Isabel Vaughan-Spruce.
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : ADF UK
20 décembre 2022, Birmingham, Angleterre (Alliance Defending Freedom) — Une bénévole d’une organisation caritative a été arrêtée et inculpée de quatre chefs d’accusation après avoir dit à la police qu’elle « pourrait » être en train de prier silencieusement, lorsqu’on lui a demandé pourquoi elle se tenait sur une voie publique près d’un centre d’avortement.
La police a abordé Isabel Vaughan-Spruce qui se tenait près de la clinique Robert, gérée par le British Pregnancy Advisory Service, à Kings Norton, Birmingham. Vaughan-Spruce ne portait aucune pancarte et est restée complètement silencieuse jusqu’à ce que les policiers l’approchent. La police avait reçu des plaintes d’un témoin qui soupçonnait Vaughan-Spruce de prier silencieusement dans sa tête.
« Il est odieux que j’aie été fouillée, arrêtée, interrogée par la police et accusée, simplement pour avoir prié dans l’intimité de mon esprit. Les zones de censure prétendent interdire le harcèlement, qui est déjà illégal. Personne ne devrait jamais être victime de harcèlement. Mais ce que j’ai fait est tout sauf nuisible : j’ai exercé ma liberté de pensée, ma liberté de religion, dans l’intimité de mon esprit. Personne ne devrait être criminalisé pour avoir pensé et prié dans un espace public au Royaume-Uni », a déclaré Mme Vaughan-Spruce, après son arrestation pour avoir prié en silence.
La mesure de zone de censure introduite par les autorités de Birmingham criminalise les individus perçus comme « s’engageant dans tout acte d’approbation ou de désapprobation ou toute tentative d’approbation ou de désapprobation » en rapport avec l’avortement, y compris par « des moyens verbaux ou écrits, la prière ou le conseil ».
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