Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : dragonstock/Adobe Stock
3 janvier 2023, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — La Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis a annoncé qu’elle allait modifier l’étiquetage de la pilule contraceptive d’urgence Plan B afin de « clarifier » qu’il ne s’agit pas d’un abortif, malgré les preuves que ce produit peut fonctionner de façon à tuer des embryons déjà conçus.
Dans une annonce faite le 23 décembre, la FDA a déclaré que Plan B « ne fonctionnera pas si une personne est déjà enceinte, ce qui signifie qu’il n’affectera pas une grossesse existante. Plan B One-Step prévient la grossesse en agissant sur l’ovulation, qui se produit bien avant la nidation. Les preuves ne permettent pas d’affirmer que le médicament affecte l’implantation ou le maintien d’une grossesse après l’implantation, il n’interrompt donc pas une grossesse. »
La FDA a affirmé qu’elle supprimait le langage reconnaissant la possibilité d’empêcher l’implantation parce qu’un examen de « la science actuelle permet de conclure que Plan B One-Step agit en inhibant ou en retardant l’ovulation et les changements hormonaux de milieu de cycle » et qu’« il n’y a pas d’effet direct sur les processus postovulatoires, tels que la fécondation ou l’implantation ».
En fait, cependant, Plan B a une capacité abortive, et le fait qu’il empêche la fécondation ou l’implantation dépend du moment où il est pris par rapport au cycle de la femme. Les pro-vie accusent depuis longtemps les militants de l’avortement de nier ce fait, non pas scientifiquement, mais en usant d’expédients.
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