La moraline vide les salles plus sûrement que le covid…
C’est l’effet Streisand de la dernière leçon de mémoire du « bouffon inculte » – selon la dure voix des RS – exfiltré à Los Angeles qui joue comme un pied. C’est pas du racisme, c’est du bon sens : Sy n’aurait aucune chance devant le jury de la Comédie française.
Mais voilà, antiracisme oblige, Omar rime avec star, une star principalement élue par les médias, car niveau entrées, ses films en salles font surtout des cartons de SDF. Nonobstant, les people gauchistes n’ont aucune retenue dans leur postillonnage idéologique. À croire que l’argent – Omar a signé un contrat de 15 millions de dollars chez Netflix pour une dizaine de navets – donne raison en tout, rend intelligent !
Le film avec Omar sur les pauvres tirailleurs africains de la Première Guerre mondiale – les centaines de milliers de victimes non noires venues de nos campagnes peuvent crever – sort le 4 janvier 2023 et l’acteur principal n’a pas résisté à la tentation de nous les briser avec son paléo-antiracisme.
Attention : dans la publicité qui va suivre, un méchant Blanc à cheval poursuit et tape un Noir qui court à pied. La scène peut choquer les enfants. Ceux qui ne sont pas racistes peuvent passer au paragraphe suivant sans regarder cette violence raciste.
Seuls les gauchos masos (pléonasme) payeront 10 ou 12 euros pour aller voir cette omarerie. Pour nous, c’est culturellement et politiquement impossible. On doit au médiocre réalisateur Bouchareb d’avoir lancé la mode de la guerre mondiale française raciste avec Jamel dans une compagnie de tirailleurs en 1943.
« Cinéma, mais c’est plus que du cinéma, avec la sortie événement de la semaine, Indigènes », lance David Pujadas.
Exact : ce n’est plus du cinéma, c’est de l’idéologie, et ça vide les salles, puisque l’antiracisme BHLien, attalien de SOS Racisme, malgré une propagande massive depuis 40 ans, est tout sauf populaire. Ce qui ne veut pas dire que les Français sont racistes, évidemment : ils sont juste remontés contre ceux qui leur foutent des migrants dans les pattes pour les traiter de racistes, nuance.
Omar, lui, a tout compris au film : il compense la pauvreté de son jeu par une posture antiraciste, ce qui le place dans le champ politique et non culturel, et encore moins artistique. Du moment que c’est pour ces connards de Français, ces cochons de payants esclaves de la propagande, la qualité n’est pas de mise et c’est tout bénef pour les producteurs à l’arrivée : car les jeunes seront forcés de voir ce genre de films.
On peut parier que comme pour La Rafle de Rose Bosch, qui avait été étrillé par le fils Bedos, des wagons entiers de collégiens et lycéens seront traînés dans les salles désertées pour voir Tirailleurs, histoire de valoriser les futurs vaincus de la guerre riches/pauvres (on dit aussi de la lutte des classes), d’en faire des vainqueurs de pacotille en niquant la France et les Français…
« Pauvres petites têtes blondes et brunes obligées de chialer devant des mauvais films… »
Racisme inconscient oblige, avant les petits Français, ce sont les petits Sénégalais qui sont les premières victimes de la moraline omarienne.
« J’ai besoin de partager cette histoire » : Omar #Sy s’est rendu à #Dakar pour présenter son nouveau film #Tirailleurs, qui raconte l’histoire des soldats africains qui ont combattu dans les troupes françaises lors de la Première Guerre mondiale pic.twitter.com/AymFmTa1ss
— FRANCE 24 Français (@France24_fr) December 29, 2022
Les Indigènes qui se sont battus pour la France et qui n’en ont pas obtenu la nationalité méritaient mieux, mais le cinéma antifrançais d’aujourd’hui est idéologiquement biaisé. Voici l’extrait de l’interview d’Omar dans Le Parisien qui a déclenché l’ire des RS :
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation