Immigration défigurante: préservons nos canons de beauté

Immigration défigurante: préservons nos canons de beauté

Le monde occidental possède des canons de beauté qui lui sont adaptés et qui reflètent ses aspirations les plus élevées. Certains types de corps et de visages sont considérés comme plus beaux que les autres. Certains types de traits réguliers du visage, certaines morphologies et proportions font partie de notre idéal, de ce qui est recherché et a servi de modèle et de référence de tout temps. Ils ont inspiré les plus grands artistes. Et ils nous motivent aussi à s’abonner au gym lorsqu’on s’aperçoit dans le miroir…

Tableau ci-haut: Le printemps, de Boticelli (1482)

L’antiquité grecque et romaine, puis la Renaissance, possédaient des canons de beauté qui leur étaient propres. L’Occident moderne qui en découle a les siens qui en sont le prolongement linéaire. Ils nous ont appris à rechercher le Beau, le Bon, le Vrai, le Bien, le Juste, vertus cardinales s’il en est.

Un canon dans le domaine des arts visuels, ou canon esthétique, est une règle de proportions des dimensions des membres permettant d’obtenir une beauté idéale en sculpture et en peinture. Par extension, on désigne par canon de beauté les caractères considérés comme constituant la beauté à une époque et dans un lieu donné.

Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Canon_esth%C3%A9tique

Ci-haut: la reine égyptienne Néfertiti, à preuve que la beauté traverse les âges

Instinctivement, l’être humain possède un sens inné du beau qui le guide dans toutes ses activités quotidiennes: agencement des couleurs, styles vestimentaires, coiffure et maquillage, image corporelle, architecture, décoration intérieure, design mobilier, lignes d’automobiles, etc. Ce sens esthétique s’avère un atout précieux pour contribuer à créer un environnement familier et agréable où il fait bon vivre.

Photo: la célèbre Ball Chair, d’Eero Aarnio (1963) au design intemporel

L’ennui, c’est que ces canons de beauté diffèrent grandement des nôtres dans les cultures non-occidentales. Des choses qui sont appréciées dans le tiers-monde seront considérées comme laides, criardes, voire repoussantes ici, nous forçant à détourner le regard de dégoût.

Photo ci-haut: la beauté familière typiquement québécoise qui réjouit l’oeil

Les canons de beauté occidentaux font partie des éléments qui forment notre identité collective d’Occidentaux. À ce titre, ils doivent être préservés au même titre que les autres éléments identifiants qui nous caractérisent. Les altérer résulterait en une atteinte directe à notre culture, un détournement, un amoindrissement, un appauvrissement.

Tout ce qui nous différencie des autres et nous donne notre caractère distinct doit être protégé, valorisé, maintenu, préservé des atteintes étrangères. Chaque peuple a droit à son identité collective qui le rend unique au monde. Il n’y a pas de troupe de théâtre kabuki en Écosse, et pas de corps de cornemuses au Japon. Et c’est très bien ainsi. Tout ce qui risque de nous transformer, de nous dénaturer, de nous faire bifurquer, de nous émousser, doit être fermement repoussé et écarté.

L’un des problèmes avec le phénomène de l’immigration massive tiers-mondiste en Occident, c’est qu’il porte atteinte aux paradigmes de ce que nous considérons comme beau, à notre idéal esthétique, à notre conception du Beau véritable, vers lesquels on cherche à tendre tout naturellement. Notre recherche du raffinement, de l’élégance, se voit remplacée par le tape-à-l’œil, le bigarré, l’excessif, l’exagéré, l’outré, le carrément laid.

Préférez-vous voir toujours plus de ceci (ci-haut) ou plus de cela (ci-bas)?

Ci-haut: quelques personnalités féminines québécoises appréciées du public autant pour leur beauté que leur talent

Tableau ci-haut: Le rêve, de Pablo Picasso (1932)

Une anecdote personnelle. Au siècle dernier, j’étais monté à Montréal pour aller voir une rétrospective Picasso majeure qui valait le déplacement au Musée des beaux-arts. À mon arrivée dans la métropole, j’ai commencé par remonter la rue Sainte-Catherine en faisant du lèche-vitrine touristique et en me faufilant entre des nuées de passants pressés, ce qui ne se voit pas à Québec. Mais au bout d’une quinzaine de minutes, j’ai dû m’arrêter avec un sentiment de malaise aigu. Je me suis dit à part moi: « mais qu’est-ce qui se passe, je ne vois que des visages rebutants depuis 15 minutes ». J’avais atteint la limite de ce que je pouvais supporter. Et tout à coup j’ai compris: depuis 15 minutes, je n’avais vu qu’une enfilade de visages d’immigrés du tiers-monde, des visages non-occidentaux aux corps, aux tenues bigarrées, aux traits et aux coiffures tellement différents des nôtres que l’effet cumulatif en était un de malaise indicible.

Photo ci-haut: activité rassembleuse sur la rue Sainte-Catherine à Montréal, dans un avenir rapproché?

À cette époque, toutes les villes du Québec sauf Montréal ne contenaient que des Québécois de souche qui nous ressemblent, des visages au type reconnaissable, aux traits réguliers, familiers, qui ressemblent à nos proches, qui ressemblent à nos amis, à notre entourage.  Les touristes ne sont-ils pas les premiers à affirmer que les Québécoises comptent parmi les plus jolies au monde? Imaginez alors le choc provoqué par la vue de tous ces visages étrangers, dont plusieurs étaient non souriants, d’autres arborant une mine rébarbative, d’autres encore ayant une expression intimidante, sans oublier qu’on les entendait parler dans des langues gutturales et crachotantes désagréables à l’oreille, certains parlant plus fort qu’il n’est admis ici dans nos convenances, ou sur un ton discordant. Et tous semblant tout à fait indifférents aux autres, personne n’échangeant de regard comme cela se fait normalement, mais évitant plutôt tout contact visuel. On comprend maintenant aisément la cause de mon étourdissement passager.

Ce fut l’une des premières fois que je me sentis ailleurs qu’au Québec même en m’y trouvant, une sensation des plus désagréables et aliénantes qu’il soit donné de ressentir. Et la triste situation n’a fait que se détériorer avec le temps, hélas.

Ci-haut: l’anthropologue français Claude Lévi-Strauss

Le grand anthropologue Claude Lévi-Strauss a reconnu l’importance de garder une distance raisonnable avec les ethnies, les peuples, les cultures trop éloignés, trop différents de nous pour que l’harmonie sociale puisse en résulter. Cela ne pourrait que déconstruire l’univers que nous avons bâti, nous déciviliser.

Photo: des aborigènes australiens

Photo: Dissimulation complète du corps de la femme asservie à l’homme musulman dominant

Voilà que nous possédons une raison valable de plus de limiter l’arrivée massive de ressortissants mal fagotés du tiers-monde pauvre et appauvrissant: la préservation de nos canons de beauté, le maintien de la composition démographique historique de la population.

Pour que le Québec reste à notre image, nous les fondateurs-bâtisseurs de la nation. Et qu’il ne ressemble pas à ailleurs, ni à ceux qui font en sorte que certaines régions de la planète restent encore, malgré toute l’aide internationale généreuse attribuée, sous-développées et sous-civilisées.

Consultez ici une liste des nombreux éléments qui font qu’on est fièrement québécois et rien d’autre.

Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet

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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec

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