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Campagne de dons Janvier 2023
Chers amis lecteurs. 2023 devrait être une année majeure dans le dévoilement de tous les mensonges qui ont permis à certaines puissances de prendre le contrôle de toute l’humanité. Le Great Reset aura peut-être bien lieu cette année, mais pas comme le voudrait le WEF de Davos. En parallèle des guerres économique et militaire, la guerre médiatique est de plus en plus virulente et la nécessité pour les médias alternatifs d’être prêts à y faire face est plus qu’urgente. A Réseau International, nous avons décidé de passer à une étape supérieure avec tous les moyens nous permettant d’être au rendez-vous des grands chamboulements qui nous attendent. Pour cela, nous avons besoin de vous et de votre soutien.
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par Panagiotis Grigoriou
- Basculement… calendaire. C’est bien connu, les hommes et leurs civilisations ont toujours été de leurs doctrines de repérage à travers les dates, et en fonction du temps perçu comme tel. Donc : « Bonne année » ; car, malgré les apparences trompeuses, nous avons autant besoin que d’entendre quelqu’un nous souhaiter le meilleur. Et d’abord entre nous.
Fidèle à la tradition, le blog greekcrisis.fr souhaite à ses lecteurs, ainsi qu’à ceux du Réseau International du Net, la bonne année, ou plutôt, que cette année 2023, soit enfin la bonne. Non pas seulement pour le travail, je dirais même la mission de réinformation qui est la nôtre et si bien la vôtre, mais pour que l’hybris finissante, finisse alors par être anéantie.
« Beau programme », diraient même certains. Et voilà qu’il en était question par cette première journée de l’année, au café de notre village, entre contre-initiés. Sociabilité, retrouvailles et détermination.
Nous nous sommes de la sorte engagés à étayer notre réinformation jusqu’aux jeunes du village, car à l’image de ce qui se passe ailleurs en ce vieux pays, un tiers parmi les Grecs se déclarent plutôt réveillés mais ne savent pas comment réagir, un autre tiers est composé d’irrécupérables et pour le dernier tiers, il y a ces Grecs qui finissent par éteindre leurs postes de télévision, seront bien peut-être à leur tour, un jour… être « réanimés ». Donc oui, encore une fois,… bonne et heureuse année, déjà que… l’Atlantide bien de chez nous a fait faillite. Bon signe on dirait.
En plus, il a fait bien beau et chaud, une heureuse nouvelle pour ce qui est des frais de chauffage, même si tout le monde prédit que cela ne durera pas.
Nos pêcheurs étaient également de sortie entre Noël et le Nouvel an ; et c’est ainsi que nous nous sommes procurés auprès d’eux, de quoi faire cuire notre bon plat unique du 31 décembre, également grâce à notre poêle à bois et son four. Réveillon simple, presque d’anachorète, entre nous et nos chats.
Car il faut rajouter que depuis 2012, c’est tout de même le premier hiver que nous n’avons plus froid chaque… petit soir à defaut du grand, ceci grâce au bois des oliviers du Péloponnèse, grâce enfin à la technologie… révolutionnaire d’il y a déjà tantd de siècles. Plus l’électricité et Internet.
Sans oublier non plus notre Vassilópita, une sorte de gâteau-cake disons l’incontournable des fêtes de fin d’année en Grèce, l’équivalente toute proportion gardée, de la galette des rois en France, en y mettant une pièce parfois emballée dans un papier alu au lieu d’une fève.
La Vassilópita, c’est d’abord et littéralement, le gâteau de Saint Basile de Césarée qui est fêté le 1er janvier. Outre un ecclésiaste et un théologien de grande réputation au IVe siècle, il fut cet évêque de Cappadoce en Asie Mineure ayant mis en place plusieurs institutions d’aide, voire de formation, on dirait aujourd’hui « professionnelle », au profit des humbles et des oubliés de tout temps.
À l’époque, le gouverneur de Cappadoce se préparait à imposer de force, un impôt bien lourd aux habitants de Césarée et Basile le Grand, a demandé aux administrés aisés de collecter autant d’or qu’ils pouvaient, afin de le livrer au gouverneur pour ainsi apaiser sa voracité. Sauf que le paiement de cette rançon ne s’est jamais réalisé « par miracle », et que par la suite, les objets de valeur collectés, ont été distribués à l’ensemble de la population, petits trésors… placés dans de petits cakes offerts à toutes les familles.
Depuis, entre le jour du Nouvel an qui est également celui de Saint Basile et le mois de février, c’est au sein de chaque famille que l’on coupe la Vassilópita en plusieurs morceaux en faisant le symbole d’une croix. Autant de morceaux que de personnes présentes dans la maison, voire les membres les plus proches, et parfois même absents par la force des choses, sans oublier les cas échant les animaux. D’après la tradition, le morceau contenant la pièce, aura ainsi donné de la chance durant toute l’année qui vient de commencer, à l’âme dont ce dernier avait été attribué.
Et hier soir chez nous, le… gagnant de la pièce fut Volodia, le plus vaillant et le plus valeureux des matous. Sauf que finalement, c’est bien notre Mimi, la doyenne des chats chez nous, qui a… la première, goûté à notre Vassilópita, pendant que le presque jeune Hermès, se réveillait tout juste de sa sieste.
Plus tard au café de notre village en ce Péloponnèse des mythes, le patron a offert ses derniers gâteaux de Noël et de Nouvel an à tous ses clients, pendant que les rares visiteurs, enfants plutôt du pays habitant à Athènes, se préparaient à prendre la route du retour, ou pour certains d’entre eux, le… ferry spécial bonne année à destination du Pirée.
Nous avons en conséquence refait le monde, en tout cas le nôtre, pour que 2023 soit peut-être la bonne année pour un amorcement dans le retournement du situationnisme des satanistes. « Rien ne se fera sans que l’on bouge les gars », a-t-il dit Dimitri, l’occasion aussi pour lui, que de critiquer ceux qui prétendument issus des milieux de l’Orthodoxie, disent aux autres « qu’il faut tout simplement laisser agir Dieu ». Ou sinon, passer outre ce fatalisme eschatologique de saison, car comme les anciens croyaient, « Aide-toi, Athéna t’aidera ! »
Dimitri est même allé plus loin dans sa manière de voir et d’analyser. « Méfions-nous de tous ces gens, ces défaitistes de l’apraxie. Ils sont souvent les agents du Régime de la Khazarie d’Athènes et de bien plus loin ».
Basculement… de ce fait calendaire, car, malgré les apparences trompeuses, nous sommes encore là, et nous comptons bien y rester. Bonne année !
Et encore une fois, un grand merci aux amis, lectrices et lecteurs du blog, pour leur contribution à notre campagne annuelle – http://www.greekcrisis.fr/2022/12/Fr0837 – de soutien financier, si important par les temps qui courent. Nous arrivons grâce à vous, à la moitié du but fixé il y a un mois, mais il va falloir encore poursuivre.
source : Greek Crisis
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