en 2022). Cette évolution entre 2021 et 2022 montre clairement que les populations vaccinées refusent désormais massivement les deux « boosters » annuels qui leurs sont proposés pour conserver leur immunité « présumée ». 3,5 millions de doses seraient encore injectées chaque jour, en utilisant trop souvent des mesures coercitives, dans certains pays occidentaux notamment, qui voudraient se poser en modèle pour le reste du monde en accumulant les doses, alors qu’ils ont failli depuis le début dans la gestion de l’épidémie, en multipliant les erreurs d’appréciation.
25,9% seulement des habitants des pays à faible revenu, donc moins solvables, auraient reçu au moins une dose. Ce simple constat montre, s’il en était besoin, que la vaccination était avant tout une affaire de gros sous pour Big Pharma et ses relais corrompus et que les riches populations de la région Nord Atlantique intéressaient bien davantage l’OMS et les laboratoires pharmaceutiques que les populations les plus pauvres d’Afrique ou d’Asie.
Extrait d’un point de situation vaccinal planétaire au 1er janvier 2023 0h00 GMT :
À l’échelle planétaire, il y aura eu deux fois plus de décès Covid en 2021 avec le vaccin qu’en 2020 sans vaccin, alors même qu’il y a consensus scientifique pour admettre que le variant delta a été moins létal que ses prédécesseurs. Toutefois la Covid-19 semble désormais en extinction naturelle un peu partout, sans qu’on puisse attribuer cette amélioration au vaccin puisque les pays les plus vaccinés sont ceux où l’épidémie a reculé le moins vite (USA, Allemagne, Royaume Uni, Australie, Singapour, Israël, etc…) et que la mortalité de 2022 avec vaccin aura été supérieure à celle de 2020 sans vaccin dans de nombreux pays très vaccinés. (Croatie, Slovaquie, Grèce, Allemagne, Australie, Singapour, Israël, Islande, Norvège, Danemark, Finlande, Lettonie, Estonie, Lituanie, Portugal, Taïwan, Corée du Sud, Japon, etc…)
Il semble bien que le dernier variant Omicron, très contagieux mais très peu létal ait été, depuis le début de 2022, le vaccin naturel attendu.
On me rétorquera que la situation serait bien pire si l’on avait adopté d’autres stratégies de lutte contre la pandémie. C’est une affirmation commode et gratuite qui est, malheureusement, démentie par les faits (« On peut débattre de tout sauf des chiffres » nous ont répété inlassablement les médias, relayant le discours du gouvernement français.) Eh bien re-parlons chiffres !
Observations :
1. Au fil des années, il n’y a aucune corrélation entre le taux de vaccination et le taux de mortalité des différents continents. 2 à 3 fois moins vaccinée que l’Amérique latine, ou que l’Europe, l’Afrique déclare un taux de mortalité près de 15 fois moindre. Il est vrai que les traitements à la chloroquine ou à l’ivermectine y ont été pratiqués presque partout. C’est un constat observationnel irréfutable, réalisé à posteriori sur la base de chiffres officiels, « dont on ne peut débattre ».
2. Alors que les habitants de la planète sont de plus en plus vaccinés, la mortalité déclarée Covid de 2022 est restée forte avec un virus pourtant beaucoup moins létal. Exemples ? L’Océanie, vaccinée à 64%, a déclaré 4 fois plus de décès en 2022 que les nombres cumulés des deux années 2020 et 2021 et compte 18 fois plus de décès Covid en 2022 que durant toute l’année 2020, sans vaccin.
L’Europe, vaccinée à 70% est restée en 2022, a un taux de mortalité à peine inférieur à celui de l’année 2020 (sans vaccin) avec un variant Omicron beaucoup moins létal. Où est donc passé le miracle vaccinal annoncé à 95% d’efficacité sur les formes graves. Même les plus cons des citoyens du monde commencent à s’apercevoir qu’ils ont été dupés par la propagande politique et médiatique et à réagir en refusant massivement les « boosters » qui ne boostent rien d’autre que les finances de Big Pharma.
3. En Suède, aucune des prédictions apocalyptiques des experts autoproclamés ne s’est réalisée : 96 000 décès en un seul mois prévus par les « experts » en mars 2020 ? Dans la vraie vie : 21 800 décès en trois ans bilan réalisé sans aucune des mesures folles que la France a connues. La Suède, plus âgée et moins vaccinée que la France, a un taux de mortalité de 20% inférieur à celui de notre pays et de la moyenne européenne … Eh ! les médias mainstream … Quelle est la valeur des prédictions scientifiques de monsieur Ferguson ? Pouvez-vous rappeler cela de temps à autre à votre lectorat ou à votre audience ?
4. En Islande, en Israël, au Japon, à Taïwan, au Royaume Uni, en Allemagne, aux États-Unis, aux pays baltes à Singapour, en Australie (etc…) pays supposés être parmi les plus immunisés ou protégés au monde par le vaccin (entre 72% et 95%) ou par la guérison de la maladie, la contamination et/ou la mortalité ont été plus élevées, en moyenne en 2022, que dans les années précédentes, y compris parmi les doubles ou triples vaccinés (voire, en Israël, parmi les vaccinés à quatre ou cinq doses).
Ainsi, à Singapour (6 millions d’habitants vaccinés à 95%), la mortalité a augmenté très fortement sur les quinze derniers mois montrant la totale inefficacité vaccinale. D’octobre 2021 à décembre 2022, le nombre des décès des Singapouriens, parmi les plus vaccinés au monde, a été multiplié par onze, comparé aux pertes cumulées des années 2020 et 2021 et par 60 comparée aux pertes de l’année 2020 sans vaccin ???
Situation de la mortalité Covid à Singapour aujourd’hui vaccinée à 91% : « On peut débattre de tout sauf des chiffres » « tous vaccinés, tous protégés » qu’ils disaient sur toutes les télés françaises.
26 janvier 2022, le nombre de nouveaux cas est passé de 595 à 72 014/jour (Moyenne sur 7 jours) soit une multiplication par 121 en 6 semaines sur une population très vaccinée.
Entre le 30 décembre 2021 et le 4 février 2022, le nombre de décès en Israël est passé de 1 à 73 décès/jour (Moyenne sur 7 j). Le record absolu du nombre de décès/J a été battu dans un pays vacciné à 72% (et bien davantage pour les personnes fragiles) et dans lequel 51% des habitants ont déjà été testés positifs et devraient donc avoir une immunité naturelle.
Avec 57 cas critiques aujourd’hui, Israël aura encore des pertes dans les jours à venir. Une forte majorité des hospitalisations concerne aujourd’hui des personnes âgées, double, triple, ou quadruple vaccinées.
Au Royaume Uni, après un plus bas à 59 décès/jour le 2 mars 2022, la mortalité est repartie à la hausse, a été multipliée par 4 et a atteint les 273 décès/j (moyenne sur 7 jours) le 25 avril 2022 malgré la multiplication des injections vaccinales ???. Elle est ensuite redescendue très lentement pour s’établir à 46 décès/J le 17 juin. Puis elle a rebondi progressivement à 175 décès/J le 27 juillet et elle est à nouveau redescendue jusqu’à 59 décès/J au 29 septembre 2022. Depuis cette date, elle est repartie à la hausse durant 1 mois pour s’établir à 142 décès/J le 24 octobre. Elle est en légère amélioration depuis cette date. Depuis le 24 décembre 2022, le Royaume-Uni a trouvé le meilleur moyen pour mettre un terme à l’épidémie. Il ne déclare plus ses décès Covid.
La proportion de vaccinés et de non vaccinés dans les hospitalisations est la même que dans la population générale. Constatant que la stratégie du tout vaccinal et des mesures contraignantes et liberticides ne porte pas le moindre fruit, le gouvernement britannique y a renoncé en abandonnant toutes les mesures qu’il avait prises et en adoptant la stratégie du « vivre avec ». La crise économique et énergétique liée à la gestion jusqu’au-boutiste de la crise ukrainienne et aux sanctions boomerang prise par le Royaume-Uni devrait alourdir son bilan Covid. Le cap des 200 000 décès devrait être franchi dans la première semaine de 2023 si le Royaume Uni se remet à déclarer ses décès Covid.
5. Curieusement, et c’était une autre exception française, il n’y avait, selon les déclarations officielles, que des non vaccinés dans les réanimations et dans les décès enregistrés en France (80% selon le narratif officiel…). Ces proportions ont été revues fortement à la baisse puis ont disparu du narratif médical, politique et médiatique. Curieusement aussi, aucun des nombreux effets secondaires recensés dans d’autres pays ne semblait apparaître pas en France et leur nombre, largement sous-évalué, n’est plus vraiment porté à la connaissance du grand public par les médias depuis juillet 2021. Il ne faut pas parler des choses qui fâchent.
Les chiffres de mortalité Covid et l’omerta sur les effets secondaires étant ce qu’ils sont, il devient légitime de s’interroger sur l’absence d’efficacité et de miracle vaccinal. « Le vaccin ne favorise-t-il pas la contamination et ne tue-t-il pas, in fine, plus qu’il ne protège ? »
En clair, le slogan des médias français « On peut débattre de tout sauf des chiffres »relevait de la manipulation et de la farce grossière dans la mesure où le chiffre annoncé (80% de non vaccinés dans les réanimations) était faux. Et ce pourcentage était faux parce qu’il était très loin d’être cohérent avec ceux qui nous venaient du monde entier en provenance de pays qui connaissaient la même situation que nous.
En clair aussi, le slogan répété inlassablement par les politiques et leurs relais médiatiques : « Tous vaccinés, tous protégés » apparaît chaque jour un peu plus mensonger et contre-productif.
Mensonger parce que ça n’a jamais été vrai à l’échelle mondiale, si l’on en croit l’évolution actuelle de l’épidémie dans les pays les plus vaccinés. Les produits injectés, élaborés à la hâte, et toujours en expérimentation, ont peut-être été conçus pour contrer le virus souche de Wuhan. Ils ne semblent pas adaptés ni très efficaces pour contrer les nouveaux variants et peut être ceux qui pourraient encore apparaître ou pour contrer les effets de l’âge et du surpoids qui affectent la santé des occidentaux.
Contre-productif parce que les plus crédules des vaccinés se croient « immunisés » par une 3ème ou 4ème dose, voire un QR code, et ne respectent plus les précautions élémentaires nécessaires en cas d’épidémie. Ces gens-là deviennent, avec la bénédiction des autorités politiques et de santé, de véritables dangers publics pour la santé de la population, vaccinée ou non.
Observations factuelles :
En 2022, la mortalité Covid planétaire a culminé à 11 049 décès/jour le 9 février 2022. Elle a diminué progressivement, ensuite, jusqu’au 21 juin (1304 décès/J) puis elle a connu un léger rebond culminant à 2592 décès jours le 10 août. Depuis cette date, elle baisse à nouveau progressivement pour s’établir à 1500 décès/ jour (moyenne sur 7j) au 31 décembre 2022 (0h00 GMT. L’année 2022 n’aura donc pas été très bonne en termes de mortalité déclarée : 1,24 millions de décès en 2022 après 13,2 milliards de doses de vaccins injectées (???).
La moyenne hebdomadaire de 24 000 décès pour l’année 2022 est restée beaucoup plus élevée que prévue. On réalise là toute « l’efficacité » (???) des campagnes vaccinales qui auraient dû faire reculer le virus et combattre les formes graves de la maladie … On peut débattre de tout, sauf des chiffres.
Les pays les plus pauvres, dont 34% seulement de la population seraient vaccinés, sont ceux qui affichent les taux de mortalités Covid les plus faibles (inférieurs à 1, mais le plus souvent à 0,5 pour mille). « On peut débattre de tout sauf des chiffres »…
Les pays les plus riches, les plus « avancés », les plus vaccinés (de 70% à 98%), les plus assistés médicalement, mais aussi les plus âgés, les plus fragiles, les plus touchés par le surpoids et l’obésité, sont ceux qui continuent d’afficher les taux de mortalité les plus élevés au monde. (supérieurs à 2 et jusqu’à 5 pour mille). « On peut débattre de tout, sauf des chiffres » …
Après 3 ans d’épidémie, le taux de mortalité Covid planétaire reste dérisoire (0,859 pour mille habitants), comparé à d’autres maladies plus ou moins difficilement curables (cancer, sida et surtout « famines »…). La population terrestre a donc continué d’augmenter, malgré la Covid, de 67 millions d’habitants en 2022. « On peut débattre de tout, sauf des chiffres ». En 3 ans d’épidémie, 6,7 millions d’individus, très âgés, fragiles et souvent déjà malades sont décédés « avec la Covid » alors que près de 200 millions d’individus sont décédés dans le monde, de bien d’autres causes. On notera que 88% des décès déclarés Covid l’ont été avec comorbidité et que 12% peuvent être attribués à la seule Covid-19. En clair 1,1 million de décès environ, sur trois ans, peuvent être attribué de manière certaine à la Covid 19 … (nombre très inférieur à celui de la grippe saisonnière, en temps normal, sur trois ans, au niveau planétaire.
On notera avec intérêt le comportement paradoxal des gouvernances qui ont accepté, en 2022, de réaliser 42,5 millions d’avortements sur la planète, et qui, « en même temps » et « quoiqu’il en coûte » à l’économie et à la vie sociale, ont pris mesures sur mesures draconiennes pour tenter, trop souvent en vain, de prolonger de quelques mois l’espérance de vie de quelques millions de vieillards occidentaux (dont je fais partie), vieillards qui ont, pour la plupart, dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et dont certains ont usé et abusé des bonnes choses de la vie. Ainsi, 1,75 milliards de terriens seraient en surpoids et 830 millions d’entre eux seraient classés obèses en 2022 (plus à l’Ouest qu’à l’Est et plus au Nord qu’au Sud).
Il faut donc RE…LA…TI…VI…SER, apprendre à « vivre avec », ce que font désormais un grand nombre de pays dont le Royaume-Uni, l’Espagne, le Danemark, la Suède, la Finlande, la Norvège, la Biélorussie, la Russie, la République tchèque et même Israël ; et « traiter précocement » pour limiter la mortalité, comme on l’a déjà fait dans le passé pour nombre de maladies. Il faut aussi, en Europe, cesser de supprimer des lits d’hospitalisation, en cours épidémie, au nom de la « rentabilité », alors que notre population vieillit et donc se fragilise, et faire semblant de s’étonner (pour nos politiques et leurs « conseils scientifiques » sponsorisés par « Big Pharma »), que nos structures hospitalières soient saturées, ce qu’elles sont, chaque hiver, depuis bien longtemps. La réintégration des personnels soignants qui ont refusé de servir de cobaye lors de l’expérimentation vaccinale en cours devrait être une priorité immédiate pour sauver ce qui reste de notre système de santé en voie d’effondrement avancé.
En Europe, la gestion suédoise de l’épidémie qui a donné, sur la durée, des résultats bien meilleurs que les nôtres, devrait aussi être prise en exemple, en palliant ses faiblesses dans la prise en charge et le traitement des personnes âgées en établissement hospitalier.
Le dernier pic épidémique planétaire ayant été franchi le 9 février 2022, avec 11 049 décès/jour en moyenne sur 7 jours. La situation s’est donc améliorée progressivement depuis cette date jusqu’au 20 juin (1313 décès/J, moyenne sur 7 jours : arrivée de l’été dans l’hémisphère Nord + vaccin naturel « Omicron » ? Elle s’est ensuite très légèrement détériorée du 20 juin au 9 août (2592 décès/jours moyenne sur 7 jours).
Elle s’améliore depuis cette date (1500 décès/J moyenne sur 7 jours au 1er janvier 2023 0h00 GMT. Ce nombre de décès quotidiens est donc désormais très bas, comparé à celui des accidents de la route sur la planète (3670 décès/jours) ou à celui des décès du SIDA (4560 décès/J).
Cette évolution est à peu près la même dans la quasi-totalité des pays des deux hémisphères. La situation reste excellente en Afrique (encore peu vaccinée). L’épicentre est resté européen durant les quinze derniers mois. La semaine passée, l’Europe compte encore, à elle seule, près de 36,6% des décès Covid encore déclarés sur la planète pour 9,5% de la population mondiale.
Présentation des courbes de contamination et de décès Covid planétaires
Courbe de tests positif planétaire au 1er janvier 2023 0h00 GMT (en bleu, moyenne quotidienne sur 7 jours)
Courbe du nombre de décès planétaire au 1er janvier 2023 0h00 (en marron, moyenne quotidienne sur 7 jours)
À noter que l’arrivée de la vaccination n’a pas changé grand-chose, à ce jour. Aujourd’hui, 13,2 milliards de doses de vaccin auraient été injectées, 69% des habitants de la planète « auraient » reçu au moins une dose de vaccin. 100 millions de doses de vaccin seraient encore injectées chaque mois pour un résultat toujours aussi peu probant sur l’évolution de la contamination et de la mortalité.
Les taux de guérison sont très rassurants, sur 665 millions de personnes testées positives à la Covid (dont certaines plusieurs fois) depuis le début de l’épidémie, 637 millions auraient été déclarées guéries, soit près de 96%. 21,3 millions seraient encore en cours de soins, dont 40 700 (en très faible hausse) en situation critique, 6,67 millions seraient décédés « avec la Covid » en 3 ans, et, pour l’énorme majorité de ces derniers, des personnes déjà très âgées, atteintes de comorbidités et ayant dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine.
Ces taux de guérison varient d’un continent à l’autre en fonction de l’âge des populations concernées et surtout de la gestion plus ou moins efficace de l’épidémie. Mais il est aujourd’hui presque partout supérieur à 95% à l’exception des pays les plus affectés du moment.
Depuis le début de l’épidémie, 228 pays ou territoires ont été affectés par la pandémie.
30 pays ont déclaré plus de 35 000 décès en trois ans d’épidémie et comptent 88% des décès avec, dans l’ordre des pertes : (USA, Brésil, Inde, Russie, Mexique, Pérou, Royaume-Uni,Italie, France, Allemagne, Indonésie, Iran, Colombie, Argentine, Pologne, Espagne, Ukraine, Afrique du Sud,Turquie, Roumanie, Philippines, Chili, Japon, Canada, Hongrie, Vietnam, République tchèque, Bulgarie, Malaisie, Équateur).
À l’échelle de la planète, la mortalité liée à la pandémie reste faible, mais en légère hausse depuis plus d’un trimestre. Elle oscille désormais entre 1400 et 1 600 décès/jour (moyenne sur 7 j).
À la lecture des deux tableaux qui suivent, on réalise à quel point la mortalité attribuée à la Covid reste infinitésimale en Afrique. Elle est en légère hausse partout ailleurs. C’est l’Europe et l’Amérique du Nord qui déclarent toujours la majorité des décès.
La stratégie « atlantiste » (USA-UE-OTAN) et mondialiste de gestion de la crise sanitaire a été prise en défaut.
Les 30 pays de l’OTAN, parmi les plus vaccinés au monde, cumulent plus de 2,618 millions de décès en 3 ans et ont un taux de mortalité de 2,73/1000 h. Le reste de la planète cumule 4,079 millions de décès et déclare un taux de mortalité de 0,58/1000h. (voir tableau détaillé en fin de rapport).
C’est un échec cinglant de la stratégie du tout vaccinal prônée … par les USA et Big Pharma (via McKinsey).
Occultés par le Qatargate qui secoue aujourd’hui les institutions européennes et qui n’est qu’une petite partie émergée de l’iceberg de la corruption, il y a le Pfizergate et l’Ukrogate sur lesquels il faudra, tôt ou tard, se pencher.
Ci-après, un tableau rappelant l’évolution de l’épidémie sur l’année 2022 :
(en vert l’amélioration hebdomadaire, en rouge la détérioration)
NB : Depuis plusieurs mois, les chiffres déclarés de la dernière semaine figurant sur ce type de tableau sont systématiquement très minorés (plus de 30%) par les deux pays anglo-saxons (USA et UK) pour lesquels les remontées d’information tardives permettent une correction à la hausse dès la semaine suivante. Il faut donc examiner l’avant dernière semaine pour y voir plus clair et plus juste.
Remarques sur le tableau ci-dessus :
Les remontées d’informations de la dernière semaine de l’année ne sont pas fiables en raison des fêtes de Noël et du jour de l’an) qui ont considérablement ralenti l’activité administrative dans certains grands pays occidentaux. Ainsi, le Royaume Uni, la Belgique, le Portugal, la Grèce, l’Ukraine, l’Irlande n’ont pas déclaré leurs décès du 24 au 31 décembre. Des rattrapages et mises à jour auront donc lieu dans les jours prochains. En dépit des apparences, l’Europe reste donc l’épicentre principal de l’épidémie. Nous le verrons dès que les pertes hebdomadaires de la dernière semaine de décembre seront déclarées.
Bilan au 1er janvier 2023 0h00 GMT du nombre de cas et de décès par grande région du monde classées par taux de mortalité sur 3 ans
Remarques sur le tableau ci-dessus :
1. L’Amérique du Nord otanienne, pionnière et référence de la vaccination de masse, affiche un taux de mortalité plus de 3,6 fois supérieur à la moyenne mondiale, plus de 5 fois supérieur à la moyenne du monde non otanien, plus de dix sept fois supérieur à celui d’une l’Afrique peu vaccinée. Du jamais vu dans l’histoire des vaccinations de masse. Elle fait pire que l’Amérique latine, ce qui n’est pas glorieux compte tenu des moyens financiers et des infrastructures santé dont elle dispose. Ce sont des faits dont on ne peut débattre.
2. L’Europe et l’Amérique latine font jeu égal pour le taux de mortalité, mais celui-ci est plus de 8 fois supérieur à celui de l’Asie et près de 15 fois supérieur à celui de l’Afrique pourtant très peu vaccinée et surveillée de près par une multitude d’ONG.
Les bilans les plus lourds de l’avant dernière semaine ont été, dans l’ordre, ceux des USA, du Japon, du Brésil, de l’Allemagne, de l’Italie et de la France. Au cours de l’avant dernière semaine de l’année, ces six pays très vaccinés ont déclaré, à eux seuls, 60% des décès de la planète pour 11% de sa population. Cherchez l’erreur … Incompétence abyssale des gouvernances gestionnaires de l’épidémie ? Faillite de la science et des systèmes de santé de ces pays ? Campagnes vaccinales totalement inefficaces ? À ce stade, toutes les hypothèses sont envisageables.
L’Océanie, l’Afrique et l’Asie enregistrent une part des pertes mondiales de 26,8% alors qu’elles regroupent 77,5% de la population. L’Europe et le continent américain (Nord et Sud) qui enchaînent les vaccins et les boosters, enregistrent 73,2% des pertes pour 22,5% de la population mondiale. Notons que la part de l’Afrique pourtant trois fois moins vaccinée, continue d’être infime.
Pour relativiser, encore et toujours, cette crise sanitaire, voici la comparaison avec la grippe espagnole.
Au-delà des nombres évoqués ci-dessus, il faut aussi souligner qu’une très forte majorité (88%) des décédés de cette épidémie avait déjà dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et/ou souffrait de multiples comorbidités … ce qui n’était pas le cas lors des grandes épidémies précédentes où les jeunes mourraient par millions.
À noter aussi que les statistiques dites « officielles » des gouvernements sont toutes sujettes à caution, chacun pouvant les manipuler à sa guise pour des objectifs politiques (entre autres) où rencontrer des problèmes de remontées d’information.
***
Situation par continent, sous continent et pays les plus affectés
1. L’Europe
Encore et toujours épicentre de l’épidémie depuis la mi-octobre 2021, donc depuis quinze mois, l’Europe a vu sa situation s’améliorer très lentement, mais considérablement entre début février et le 20 juin 2022. Depuis cette date, le nombre de décès déclarés Covid, seul indicateur pertinent, pour peu que les nombres déclarés soient justes, a connu un léger rebond qui a culminé en dernière semaine de juillet. La situation s’est améliorée de début août à fin novembre. En décembre 2022, la situation se détériore progressivement presque partout alors que l’Europe est entrée en hiver. Ce sont la France, l’Allemagne, l’Italie et le Royaume-Uni qui totalisent, à eux seuls, 60% des décès européens de la semaine précédant les fêtes de fin d’années. À noter que la crise ukrainienne, l’inflation, la crise énergétique et le championnat du monde de foot ont fait baisser les pressions politiques et médiatiques sur la crise sanitaire.
Quatre pays européens, dont la France, déclarent encore plus de 400 décès en 7 jours.
1-1. La Russie
La Russie déclare désormais 8% des décès européens pour 19% de la population. Le nombre des décès quotidiens est aujourd’hui stable (voir courbe ci-dessous), et reste 23 fois moindre qu’en novembre 2021 :
1-2. Le Royaume-Uni
La situation s’y améliore progressivement depuis le dernier rebond du 27 juillet 2022, mais le Royaume-Uni reste toujours le grand pays le plus touché d’Europe (taux de mortalité). En saison estivale 2022, avec près de 80% de la population vaccinée, la Covid aura été 4 fois plus meurtrière au Royaume-Uni qu’à l’été 2020 sans vaccin, alors même que le variant qui circulait alors était notoirement moins létal que le virus de 2020.
Chacun appréciera donc la véritable efficacité d’un vaccin dont le degré de protection était donné à 95% pour les formes graves. (On peut débattre de tout, sauf des chiffres…)
Le bilan total des pertes Covid du Royaume-Uni (199 000 décès « déclarés ») suit désormais celui de la Russie (393 700) mais pour une population plus de deux fois moins nombreuse. La vaccination de masse a débuté au début de décembre 2020 et 80% de la population auraient reçu une première injection ; 75,4% auraient reçu la 2ème, la 3ème ou la 4ème… et 35,3%, dont de nombreux vaccinés ayant été testés positifs, seraient immunisés naturellement. Le bilan continue d’être étrangement lourd pour une population présumée très protégée des formes graves par un vaccin déclaré par Big pharma efficace à plus de 95% (????), d’autant que la proportion des personnes fragiles (ou à risque) vaccinées est bien supérieure aux données moyennes évoquées ci-dessus.
1-3. L’Italie
La situation s’est légèrement détériorée depuis début octobre (38 décès/jours). Le nombre de décès est remonté et oscille désormais entre 80 et 115 décès/J (moyenne sur 7 jours). L’Italie restera très probablement à la troisième place pour le nombre des décès en Europe.
1-4. La France
Sans surprise, la situation y est comparable à celle de l’Italie. Après un plus bas à 29 décès/J le 17 septembre, Le nombre des décès est remonté pour s’établir à 115 décès/J (moyenne sur 7 j) le 1er janvier 2023.
À ce jour, 80,9% des français, sous la pression de mesures coercitives pour une large part, « auraient » reçu une dose de vaccin, 78,65% auraient un schéma vaccinal complet (en 2 ans de campagne). Il faut réaliser que ce schéma vaccinal complet peut l’être par un simple test positif suivi d’une guérison, qui a valeur de « booster » et que 60% des français ayant été testés positifs (dont certains plusieurs fois) seraient, en large part, immunisés naturellement. Ces contaminations Omicron ont fortement contribué à accroître le nombre de schémas vaccinaux complets.
Comme partout ailleurs dans le monde, les résultats attendus de la vaccination expérimentale n’ont pas été au rendez-vous, en France. Une forte majorité des vaccinés admet s’être fait vaccinée sous les pressions des mesures prises par le gouvernement pour interdire aux non vaccinés de vivre et de travailler normalement. Un nombre important d’électeurs ont fait payer au président, lors des législatives, une gestion perçue comme dictatoriale et surtout inefficace de la crise sanitaire. Il a perdu sa majorité parlementaire, tout comme Benjamin Netanyahu en Israël quelques mois avant lui et Joe Biden aux USA, et pour les mêmes raisons de déclin économique largement dû à la gestion de la pandémie.
Mais beaucoup de français renoncent aujourd’hui à la 3ème ou à la 4ème dose de rappel, comprenant qu’ils entrent dans un cycle sans fin de vaccinations quadrimestrielles sans aucun bénéfice pour leur santé, d’autant que le nombre et la gravité des effets secondaires des vaccins commencent à être connus et documentés et que les nouveaux variants se jouent des vaccins proposés sur le marché et sont de moins en moins létaux. Certains renoncent même au vaccin contre la grippe… (???)
On a été très loin, en France, du consentement « libre et éclairé » requis dans ce genre d’acte médical « expérimental », surtout lorsque l’expérimentation n’est pas une réussite.
Les chiffres français sont d’ailleurs peu fiables car ils émanent des autorités sanitaires et politiques françaises et de leurs relais médiatiques qui ont déjà beaucoup, beaucoup trop menti depuis le début de cette épidémie et sur bien d’autres sujets de politique intérieure ou étrangère.
Peut-être devraient-elles regretter de ne pas avoir utilisé toute la palette des traitements précoces existant sur le marché et d’avoir interdit aux médecins de ville de soigner et de prescrire des molécules jugées efficaces presque partout ailleurs dans le monde… Bien sûr, elles rendront toujours les nouveaux variants, plus malins qu’elles, et les non vaccinés responsables de l’échec de leur stratégie, sans jamais se poser la question qui tue : Les vaccins expérimentaux anti Covid, élaborés à la va-vite, ont-ils eu, ou non, un jour ou quelque part, l’efficacité que Pfizer, multi-condamné pour tromperie aggravée, leur prête ?
Courbe du nombre de tests positifs en France au 1er janvier 2023 0h00 GMT (en bleu, moyenne sur les 7 derniers jours)
Pour le nombre des décès, la France a franchi la barre des 162 000 décès déclarés avant le 1er janvier 2023. 0h00 GMT.
France : courbe des décès quotidiens (en barre grise) et moyenne quotidienne sur 7 jours (en orange)
Chacun notera avec intérêt que le pic de mortalité (variant delta) de février 2022 a été 3 fois plus sévère que celui d’août 2021. Autrement dit, plus on vaccine en France et moins la population fragile, pourtant plus vaccinée que les autres, semble protégée des formes graves.
Ce constat devrait interroger sérieusement le conseil dit « scientifique » et les politiques qui devraient se rendre à l’évidence. Plus que le virus Covid, c’est l’hiver et les comorbidités qui ont tué au premier trimestre 2022. Et il n’existe pas de vaccin contre l’hiver, contre l’âge et contre toutes les comorbidités…
Le taux de mortalité Covid français reste, à ce jour, 2,8 fois supérieur à la moyenne mondiale avec 2,47 décès pour mille habitants en 3 ans, pour une moyenne mondiale de 0,86/1000h.
Pour le nombre des décès, la France reste à la quatrième place européenne (sur 48 pays ou territoires) derrière la Russie, le Royaume-Uni et l’Italie et à la 9ème place mondiale sur 218 pays ou territoires touchés. Merci aux autorités de santé et à l’exécutif qui ont interdit aux médecins de prescrire les traitements précoces efficaces, avec le consentement éclairé de leurs patients…
1-5. L’Espagne
Sa situation est meilleure que celle de la France. Le nombre des décès plafonne à 31 décès/jour sur les 7 derniers jours. Le gouvernement espagnol a renoncé à toutes les mesures liberticides, jugées inefficaces et le pays ne s’en porte pas plus mal.
Courbe du nombre de décès en Espagne
1-6. L’Allemagne
La situation y est en légère amélioration. Un pic de contamination a été enregistré le 11 octobre 2022 (105 000 cas/J). L’Allemagne aurait vacciné à ce jour, 77,8% de sa population (dont 76,2% avec schéma vaccinal complet) 44,6% ayant été testés positifs et guéris de la maladie seraient immunisés naturellement. À la lecture des courbes ci-après, chacun peut réaliser qu’en 2021 et 2022, la vaccination n’aura servi strictement à rien en Allemagne. L’évolution au 1er trimestre 2022 nous répète que, comme partout ailleurs, c’est l’hiver, l’âge et le surpoids qui tuent. Et il n’existe pas de vaccin contre l’hiver, l’âge et le surpoids.
L’Allemagne fait partie des nombreux pays très vaccinés qui auront déclaré beaucoup plus de décès en 2022 (48 000), avec un variant Covid moins létal, qu’en 2020 sans vaccin avec un virus beaucoup plus létal (34 234).
Courbe du nombre de cas déclarés en Allemagne au 1er janvier 2023 0h00 GMT
Courbe des décès en Allemagne au 1er janvier 2023 0h00 GMT (moyenne sur 7 derniers jours)
1-7. La Belgique
Avec un taux de mortalité de 2,85 décès par millier d’habitants, la Belgique a amélioré considérablement sa situation depuis 2020 à l’inverse de nombreux pays européens. En 2022, elle a divisé par 4 le nombre de décès qu’elle avait déclaré en 2020. Elle est désormais devancée par 19 pays européens qui déclarent un taux de mortalité supérieur au sien.
2. L’Amérique septentrionale
Le nombre hebdomadaire de cas déclarés et de décès a explosé en Janvier 2022 aux USA, champions du monde de la malbouffe et de l’obésité, et dans le peloton de tête de la gestion calamiteuse du « tout vaccinal ».
80,7% des citoyens US auraient reçu une première dose de vaccin, 69% en auraient reçu deux. Si l’on en croit l’évolution de la vaccination sur les 3 derniers mois, 11% des Américains ayant reçu la première dose répugnent à se faire injecter la seconde. Les citoyens US seraient donc plus vaccino-sceptiques que les Français, ou peut-être plus fermes dans leurs convictions. Il est vrai que toute la panoplie des mesures contraignantes appliquées en France n’a pas pu l’être aux USA pour des raisons constitutionnelles, et dans ce pays, la Constitution est respectée. Il est vrai aussi que les effets secondaires sont beaucoup plus documentés aux USA qu’en Europe.
Courbe des tests positifs US déclarés au cours de l’épidémie
Bien que rien dans l’évolution des nombres de contaminations et de décès ne permettait encore de l’affirmer, Joe Biden a déclaré, fin septembre 2022, à 5 semaines de l’élection de mi-mandat, que l’épidémie était terminée aux USA5. Sans doute lui fallait-il déclarer une « fake » victoire contre la Covid pour tenter de limiter les dégâts dans cette élection importante. Un mensonge politique de plus, en application des méthodes néoconservatrices et mondialistes portées à la connaissance du public par Mike Pompeo il y a 3 ans : « Nous avons menti, triché, volé, c’est comme si nous avions suivi des stages de formation pour apprendre à le faire ».
L’observation des chiffres (dont on ne peut débattre) montre que l’épidémie n’est toujours pas éradiquée aux USA. Bien pire que prévu avec un vaccin qui n’a rien réglé en 2021, et toujours pas en 2022, le nombre des décès a atteint les 1,118 million le 1er janvier 2023 0h00 GMT …
En 2020, année Covid gérée par l’administration Trump, le nombre des décès US avait été de 365 000 pour 20,5 millions de cas déclarés (sans les vaccins). Trump avait été lynché par la meute médiatique occidentale, contrôlée par l’État profond US et ses relais en UE, pour sa gestion jugée calamiteuse de l’épidémie.
En 2021 et 2022, années Covid gérées par l’administration Biden, le nombre des décès US a très largement dépassé celui de 2020 pour s’établir à 1,118 million de décès le 1er janvier 2023 soit 753 000 pour la gestion Biden en 2021-22. Ce triste bilan est obtenu alors que près de 670 millions de doses de vaccin ont déjà été injectées à la population US (335 Millions d’h) en 2021-22 par l’administration Biden. En clair, le nombre de décès Covid n’a pas été réduit le moins du monde par le vaccin (en moyenne annuelle), au contraire.
Le lecteur aurait-il entendu les médias critiquer Biden pour les résultats de sa gestion de l’épidémie plus désastreux, avec le vaccin, que ceux de Trump, sans vaccin ? Aurait-il entendu dire que l’efficacité du vaccin n’est pas du tout celle annoncée par Big Pharma ? Où sont les journalistes d’investigation US, européens ou français ? Pourquoi regardent-ils ailleurs ?
« On peut débattre de tout sauf des chiffres » :de tels résultats d’une campagne de vaccination de masse, avec un vaccin vendu pour une efficacité de plus de 95% sur les formes graves, devrait interroger les responsables politiques du monde entier.
D’autant que les pays les moins vaccinés d’Asie et d’Afrique sont très loin d’afficher des résultats aussi calamiteux … et que les personnes à risque sont beaucoup plus vaccinées que les autres … ce qui devrait entraîner une baisse rapide (et non une stagnation) des décès, si les vaccins étaient efficaces.
Les USA comme le Royaume-Uni semblent avoir du mal à déclarer les décès les jours de leur survenance. Les déclarations tardives sont reportées avec étalement sur les jours, voire les semaines précédentes ce qui évite d’inquiéter quotidiennement les populations sur des bilans qui ne sont pas bons. Les chiffres indiqués pour la semaine écoulée ne sont donc pas fiables. Il faut donc remonter à l’avant dernière semaine pour approcher les bilans réels.
Au Canada, la situation est quasiment stable. Le taux de mortalité Covid déclaré par les Canadiens (1,28/1000h) reste inférieur de plus de moitié à celui de l’Europe (2,63/1000h) et des deux tiers à celui de son voisin US (3,34/1000 h), mais il est bien supérieur à la moyenne mondiale (0,86/1000h). Le Canada fait partie des nombreux pays développés très vaccinés qui auront déclaré beaucoup plus de décès Covid en 2022 (19 000) qu’en 2021 (14 555) et surtout qu’en 2020 sans vaccin (15 428). Les médias canadiens auraient-ils rapporté ces chiffres pour éclairer leur population ? Où est le miracle vaccinal au Canada ? (On peut débattre de tout sauf des chiffres)
3. L’Asie
Rapportée à la population, la mortalité (0,33/1000h en 3 ans) y reste dérisoire et très inférieure à la moyenne mondiale : La situation s’y améliore très progressivement.
L’Asie de l’Est et du Sud-Est (Chine, Japon, Vietnam, les deux Corées, Taïwan, Philippines, Indonésie, Laos, Cambodge, Malaisie, Birmanie …) est aujourd’hui la partie la plus touchée d’Asie mais avec un taux de mortalité qui reste infinitésimal. La situation peut être qualifiée de stable.
Le Japon, la Corée du Sud et Taïwan, trois pays très vaccinés, proches des USA et de l’OTAN, comptent à eux seuls plus des deux tiers de tous les décès du continent asiatique la semaine dernière. Étrange malédiction pour des pays proches des USA et de la « coalition occidentale », qui agissent à leur imitation, et qui ont vu leur mortalité exploser en 2022, après une vaccination de masse. Par une étrange coïncidence, ces 3 pays vassalisés par les USA ont tous les trois déclaré beaucoup plus de décès en 2022, avec un variant moins létal et l’appui (?) du vaccin, qu’ils n’en ont eu en 2020 sans vaccin ???
L’Indonésie enregistre un taux de mortalité encore dérisoire de 0,58 décès/1000 h (très inférieur à la moyenne mondiale de 0,86). Le Japon, pays qui souffre le plus, en ce moment, sur le continent asiatique, déclare un taux de mortalité de 0,46 décès pour mille h (57 266 décès de la Covid en 3 ans pour 126 millions d’h).
En Asie de l’Ouest, la situation s’améliore. Le taux de mortalité Covid déclaré par l’Inde (0,38 décès/1000h) reste très au-dessous de la moyenne mondiale (0,86/1000h) ou de celle de l’Europe (2,63/1000h). Ce taux est aujourd’hui inférieur à celui du Japon, de Taïwan et de la Corée du Sud.
S’agissant de l’Iran, ce pays est toujours un pays sous sanctions économiques « maximales » de la part des USA (au profit d’Israël) et enregistre le 3ème taux de mortalité le plus élevé d’Asie (1,68 décès/mille h), derrière la Géorgie, et l’Arménie qui a cumulé la guerre et la Covid. À noter que les USA cherchent désespérément à soutenir un changement de régime en Iran pour avoir accès à son pétrole et, bien sûr, pour emmerder la Russie.
Situation en Israël, pays pionnier de l’expérimentation vaccinale
La contamination a explosé en Janvier 2022 en Israël, l’un des meilleurs élèves de la classe « tous vaccinés-tous protégés ». En six semaines, du 14 décembre 2021 (595 cas/jour, moyenne sur 7j) au 23 janvier 2022 (72 913 cas/jour, moyenne sur 7 jours), le nombre de contaminés a été multiplié par 122. Le nombre de décès est passé de 1 décès/jour le 31 décembre 2021 à 73 décès/j moyenne sur 7 jours, le 4 février 2022. Pour le pays phare de l’expérimentation vaccinale, le résultat est tout simplement un immense fiasco, quoi que puissent en dire les médias mainstream payés pour minimiser ou occulter l’échec.
La situation s’est améliorée considérablement depuis le 4 février et depuis 16 semaines le nombre de décès déclarés Covid oscille en dessous de la barre des 8 décès/J.
L’épidémie n’est toujours pas éradiquée en Israël. Les hospitalisations d’aujourd’hui sont en majorité des double, triple ou quadruple vaccinés. On y est donc très loin du retour à la vie d’avant promis il y a déjà presque deux ans par les promoteurs du vaccin … même si Israël a renoncé à toutes les mesures liberticides qu’il avait adoptées.
Israël avait déclaré 3325 décès en 2020, sans vaccin. Elle en était à 8243 décès le 31 décembre 2021 soit 8243 – 3325 = 4918 pour l’année 2021 avec le vaccin. L’année 2022 a été moins bonne qu’en 2020 sans vaccin puisque Israël a déclaré 3794 décès en 2022, soit un total de 12 037 décès. Le vaccin et ses « boosters » ne sont donc pas aussi efficaces qu’annoncé par Big Pharma, puisque la situation ne s’est pas encore vraiment améliorée en 2022, malgré la plus faible létalité des variants Covid et malgré la multiplication des injections vaccinales sur les personnes les plus fragiles. Cherchez l’erreur.
La Palestine dont 33,9% seulement des habitants ont un schéma vaccinal complet déclare un taux de mortalité Covid de 1,01/1000h, inférieur de 29% à celui d’Israël (1,29/1000h) alors même que le taux de vaccination israélien (71,1%) est plus que double de celui des palestiniens et que les israéliens, qui partagent la même terre et le même climat, ne vivent pas dans la même promiscuité que les palestiniens regroupés dans des zones « concentrationnaires » (Gaza). Cette mortalité asiatique, y compris celle de l’Inde et de l’Iran, reste aujourd’hui très inférieure à celle des continents américain et européen.
4. L’Amérique latine
Avec près de 1,754 millions de décès déclarés, le taux de mortalité de l’Amérique latine est inférieur à celui de l’Europe et de l’Amérique du Nord. Sous-continent le plus vacciné au monde, l’Amérique latine a vu sa situation se détériorer très fortement en Janvier 2022 (été austral) puis s’améliorer tout aussi vite à partir de la 3ème semaine de février 2022.
En Amérique latine, les pertes humaines hebdomadaires déclarées sont stables et restent faibles alors qu’une bonne partie du sous-continent approche désormais l’été austral. L’Amérique latine n’aura donc pas passé un mauvais hiver 2022.
Le bilan brésilien reste le plus lourd avec près de 60% des pertes « latinos » de la semaine passée.
Les décès se concentrent dans huit États qui déclarent près de 94% des décès et plus de 20 000 décès chacun. Les autres pays des Caraïbes et d’Amérique du Sud restent encore relativement épargnés par l’épidémie.
Au Mexique, le nombre hebdomadaire de décès oscille depuis trois mois sous la barre des 30 décès/J.
5. L’Afrique
Continent le moins vacciné, se porte toujours très bien (comparée au reste du monde) :
La mortalité liée au Covid y est toujours restée dérisoire. L’Afrique du Sud, sur le podium de la vaccination africaine, compte, à elle seule, 40% des décès du continent pour 4,3% de sa population ??? Elle a, il est vrai, renoncé à l’emploi de la chloroquine, pour privilégier le « tout vaccinal » … « Tous vaccinés, peu protégés … ??? »
Avec la Tunisie, l’Égypte, le Maroc, l’Éthiopie et l’Algérie, seuls autres pays d’Afrique à dépasser les 6500 décès Covid déclarés depuis janvier 2020, elle regroupe 72,5% des décès africains de la Covid.
Le lecteur notera que, par une très curieuse coïncidence, les deux pays africains qui ont choisi une stratégie « à l’occidentale » de gestion de la crise sanitaire (rejet du traitement précoce à la chloroquine, stratégie du tout vaccinal) : L’Afrique du Sud et la Tunisie, totalisent, à eux seuls, 51% des pertes africaines alors qu’ils ne représentent que 5% de la population du continent … (Sans commentaire).
6. L’Océanie
En janvier 2022, la Covid-19 a explosé sur ce continent malgré un taux de vaccination de 64,6%. L’Australie qui ne compte que 62% de la population du continent Océanien, déclare 73% des pertes Covid en dépit des mesures liberticides les plus draconiennes au monde et un taux de vaccination de 85%, très supérieur à celui de ses voisins ??? On y cherche, en vain, le miracle vaccinal (On peut débattre de tout, sauf des chiffres). Encore un État, proche de l’OTAN et des USA, qui a voulu les imiter, sous l’amicale pression des lobbies pharmaceutiques US, et qui doit être doté d’hommes politiques et d’un « conseil scientifique » tout aussi corrompu et/ou incompétent que les nôtres.
Courbe de mortalité de l’Australie
Sur 43,5 millions d’habitants, l’Océanie a déclaré, à ce jour, 13,63 millions de cas, dont 13 millions en 2022, alors que la population du continent est vaccinée à 64%. Curieusement, le pays le plus vacciné du continent et qui a été le plus confiné au monde : l’Australie, est celui où l’on meurt le plus aujourd’hui. 13,34 millions d’habitants auraient déjà été guéris et 23 346 patients seraient décédés, dont 18 850 en 2022. Bien étrange cette explosion du nombre de décès de 2022 alors même que ce continent, très largement vacciné, devrait être bien protégé des formes graves …???? Le nombre de cas critiques est passé de 172 au 1er janvier 2022 à … 174 au 1er janvier 2023. La situation ne s’améliore donc pas, malgré l’« immense » (???) apport du vaccin …
Le continent océanien a déclaré 147 décès la semaine dernière. Il n’en déclarait que 62 en dernière semaine de décembre 2021. Son taux de mortalité Covid de 0,53 décès pour mille habitants a dépassé celui de l’Afrique (0,18) et de l’Asie (0,32) en 2022. Il reste toutefois dérisoire (France : 2,47), et très inférieur au nombre de décès liés à la circulation routière sur le continent océanien.
***
Nombre de décès déclarés pour 1000 habitants des 34 pays de la planète qui ont déclaré plus de 31 000 décès. La moyenne mondiale étant de 0,86 décès pour 1000 habitants, 999,14 habitants sur 1000 ont donc survécu à la Covid.
Commentaires sur le tableau ci-dessus :
1. Douze pays de l’OTAN, dont les puissances majeures, se situent dans les 20 premières places de ce triste classement mondial, alors même qu’ils sont parmi les plus vaccinés au monde. Les autres pays membres de l’OTAN ne sont d’ailleurs pas très loin : Grande fragilité des populations âgées et en surpoids ? Faillite des systèmes de santé ? Inefficacité voire contre-productivité des vaccins ? Incompétence et/ou corruption des gouvernances ? Quelles que soient les réponses à ces questions, elles n’augurent rien de bon en cas de conflit majeur impliquant tout ou partie de l’OTAN … contre un ou plusieurs adversaires potentiels eurasiatiques (Chine, Russie, Iran).
Rappelons que les 30 pays de l’OTAN qui ont adopté la stratégie du « tout vaccinal », en parfaite imitation de leur suzerain états-unien, et sur l’amicale pression financière de leurs laboratoires pharmaceutiques, regroupent moins d’un milliard d’habitants, soit 12% de la population mondiale. Ils ont déclaré un total de 2,62 millions de décès soit plus de 39% des pertes totales de la pandémie et un taux de mortalité de 2,73 décès pour 1000 habitants.
Le reste du monde (non otanien), qui compte 7 milliards d’habitants a donc déclaré 4,08 millions de décès pour 88% de la population mondiale, soit un taux de mortalité de 0,58 pour 1000 habitants, plus de 4,7 fois inférieur à celui des pays de l’OTAN.
Dans la « guerre à la Covid-19 », la stratégie otanienne et mondialiste du « tout vaccinal » a donc été un échec puisque les pertes ont été « massives », comparées au reste du monde, sans préjuger, d’ailleurs, des pertes collatérales liées aux effets secondaires des vaccins. L’avenir proche nous éclairera toujours plus sur les bilans comparés des différentes parties du monde « multipolaire » selon les stratégies appliquées. On peut débattre de tout sauf des chiffres, surtout lorsque le rapport est de 1 à 4,7.
En raison des conséquences de l’affaiblissement économique de l’occident lié aux mauvaises gestions de la crise sanitaire et aux sanctions boomerang contre la Russie et compte tenu des bascules de puissance en cours de réalisation, l’OTAN devra revoir sa politique hégémonique d’ingérence tous azimuts et ses ambitions à la baisse, y compris en Ukraine. Les retraits occidentaux d’Afghanistan et du Mali en 2021 en avaient été les premiers signes tangibles… Il y aura d’autres reculs en 2023 et après.
2. Les donneurs de leçons anglo-saxons (USA, UK) et, à un moindre degré, l’Allemagne et la France, pays qui tiennent encore le haut du pavé dans les institutions internationales (OMS, ONU, FMI, Banque mondiale, UE, OTAN, OMC, CIO), sont désormais assez mal placés pour prodiguer leurs conseils, avec condescendance, au reste du monde, et pour ramener leur « science » à tout propos. Les pays du tiers monde ont observé avec intérêt la gestion « à l’occidentale » de la crise sanitaire, et celle de la crise ukrainienne. Ils sauront, au fil du temps, se rallier aux partenaires les plus fiables du moment … accélérant ainsi le déclin en cours de ceux qui ont failli.
3. Quant à l’Inde qui a fait l’objet de l’hystérie des médias « covidistes » en juin 2021, comme la Chine l’est aujourd’hui, force est de reconnaître que, rapporté à sa population, son taux de mortalité déclaré depuis le début de l’épidémie reste encore près de 6 fois inférieur à celui de notre pays. Les États de la fédération indienne sont des États qui ont très majoritairement fait le choix des traitements précoces efficaces et peu onéreux (ivermectine, chloroquine, azytromycine), choix que les pays occidentaux ont refusé de faire pour privilégier un vaccin qui est aujourd’hui en situation d’échec face aux nouveaux variants du virus en Israël, aux USA, au Royaume Uni, en Allemagne, à Singapour, aux Émirats, en Australie, dans les pays baltes, en Islande… et ailleurs.
4. La Chine ne figure pas dans ce triste palmarès parce qu’elle n’a déclaré que 5248 décès depuis début 2020, aucun décès en 2021 et 612 décès en 2022. On me rétorquera, bien sûr, le slogan habituel bien connu : « La Chine ment ». Si c’était le cas, la vérité aurait forcément filtré via nos représentations diplomatiques, les nombreux binationaux vivant sur place, les espions occidentaux infiltrés, l’OMS, les ONG, etc… L’économie chinoise ne tournerait pas à bon régime (croissance 2022 : + 6,2%). Toute argumentation de mauvais perdant ne tient donc pas la route. Les occidentaux ne devraient-ils pas, pour une fois, faire preuve d’humilité et demander quelques conseils aux chinois ? Eux qui critiquent aujourd’hui les confinements en Asie après les avoir largement pratiqué dans un passé récent en Europe.
***
Un tableau présente ci après les bilans au 1er Janvier 2023 0h00 GMT des 60 pays ayant déclaré plus de 12 000 décès (95% des pertes)
Nota Bene : Le Royaume Uni ne déclare plus ses décès depuis 10 jours comme si le cap des 200 000 décès ne devait absolument pas être franchi avant le 31 décembre 2022 ???
***
Tableau de données concernant l’Europe (et l’UE) face à l’épidémie au 1er janvier 2023 0h00 GMT
Rappel : taux de mortalité Covid mondial en 3 ans 0,86 décès/mille h et européen : 2,63 décès/mille h
***
Nombre de décès Covid déclarés par millier d’habitants et depuis février 2020, des 34 pays européens de plus de 1,5 million d’habitants affectés par l’épidémie (au 1er janvier 2023 0h00 GMT)
***
Enfin, pour ceux qui s’intéressent aux résultats de la vaccination pour les pays de l’OTAN, voici un tableau d’évolution de la mortalité entre les années 2020 (sans vaccin) et 2021 -2022 (avec vaccin). Chacun pourra l’interpréter à sa manière… en n’oubliant pas que, les personnes à risque ayant été vaccinées en priorité, les résultats sur la baisse de la mortalité auraient dû se percevoir très vite au cours de l’année 2021, et encore mieux en 2022… ce qui n’a pas été le cas, bien au contraire.
Onze pays de l’OTAN très vaccinés ont déclaré plus de décès en 2022 qu’en 2020 sans vaccin, alors que le variant était reconnu moins létal en 2022 par toute la communauté scientifique, sans exception. La vertueuse Norvège, aujourd’hui vaccinée à 80% (Pfizer et Moderna) a déclaré 7,5 fois PLUS de décès en 2022 (3252) qu’en 2020 sans vaccin (436). Les autorités de santé françaises et les médecins de plateau TV auront du mal à me convaincre de la qualité des deux produits (Pfizer et Moderna) injectés aux norvégiens, et vendus pour 95% d’efficacité sur les formes graves. On peut débattre de tout sauf des chiffres.
Quatre autres pays de l’OTAN n’ont connu que des améliorations insignifiantes entre 2022 avec vaccin et 2020 sans vaccin.
Les quelques pays de l’OTAN qui ont enregistré vraiment moins de décès en 2021 et en 2022 qu’en 2020 sont souvent les pays qui avaient tellement mal démarré la gestion de la crise en 2020, qu’ils pouvaient difficilement faire pire en 2021 et 2022 (C’est incontestablement le cas du Royaume Uni, de la France, de la Belgique, de l’Espagne et de l’Italie).
Voir le tableau ci-après : sources Our Word in Data et Worldometer
30 pays de l’OTAN : Résultats de la « Guerre à la Covid » par taux de mortalité avec stratégie du « tout vaccinal »
Commentaires sur le tableau ci-dessus :
1. Comme elles le font en toutes occasions et dans tous les domaines, les gouvernances des pays de l’OTAN ont imité leur chef de meute US et se sont lancés dans une politique d’expérimentation vaccinale de masse. Prétendant agir « au nom » du principe de précaution, mais sans respecter les principes de précaution élémentaires dans l’élaboration et l’administration d’un vaccin, et refusant d’assumer leurs responsabilités en cas d’échec et d’effets secondaires graves, elles ont utilisé des mesures de coercition et construit des narratifs mensongers pour « vendre » leur produit expérimental à des clientèles captives et à des populations trop crédules, afin de « faire de l’argent ».
2. Après avoir pris le recul nécessaire pour apprécier les résultats, on ne peut que constater que cette expérimentation est un échec monumental. En effet, elle n’a permis nulle part de contrôler l’épidémie et même de limiter la mortalité des plus âgés et des plus fragiles. Les exemples abondent de pays hyper-vaccinés qui ont vu leur mortalité exploser en début de 2022 et compter plus de décès en 2022 avec vaccin qu’en 2020 sans vaccin.
3. En 2022, alors que les otaniens continuent d’essayer de vendre leurs « boosters » à des populations de plus en plus sceptiques et réluctantes à enchaîner les doses, tous les 4 ou 6 mois, jusqu’à la fin des temps, sans aucun résultat probant, les pays de l’OTAN (12% de la population mondiale), plus vaccinés que les autres, ont enregistré, à eux seuls, plus de pertes (625 727 décès) que le reste du monde (88% de la population mondiale) qui en a compté 618 632. Il y aurait vraiment matière à s’interroger sur la gestion de l’épidémie dans ces pays qui ont trop souvent agi à l’imitation de leurs partenaires anglo-saxons USA-UK. Jusqu’à quand s’acharneront-ils à les prendre en références, alors qu’ils se sont montrés parmi les plus mauvais dans la gestion de l’épidémie ? Les déco(nn)eurs du Monde ou de Libération vont nous expliquer que c’est parce que nous sommes plus âgés et plus en surpoids que les autres, que les occidentaux otaniens décèdent 4,7 fois plus de la Covid que le reste du monde. Nous le savions déjà. Mais où est donc le miracle vaccinal annoncé ?
4. Jamais dans l’histoire de la vaccination, l’injection d’un produit expérimental n’a donné des résultats aussi peu probants. Il est stupéfiant de voir certains pays, occidentaux pour la plupart, mais pas tous heureusement, persister dans l’erreur et refuser d’admettre qu’ils ont été trop vite en besogne.
La simple observation/comparaison des chiffres devrait éclairer les élites otaniennes. Comme elles nous l’ont répété quotidiennement pendant des mois : On peut débattre de tout, sauf des chiffres.
5. Il faudra bien un jour se pencher sur les effets secondaires avec précision et exhaustivité : leur nombre et leur gravité. Cela viendra encore alourdir le bilan des laboratoires pharmaceutiques, des politiques et des autorités de santé qui les ont suivis aveuglément et/ou se sont laissés corrompre.
6. Sur la seule année 2022, les 30 pays de l’OTAN, très vaccinés, ont eu un taux de mortalité COVID de 0,652/1000 h, 7,4 fois supérieur à celui du reste du monde pour la même période : 0,088/1000h. Cela veut clairement dire que ces pays se remettent moins vite de l’épisode Covid que le reste de la planète. Tous les pays de l’OTAN, sans aucune exception, ont un taux de mortalité par milliers d’habitants supérieur à la moyenne du monde non otanien. Cherchez l’erreur…
« On peut débattre de tout, sauf des chiffres. »
- https://www.francesoir.fr/la-harcelosphere-contre-lihu-mediterranee-et-le-professeur-raoult-de-lobscene
- https://www.lepoint.fr/affaire-du-levothyrox-l-agence-du-medicament-mise-en-examen-pour-tromperie-05-12-2022
- https://www.lefigaro.fr/le-congres-americain-supprime-l-obligation-vaccinale-pour-les-militaires/2022/12/16
- https://www.lesechos.fr/etats-unis-la-cour-supreme-censure-lobligation-vaccinale-dans-les-entreprises
- « Joe Biden affirme que « la pandémie est terminée » aux États-Unis », L’Indépendant
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
Source : Breizh info
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme