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Chers amis lecteurs. 2023 devrait être une année majeure dans le dévoilement de tous les mensonges qui ont permis à certaines puissances de prendre le contrôle de toute l’humanité. Le Great Reset aura peut-être bien lieu cette année, mais pas comme le voudrait le WEF de Davos. En parallèle des guerres économique et militaire, la guerre médiatique est de plus en plus virulente et la nécessité pour les médias alternatifs d’être prêts à y faire face est plus qu’urgente. A Réseau International, nous avons décidé de passer à une étape supérieure avec tous les moyens nous permettant d’être au rendez-vous des grands chamboulements qui nous attendent. Pour cela, nous avons besoin de vous et de votre soutien.
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par Valentin Vasilescu
La réunion des membres du « Groupe de contact pour la défense de l’Ukraine » a permis de faire le point. L’Allemagne et d’autres pays européens aux économies développées ont de gros problèmes de matières premières et d’énergie et souhaitent que la guerre prenne fin le plus rapidement possible, même au prix de concessions faites par l’Ukraine.
L’Allemagne pense qu’elle peut encore tromper la diplomatie russe avec une solution gagnant-gagnant, valable pour le moment. En fin de compte, l’Allemagne pourrait accepter que les quatre régions annexées à la Russie restent où elles sont et que l’armée russe se retire des autres zones. Ce serait le même jeu qu’elle et la France ont joué avec les accords de Minsk, et dans quelques années, l’Ukraine sera lourdement armée et le conflit reprendra.
Les États-Unis ne sont pas d’accord avec cette solution, étant donné qu’ils sont allés trop loin avec des sanctions inefficaces contre la Russie, ce qui a nui à leurs alliés européens de l’OTAN. Washington veut profiter de ce moment pour appliquer la « solution finale » à la Russie, avec la main de l’Ukraine et de ses partenaires de l’OTAN. En fait, le secrétaire américain à la défense, Lloyd Austin, a déclaré sur la base militaire allemande de Ramstein que la seule priorité de l’alliance était d’intensifier les efforts pour armer l’Ukraine.
On peut en déduire que le dernier paquet d’armes et d’équipements militaires, annoncé à Ramstein, est destiné à aider l’Ukraine à stopper l’offensive russe sur le front de Bakhmout. Au cours des deux prochains mois, un nouveau paquet, plus substantiel, sera présenté à l’Ukraine pour qu’elle puisse passer à l’offensive de printemps. Et ainsi de suite jusqu’à ce que le président Zelensky n’ait plus personne à mobiliser pour l’envoyer au front combattre l’armée russe.
Il y a un petit détail que le Pentagone n’a pas pris en compte, que l’on appelle dans la terminologie militaire un « point de passage forcé ». Alors que les frontières de l’OTAN avec l’Ukraine se trouvent à l’ouest du pays, le théâtre des combats se situe à l’est et au sud-est. Pour atteindre le front, les armes de l’OTAN doivent d’une manière ou d’une autre traverser le Dniepr en passant par un « point de passage obligatoire », c’est-à-dire un pont. Si nécessaire, l’armée russe peut détruire certains des ponts pour faciliter la surveillance des autres par des satellites et des avions de reconnaissance. Cette méthode est beaucoup plus facile à mettre en œuvre que la surveillance simultanée de toutes les zones frontalières de l’Ukraine.
Valentin Vasilescu
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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