Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
La journaliste Marnie Cathcart a écrit un commentaire sur une étude récente publiée dans American Journal of Transplantation sur la tendance croissante des dons d’organes après euthanasie. Cathcart a été publiée par Epoch Times le 17 janvier 2023. Voici ce qu’elle a écrit :
Les patients canadiens qui optent pour l’euthanasie fournissent plus d’organes de transplantation que tout autre pays au monde autorisant le suicide assisté par un médecin, selon la première étude internationale sur l’aide médicale à mourir (AMM).
Les patients canadiens qui décident de mettre fin à leur vie avec l’aide d’un médecin ont également contribué à près de la moitié des transplantations d’organes documentées dans le monde ayant eu lieu après une euthanasie.
Le Canada a légalisé l’euthanasie en 2016, et est devenu un leader mondial de cette pratique en 2022, avec un nombre record de personnes qui se suicident avec des médicaments létaux administrés par un médecin. En mai 2022, huit pays dans le monde autorisaient la mort par « administration intraveineuse de substances létales par un praticien », le type d’AMM compatible avec un don d’organes ultérieur.
Il y a cinq ans, les patients devaient faire face à une mort imminente pour accéder à cette procédure. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.
Depuis l’année dernière, les Canadiens qui souhaitent obtenir de l’aide pour mettre fin à leur vie n’ont pas à souffrir d’une maladie en phase terminale. Ils peuvent en effet bénéficier de l’AMM en cas de « maladie, d’affection ou d’incapacité grave et incurable ». La disponibilité de l’AMM a été élargie en 2022, avec des plans pour inclure la maladie mentale comme condition d’admissibilité d’ici le 17 mars 2023.
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