Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Andy Dean/Adobe Stock
12 décembre 2022 (LifeSiteNews) — Une hôtesse de l’air chrétienne a été réintégrée dans son poste cinq ans après avoir été licenciée pour ses opinions pro-vie.
La semaine dernière, un juge fédéral de Dallas a statué en faveur de Charlene Carter, qui a poursuivi Southwest Airlines et le syndicat Transportation Workers Union of America (TWU) pour l’avoir injustement licenciée en 2017 après qu’elle ait refusé de soutenir l’avortement par le biais de son syndicat local. Carter était représentée par des avocats de National Right to Work Foundation [Fondation nationale pour le droit au travail].
« La Cour a rejeté les arguments du syndicat et de la compagnie aérienne et a également ordonné que Carter soit pleinement réintégrée en tant qu’hôtesse de l’air chez Southwest, écrivant que « Southwest peut ‘vouloir s’éloigner’ de Carter parce qu’elle pourrait continuer à exprimer ses convictions, mais le jury a estimé que Southwest a illégalement licencié Carter pour son expression protégée » », selon un communiqué de presse de l’organisation juridique.
Le juge a ordonné à Southwest et au TWU de restituer à Carter « le montant maximum des dommages compensatoires et punitifs autorisés par la loi fédérale, plus les arriérés de salaire ». Le tribunal a noté que si elle ne recevait que le salaire qu’elle aurait gagné avant de trouver un autre emploi, « le tribunal achèverait le procédé illégal de Southwest » de l’avoir licenciée injustement.
« Charlene a promis à Dieu qu’elle ne se tairait jamais sur la défense de la vie après avoir trouvé le pardon pour son avortement », a publié Texas Right to Life sur Twitter après la décision du tribunal. « Elle a été licenciée pour avoir exprimé ses convictions. Un tribunal a maintenant ordonné à Southwest de lui verser des millions de dollars de dommages et intérêts et de la réembaucher. Bravo, Charlene ! »
Il y a cinq ans, Charlene Carter a perdu son emploi après s’être opposée à l’utilisation par son syndicat de fonds destinés à soutenir l’industrie de l’avortement. Elle a finalement été licenciée après que la direction ait pris connaissance de messages sur les médias sociaux dans lesquels elle exprimait son inquiétude, en invoquant ses convictions religieuses et pro-vie.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
Source: Lire l'article complet de Campagne Québec-Vie