Sur le coup ni le public ni Fogiel n’avaient compris le blasphème, fin d’une époque.
Le lendemain le lobby qui n’existe pas mais dont tout le monde a une trouille sans nom s’est perdu en conjonctures, débats et crises de nerfs.
Un des rares qui est monté au créneau défendre Dieudonné a été AS et pourtant il ne le portait pas dans son cœur.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation