Je, je, je …
L’égoïsme du parvenu suinte à mort dans la missive de monsieur Dieudonné, car le « je » ne concerne pas uniquement la demande de pardon.
En outre, monsieur Dieudonné a oublié le principal dans sa missive : la France et NOUS, et tout, oui tout, ce que la France et NOUS lui avons apporté.
C’est plus que choquant, d’autant que cette missive avait comme destination officielle l’ensemble de la communauté nationale puisqu’elle est diffusée publiquement, alors que c’est cette communauté nationale, celle la même qui a enrichi monsieur Dieudonné, qui est complètement oubliée.
Effectivement, comme écrit dans sa lettre, il se pend à nouveau.
En définitive, cette lettre médiocre indique que le talent d’écriture apparent de monsieur Dieudonné pourrait bien se trouver ailleurs que chez monsieur Dieudonné lui-même.
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