L’ÉDI, une idéologie à combattre et éliminer au nom du bon, du bien et du juste
Les mondialistes tordent le sens de ces mots à mauvais escient
On parle beaucoup d’une nouvelle idéologie sectaire qui tente de prendre le contrôle de nos institutions et en réorienter l’approche des choses, dans le but avoué de nous rééduquer, nous reformater, nous soumettre, nous diminuer. Elle s’insinue, s’invite, elle cherche à s’imposer.
Cette idéologie aversive s’appelle ÉDI, pour équité, diversité, inclusion.
Voir ici à quel point elle est répandue dans nos institutions d’enseignement et y sème la terreur.
Voyons voir comment ces grands prêtres célébrant leurs messes noires souterraines et débordant de mauvaises intentions sataniques s’y prennent pour nous berner, pour se faire passer pour les bons contre nous les soi-disant méchants.
Photo de propagande: une majorité de multiethniques et multiraciaux présentés comme l’avenir de remplacement des sociétés occidentales
Pour nous forcer à se soumettre malgré nous à cette indéfendable idéologie qu’est l’ÉDI, on choisit tout d’abord des mots (équité, diversité, inclusion) qui dégagent une connotation positive communément admise, et puis on en tord le sens de manière abusive pour imposer tout un programme d’actions mauvaises et nuisibles, en disant: « comment pourrait-on être contre ces beaux grands mots parlant de fraternité universelle, de concorde, de bonne entente, de compréhension mutuelle, d’ouverture à l’autre la main tendue, et d’harmonie entre les êtres humains? Cela ferait de vous des grands méchants, des bandes de pas fins. Vous voyez bien que c’est nous qui sommes les vertueux, les bien-pensants, les gentils. Nous savons ce qui est bien pour vous. Et vous n’avez même pas le choix d’y adhérer. Ne voulez-vous pas être du bon bord? ».
Photo de propagande: une majorité de multiethniques et multiraciaux présentés comme l’avenir de remplacement des sociétés occidentales
Déboulonnons toutes ces faussetés.
– L’équité, c’est bien en général. Mais c’est mal lorsqu’on l’invoque pour remplacer les qualifications, le mérite, les compétences, l’expérience, les réalisations reconnues, par le pistonnage racial, ethnique, en fonction du genre, de l’orientation sexuelle, etc.
C’est non à l’équité dans ce sens-là.
– La diversité, c’est désirable au niveau mondial: diversité des plantes, des espèces animales, des peuples, des cultures. Mais c’est mal au niveau local. La diversité dans un état de petite taille et une population homogène comme celle du Québec dissout l’irremplaçable identité collective, gangrène sa culture distincte, amenuise sa population de souche, met en péril sa langue, ses moeurs et son mode de vie.
C’est non à la diversité dans ce sens-là.
– L’inclusion, c’est bien en général, par exemple inclure un nouveau joueur de hockey pour qu’il sente qu’il fait partie de l’équipe. Mais c’est mal si cela signifie accepter qu’un immigré refuse d’apprendre le français, ne consomme pas la culture québécoise, ne vive pas selon nos règles et valeurs, qu’il cherche à faire passer sa religion au-dessus de nos lois, qu’il conteste judiciairement les lois voulues démocratiquement par la majorité, qu’il se concerte pour empêcher la nation d’atteindre son indépendance libératrice légitime. La bonne attitude à adopter face à lui est alors l’exclusion.
C’est non à l’inclusion dans ce sens-là.
Autrement dit, ces 3 termes dont on tord abusivement le sens ne sont pas désirables lorsqu’on s’en sert comme l’ÉDI le fait par fanatisme idéologique, par sectarisme destructeur, pour tromper la population, nous laver le cerveau.
Photo de propagande: et voilà, c’est fait: plus aucun Blanc dans les jambes!
Par bonheur, nous avons un premier outil de riposte dans la récente loi 32, qui est censée protéger la liberté d’expression et d’opinion, le droit de penser et de débattre des idées dans les établissements d’enseignement supérieurs dans le but de déjouer les vils idéologues qui cherchent à en prendre le contrôle.
Photo de propagande: un monde enfin débarrassé des Blancs! On ne cache pas sa joie!
Image ci-dessus: l’ÉDI sous les traits forts ressemblants de Belzébuth
N’hésitons pas à recourir à la loi 32 chaque fois que la diabolique ÉDI pointe sa tête de Belzébuth maléfique dans toutes les sphères de la société.
Photo de propagande: le monde idéal de l’ÉDI: un monde dédié à l’exclusion des Blancs. Mais qui en veut, sauf les principaux intéressés, c’est-à-dire les remplaceurs de population?
En conclusion, il faut opposer un non catégorique à tous ceux qui prônent l’idéologie malfaisante de l’ÉDI et s’activer à les mettre en déroute, comme on doit le faire tout autant pour les bandes de wokes, une autre engeance méprisable qu’il faut mettre hors d’état de nuire.
Photo de propagande: une majorité de multiethniques et multiraciaux présentés comme l’avenir de remplacement des sociétés occidentales
Contre l’endoctrinement de l’ÉDI, la loi est désormais de notre bord, la loi 32 québécoise. Ce sont donc bien les Édistes qui sont les méchants dans cette histoire.
Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir votre réflexion sur le sujet
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec