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Les résidents de Pesaro se soulèvent contre le laboratoire P3, l’opposition se manifeste dans toute l’Italie
par Mendelssohn Moses
Italie, notre perle, centre du monde occidental, réveille-toi ! Bio-laboratoires à Pesaro, L’Acquila, Sigonella (Namru-3), Trieste, Livorno – hors de ce corps !
Quelques mises à jour sur le cas de Pesaro.
Ses citoyens, peut-être réticents à périr de sitôt, sont excédés par leur étrange Conseil municipal, qui vient de voter début décembre et comme un seul homme avec leur porte-feuille – pardon, c’est certainement le cœur qui a parlé – en faveur de la vente d’un terrain à Torraccia.
On apprend aussi que la parcelle (1500m2 de bio-lab plus 15 000 m2 de terrain pour les animaux) dans la banlieue de Pesaro, sera bradée à 25% en dessous-du prix du marché. Soit 500 000 euro au lieu de 700 000 – ce qui est déjà, pour ne pas dire plus, louche.
Par ailleurs, le bio-lab serait situé juste derrière le Palais des sports et – naturellement – dans une zone plutôt défavorisée parsemée de HLM.
Le projet de bio-lab est tout à fait charmant. Il s’agit de transférer le siège de l’Institut Zooprophylactique expérimental « Togo Rosati » à Pesaro. Il y aura une zone genre de camp de concentration pour animaux à sacrifier (chauve-souris ? pangolins ?), plus une zone prétendument de haute sécurité pour manipuler « in vivo et in vitro des agents viraux dangereux pour l’homme et pour l’animal » selon les dires mêmes du Conseil municipal.
Début janvier, les citoyens furieux se sont d’abord rassemblés devant le siège du journal local Il Resto del Carlino, avant de s’organiser en collectif et de réunir environ 130 personnes dans la Grande Salle des Miroirs du Musée Alexander afin d’élaborer une stratégie,.
Selon un membre du Comité, « en quelques heures, le Comité a recueilli 1000 inscriptions, dont 350 sur le compte Telegram. Surtout, nous recevons des expression de colère de toute la ville et même de toute l’Italie. Ce bio-lab signifiera la destruction définitive de l’économie de notre territoire et de la valeur de nos maisons ». Il explique qu’il s’agira d’un bio-labo de sécurité BS13, dans une zone à fort risque d’inondation à côté du fleuve Foglia. Quid des eaux usés et des fluides corporels des animaux sacrifiés en cas d’inondation ? Dans l’eau potable ? Dans les cours d’eau ? Par ailleurs, Pesaro est une ville de plage, touristique, et ce type de bio-lab fait très peur, sans parler de la dévaluation de marché immobilier en raison du péril.
Le Comité anti-bio-lab n’a pas l’intention de simplement collecter des signatures, mais de travailler avec des avocats pour attaquer la décision communale.
Entretemps, les rédacteurs du site Web, sont allés fouiller sur le site du ministère de la Santé et y ont découvert un texte rédigé par le microbiologiste Francesca Colavita de l’Institut national pour les maladies infectieuses qui nous apprend ce que c’est un bio-lab BSL3. « Risque individuel : élevé. Risque collectif : faible à modéré… susceptibles de provoquer de graves maladies chez l’homme et présentant un risque sérieux pour les manipulateurs. La probabilité que ces agents se propagent dans la collectivité est modérée (sic !). Généralement (sic!) des mesures prophylactiques ou thérapeutiques efficaces sont disponibles ».
Agents tels que Mycobacterium tuberculosis, Dengue, Chikungunya, MERS/SARS-CoV… ou autre ?
Pour le Conseiller de Pesaro Riccardo Pozzi, il y aurait « zéro risque et zéro expérimentation, mais seulement d’immenses opportunités pour Pesaro ». Of course.
Quoique Il Resto del Carlino croit pouvoir se réjouir du fait que le communiqué du Comité anti-bio-lab ne fait pas mention du « Pentagone », de « services secrets », de Wuhan, tous ces thèmes auraient cependant été discutés publiquement pendant la réunion au Musée Alexander.
Pour faire court, cela veut dire que :
- Nous ne savons pas à qui été vendu véritablement ce terrain, l’Institut zooprophylactique servant vraisemblablement de façade juridique.
Nous ne savons pas pourquoi le terrain est bradé à rabais.
Nous ne savons pas qui ou quoi a amené le Conseil municipal à voter à la quasi-unanimité une telle horreur sans consultation par référendum des citoyens.
Nous ne savons rien de l’éventuelle ou possible implication du projet DIANA, de l’OTAN, de la DARPA, de la DIA (Defence Intelligence Agency), des cercles d’Anthony Fauci, du London School of Tropical Medecine … ni des fonds que ces groupements ont pu investir.
Nous ne savons pas non plus si le Conseil municipal détient le pouvoir juridique de prendre une telle décision mettant en danger non seulement la ville de Pesaro mais l’Italie, les virus ne reconnaissant aucune frontière.
Nous ne savons pas qui, au sein du Gouvernement italien, est derrière cette initiative, manifestement un implant otanien.
Pour le chercheur Franco Fracassi, l’Italie devient la nouvelle Ukraine pour les bio-labs perdus pour l’OTAN lors des opérations militaires de la Russie.
• https://www.youtube.com/watch?v=MbDM3crZVb0
• https://www.youtube.com/watch?v=jyihvchM1aE
Voir aussi Thomas Röper d’Anti-Spiegel sur les bio-labs ukrainiens
• https://www.youtube.com/watch?v=sP0TysxxEEI
Nous reviendrons sur tout cela prochainement.
Mendelssohn Moses
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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