Grèce : Couleur locale

Grèce : Couleur locale
  1. Campagne de dons Janvier 2023

    Chers amis lecteurs. 2023 devrait être une année majeure dans le dévoilement de tous les mensonges qui ont permis à certaines puissances de prendre le contrôle de toute l’humanité. Le Great Reset aura peut-être bien lieu cette année, mais pas comme le voudrait le WEF de Davos. En parallèle des guerres économique et militaire, la guerre médiatique est de plus en plus virulente et la nécessité pour les médias alternatifs d’être prêts à y faire face est plus qu’urgente. A Réseau International, nous avons décidé de passer à une étape supérieure avec tous les moyens nous permettant d’être au rendez-vous des grands chamboulements qui nous attendent. Pour cela, nous avons besoin de vous et de votre soutien.

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par Panagiotis Grigoriou

Elle est déjà loin la bénédiction de notre village par ses derniers jeunes, durant la célébration de la Théophanie. Le dernier ferry local de retour au Pirée, a ramené les rares Athéniens venus pour Noël, mais il y a ceux qui restent, à savoir les quelques camping-cars allemands, suisses et français, lesquels rajoutent… alors durablement à notre couleur locale. La pluie est enfin de retour côté météo ; mais aussi que tous ces démons qui nous phagocytent en cette Grèce qui se dit encore éternelle. Même la bonne nouvelle de la réintégration des soignants… libres de vaccin, n’en est pas forcément une.

Le dernier ferry local. Péloponnèse, janvier, 2023

À ce propos justement, la presse spécialisée française, annonce que « le personnel soignant non-vacciné contre le Covid-19 a repris le travail en Grèce, seize mois après sa suspension, a annoncé la Fédération hellénique des employés des hôpitaux publics -POEDIN- dans un communiqué ».

En réalité et d’abord, il s’agit très officiellement de la suspension… de la suspension, autrement-dit, la législation d’urgence pseudo-sanitaire reste en vigueur et elle peut être réactivée à tout moment.

Ensuite, ces soignants suspendus pour avoir refusé les vaccins… du raccourci vital, sont certes réintégrés ; sauf au sein des services de cancérologie, à ceux des soins intensifs et ceci, en suivant certaines « mesures de précaution » qui ne s’appliquent guère à leurs confrères vaccinés. Autrement-dit, ce retour s’effectue en acceptant les mensonges du Régime dans tout son scientisme sataniste en vogue, entre autres, au sujet de la maladie comme de la contamination. Et sur ce fond de l’affaire, la Fédération hellénique des employés des hôpitaux publics – POEDIN – a préféré rester silencieuse.

Car, rappelons-le, le Régime insiste et il insistera jusqu’au bout dans sa politique génocidaire, si personne ne l’arrête. Et pour preuve, la taxe… existentielle, ce PV de 100€ par mois, cumulables, frappant les Grecs ayant plus de 60 ans d’âge qui n’ont pas succombé aux sirènes vaccinistes, est également suspendu, ceci jusqu’aux élections législatives d’ici l’été prochain. Ce qui veut dire que par la suite, plusieurs milliers d’euros seront exigés par le pseudo-fisc grec, au risque sinon, de saisir les biens des… récalcitrants, voire, les mettre à la rue comme tant d’autres.

Camping-cars. Péloponnèse, janvier 2023

Comme l’écrit et le répète avec tant d’émoi justifié et autant juste Laurence Guillon, à travers son blog des Chroniques de Pereslavsk tenu depuis la Russie, nos gouvernants en Occident sont « des formes vides remplies de démons, pareilles à ces insectes que des larves ont peu à peu dévorés de l’intérieur ».

Le crime tant organisé, l’est d’abord d’en haut, Athènes devient aussi une ville de la cocaïne, quand alors les gouvernants sont des lampistes et c’est comme on sait pour cette raison qu’en Grèce, les élus ont voté les lois de la Troïka, transformant le fisc du pays en société anonyme pilotée depuis déjà Bruxelles, d’où sa dénomination actuelle, « Autorité Indépendante des Recettes Publiques » ; le tout, vampirisant à l’occasion l’ensemble de l’ancienne administration fiscale grecque. Après l’euro… le zéro.

Et ce ne sont que des exemples pour illustrer combien et comment les démocratures en Occident ne subsistent sinon que sous forme de lustre, pour ne pas dire de toc omniprésent. Le pays est ainsi bradé, en somme pillé par les parasites globaux sous la bancocratie métastasée, sachant que toutes les décisions politiques n’ont comme but que de suivre l’agenda de la mort, disparition des Grecs comme de tant d’autres nations.

Tradition oblige. Thessalie, janvier 2023 (presse locale)

En ce moment, des pans entiers de l’économie sont transférés ailleurs ; de ce fait, l’ensemble par exemple du secteur de la pisciculture en Grèce appartient désormais à deux sociétés étrangères comme globalistes, et voilà que ces nouveaux maîtres des fonds… à racler, exigent rien d’autre, que la multiplication par 700 de l’étendue des parcs, au-delà encore une fois, de tout écologisme ou autre climatisme… échangiste à la mode.

Dans le même ordre d’idées pratiquées, la « gouvernance » de Mitsotákis a attisé, voire provoqué les incendies de forêt sur l’île d’Eubée, histoire d’y installer les éoliennes des maîtres Allemands et des autres xénocrates réunis, étant donné que les habitants et leurs élus encore locaux s’y était résolument opposées. Ne restait-elle alors que la politique sans la moindre vergogne, celle de la terre littéralement brûlée. D’après les habitants, c’est même « depuis le bureau du Premier ministre que… le plan incendie aurait-été organisé et de fait, exécuté ».

Et c’est également de la même manière, que le Régime du sociopathe Mitsotákis a livré les blindés légers BMP-1 de l’Armée de Terre… à son cousin de Kiev, dégarnissant les îles grecques, et le prétexte tout trouvé, fut celui de leur remplacement par du matériel analogue, lequel serait prétendument bientôt livré par l’Allemagne.

La réalité presque immédiate saute pourtant aux yeux. Berlin livrera finalement son matériel à Zelensky et comme demandé par la Turquie, dont l’Armée de débarquement reste alors prête en face des îles grecques ; ces dernières se trouvent ainsi sans défense.

Le commandant Ioánnis Toúmbas. 1943

C’est du gros jeu, voire du jeu grossier, la famille Mitsotákis fait au passage des affaires avec la large parentèle d’Erdogan, quand par exemple un proche du pouvoir à Ankara fourni de l’électricité en Grèce, tout de même quatre fois plus cher que les centrales thermiques grecques, celles que Mitsotákis a mis à l’arrêt en 2019… pour cause d’écologisme réellement appliqué. Plus l’électricité la plus chère en Europe et pour finir, les éoliennes du dernier vent germanique.

C’est aussi connu, visiblement le Régime d’Ankara a besoin du Régime d’Athènes et vice-versa. Et il est bien lointain ce temps du commandant Ioánnis Toúmbas et de son histoire qui fut celle du destroyer ADRIAS, navire alors qui opérait à proximité des côtes de Kalymnos, en octobre 1943. Il a heurté une mine marine, entraînant la perte de la proue du navire et soufflant la tourelle double de l’avant.

L’ADRIAS parvient à revenir à Alexandrie. Décembre 1943

Après quelques réparations mineures en Turquie, l’ADRIAS parvient à revenir à Alexandrie après un voyage de 400 milles, alors que toute la partie avant du navire, jusqu’à la passerelle, est manquante. Le commandement britannique avait suggéré à Toúmbas l’abandon de son navire, sauf que pour ce capitaine de frégate de la Marine Royale Hellénique, il ne fallait surtout pas perdre le matériel, même par ces conditions.

Certes à l’époque, les peuples ne vivaient guère sous le paradis de leurs gouvernants, qui plus est, par temps de guerre, cependant, les formes autant vides de nombreux chefs d’alors n’étaient manifestement pas toutes remplies que de démons.

Mais en cette Grèce si actuelle, on ne manque pas de formes vides. À l’approche des élections dans quelques mois, c’est tant le grand moment des candidates bimboïdes, comme par exemple dans la région de Trikala en Thessalie.

La… Pénélope locale. Presse de Thessalie, décembre 2022

La… Pénélope locale, candidate conseillère municipale à Kalambáka sous les Météores, se fait photographier à Vienne pour sitôt publier ses photos de passerelle dans la presse du coin… pornographie politique oblige.

Non loin de Kalambáka, Xanthí, autre candidate, cette fois à la députation sous le clan mafieux des Mitsotákis, se fait photographier auprès les familles des villages du coin, c’est comme on le pense… un argument visible et valable.

Xanthí, autre candidate en Thessalie. Presse locale, janvier 2023

Et l’on dirait enfin que le temps d’une certaine grande beauté féminine, à la manière de Sophia Loren photographiée en Grèce en 1957, ce temps n’est peut-être plus. Elle était la protagoniste du film « Ombres sous la mer » de Jean Negulesco, tourné en Grèce, sur l’île d’Hydra.

Et pour les besoins du film, Sophia Loren a même interprété en grec la chanson, « Τι είν’ αυτό που το λένε αγάπη ; – Qu’est-ce qu’on appelle amour ? », devenue un classique de la chanson populaire grecque, ayant même connu un certain succès international.

Mais en 2023, nos bénédictions même, peuvent tomber à l’eau et l’on connait bien la nouvelle musique. On dira à l’occasion, que jamais par le passé, tant de pots cassés vides, n’auront sollicité… tant de démons. La chute semble ainsi globale. Jour après jour, la presse du régime crache à la figure du peuple à masque, de la pédophilie, de l’escroquerie ouverte de la part des élus, des viols sur mineurs et des viols tout cour, des assassinats et bien entendu du LGBTisme pédagogique… dès la maternelle à l’école.

Un journaliste vedette du Régime a même dit à la télévision cette semaine que « seuls les extrémistes sont toujours gênés par le vol de l’argent public dont font preuve certains élus. Ces mêmes extrémistes voudraient ainsi nuire à notre démocratie ». Voilà que… c’est convenablement dit.

Sophia Loren photographiée en Grèce en 1957. Internet grec

Sauf que parmi les journalistes, il n’y a pas que les petits démons qui s’expriment. Il y a eu ainsi ce pauvre Ioánnis Politídis, journaliste local à Lesbos, ayant dénoncé tout un réseau de prostitution avec… la participation d’au moins une fille mineure. Quelques jours après, Politídis qui craignait déjà pour sa vie, a été retrouvé pendu à son domicile. Sans Théophanie… ni même bénédiction. Beau pays grec.

Faits dits divers. En Épire, rien qu’en cette région de la Grèce, 19 églises ont été abimées, saccagées ou cambriolées durant l’année déjà apocalyptique de 2022. La presse locale publie certes les photos des coutumes encore vivantes, quand par exemple en montagne entre l’Épire et la Thessalie, les habitants font bouillir de la viande qui est consommée dimanche après la Théophanie, mais rien n’y fait vraiment.

Elle est donc déjà passée la bénédiction de notre village par ses derniers jeunes, voire, la bénédiction de l’ensemble du pays grec. Pourtant, après avoir ramassé les olives face à la mer, les gens d’ici sont sitôt replongés dans l’interminable hiver, non pas météorologique mais ontologique.

Paysages et douceur. Péloponnèse, janvier 2023

Les maladies vaccinistes et les maladies… tout court en plus. Au même moment, plusieurs médicaments manquent cruellement dans les pharmacies, dont ceux à base de Paracétamol. « Ils ont fabriqué plusieurs milliards de doses dans l’affaire des dits vaccins, et voilà qu’ils prétendent que nous ne pouvons pas faire fabriquer du Paracétamol, bonne blague », me dit en rigolant le pharmacien du village.

Et dans le voisinage, le chef d’une famille albanaise est frappé d’une étrange maladie neurologique. Ses jambes, ses mains se paralysent jour après jour et il est de nouveau hospitalisé depuis hier à Athènes. « C’est depuis ces foutus vaccins que tout est arrivé, mon mari n’a jamais été malade auparavant. Nous avons été vaccinés car on nous a dit que nous ne pouvions pas fêter le mariage de notre fils à la taverne, c’était en 2021. C’est de la tromperie ».

Et c’est un équivalant neurologique de ce que subit mon cousin au village thessalien, depuis près d’un an. En tout cas, certains amis médecins, par exemple en Thessalie, me disent que les cas… parfois mortels se suivent et se succèdent et que pour l’instant, le monde médical fait semblant de ne rien « dire de trop » et qu’entre temps, plus personne presque, n’a envie de poursuivre dans… la saga vacciniste.

Reste enfin la beauté des paysages et la douceur du climat. Les pratiquants de quelques camping-cars allemands, suisses et français, qui rajoutent… alors durablement à la couleur locale, trouvent à l’occasion notre pays merveilleux, calme et doux.

« Nous avons pris une année sabbatique en septembre. Après le Portugal et l’Espagne nous sommes passés par l’Italie, d’où nous avons pris le ferry pour l’Albanie. Par la route, nous sommes arrivés en Grèce… et alors quel bonheur que cette légèreté et de ce fait… cet accueil. Nous irons plus tard en Turquie, et pour finir, nous allons remonter en France par les Balkans, la Bulgarie, la Roumanie et ensuite la Hongrie et l’Allemagne. Non, il n’y a ici ni guerre, ni troubles, c’est super, en plus il y a tant de chats partout ».

Notre Volodia, mouillé par la pluie. Péloponnèse, janvier 2023

En effet il y a nos chats, et nous voilà à ce propos bien comblés. Notre Volodia, le plus valeureux et le plus intelligent des matous, est en train de courir en ce moment les jupons. C’est de saison… et il est alors revenu affamé et en partie mouillé par la pluie. Le tout, sous le regard de notre Hermès, l’impassible alors garde de la maison, avec Mimi.

La bénédiction de notre maison, de notre village même… par ses derniers jeunes.

Un grand merci aux amis, lectrices et lecteurs du blog, pour leur contribution à notre campagne annuelle – http://www.greekcrisis.fr/2022/12/Fr0837 – de soutien financier, si important par les temps qui courent. Mais… il va falloir encore poursuivre.

Hermès, l’impassible garde de la maison. Péloponnèse, janvier 2023

source : Greek Crisis
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Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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