Le frère-la-truelle Jean-Luc Mélenchon milite pour un Nouvel ordre mondial ! + Alarm Phone

Le frère-la-truelle Jean-Luc Mélenchon milite pour un Nouvel ordre mondial ! + Alarm Phone

Voici le véritable projet du clown Merluchon, le Nouvel ordre mondial ! Incapables de gérer des nations, ces zozos veulent gérer le monde entier sous la même bannière !

Nous avons intérêt à un ordre international. Pas au monde multipolaire qui mène à la guerre. Un monde ordonné, où la loi internationale décidée à l’ONU l’emporte. Les capitalistes, eux, utilisent les tribunaux d’arbitrage pour que la loi ne joue plus aucun rôle.#MelenchonILERI pic.twitter.com/lgMoLu6AXt

Source : Le Libre penseur

Un n° de TÉLÉPHONE MIRACLE. Mais que vous ne connaissez pas !  

Tous les jours en ce moment ils sont 50 à 60 à arriver en FRANCE.

 Clandestins : une machine bien huilée qui tourne à plein régime…  Je me suis toujours demandé  comment les téléphones pouvaient continuer à fonctionner dans un pays à moitié détruit, sur une barque, etc..

Comment sont payés les abonnements ?

Où les téléphones sont-ils branchés après un séjour en mer de plusieurs jours sans prise électrique à bord ?

Comment les caméras des journalistes sont là et au bon moment et cela en pleine mer ?

Voici l’explication : Voilà comment ça marche.

Le coup du téléphone satellitaire bien rôdé, miraculeux même !

Sur mon journal quotidien ce matin, mon attention fut attirée par une grande photo montrant des naufragés clandestins voguant sur un canot pneumatique. Banal, me direz-vous, on ne parle plus que de ça, je décide donc de tourner la page. Mais c’est à ce moment que la légende incrustée dans la photo m’interpelle :

« en pleine mer, ils appellent Strasbourg ».

Des migrants en détresse peuvent composer un numéro d’appel téléphonique (0033486517161- tel: 04 86 51 71 61 dont le destinataire est le bureau strasbourgeois de l’association des Travailleurs maghrébins de France.

J’ai appelé moi-même ce matin ce téléphone.

Une femme m’a répondu pour savoir si j’avais un problème avec un bateau.

Essayez par vous-même vous verrez ! Et donc c’est vrai.

Là, un correspondant décroche, demande la position du bateau, le nombre de personnes à bord, s’il y a des blessés, etc…   

Son collègue transfère le message aux garde-côtes de l’organisation FRONTEX , organisme EUROPÉEN de surveillance des frontières de l’Europe pour que le bateau soit secouru le plus rapidement possible, et ensuite pour s’assurer que les garde-côtes se portent bien au secours des migrants en difficultés.

Ces appels au secours sont planifiés bien à l’avance par le collectif.

« Watch the Med » qui distribue aux candidats à l’émigration des cartons comportant un n° de téléphone et l’intitulé du collectif.

C’est écrit en anglais, arabe, français et persan.

Au verso, il est précisé que s’ils n’étaient pas rapidement secourus, le collectif ferait pression sur les médias et les politiques. 

Il y a aussi des contacts au Maroc et en Tunisie où les cartons sont distribués sur place. 

On en distribue même à Calais, Vintimille et d’autres lieux en Europe.  

Vous pourrez faire remarquer qu’ils sauvent des vies humaines, mais vous n’allez pas nous faire croire que ces gens ne connaissent pas les risques encourus . Ils viennent peut-être du fin fond de la Somalie, mais ils regardent aussi les informations télévisées et savent exactement ce qui les attend. 

Et puis, on parle surtout de ceux qui sont en détresse (forcément, quand on monte à 200 sur un bateau prévu pour 20), mais combien d’entre eux passent sans trop d’encombres, sauf dans la dernière ligne droite. 

Car le truc est bien connu désormais : on provoque une avarie de moteur et on appelle le numéro de Strasbourg par téléphone satellitaire, facile !

Les garde-côtes embarquent tout le monde, et une heure plus tard tous les passagers mettent les pieds dans une Europe où ils seront inexpulsables.

Comme ils n’ont effectué aucune formalité pour obtenir une autorisation de séjour, de migrants, ils sont passés au stade de clandestins.

Ainsi donc, sous couvert d’une action humanitaire, un collectif ayant pignon sur rue en France et relayé par l’association des travailleurs maghrébins de Strasbourg ,organise l’immigration clandestine en Europe et par conséquent dans notre pays sans que cela n’émeuve personne.

Ainsi donc, ce collectif et cette association sont un maillon de la grande chaîne des passeurs que notre ministre de l’intérieur promet à moultes reprises de sanctionner avec la plus grande sévérité. (pipeau ! … )

   Jean-Louis Burtscher*

 Confirmation sur : https://www.infomigrants.net/fr/post/12355/alarm-phone-un-numero-d-alerte-pour-les-migrants-en-detresse-en-mer-mediterranee
 

Alarm Phone, un numéro d’alerte pour les migrants en détresse en mer Méditerranée

Si vous êtes en mer sur une embarcation de fortune et que vous êtes en difficulté, sachez que vous pouvez appeler le 0033 4 86 51 71 61. Le numéro est relié à une équipe de bénévoles qui alertera pour vous les garde-côtes compétents.

Cet article a été actualisé en mars 2021.

Créé en 2014, Alarm Phone est une ligne téléphonique d’urgence pour venir en aide aux migrants qui se trouvent en difficulté en mer Méditerranée – depuis la mer Égée jusqu’à la mer d’Alboran. Une centaine de bénévoles assure une permanence téléphonique continue. Alarm Phone est joignable 24h/24 et 7 jours sur 7.

Le service est disponible dans une quinzaine de langues même s’il est « préférable de communiquer en anglais ou français », précisent les bénévoles dans une vidéo d’explication (voir ci-dessous).

« Il faut bien savoir que nous ne sauvons personne. Notre rôle est d’alerter les autorités afin de déclencher des opérations de sauvetage », insiste auprès d’InfoMigrants Hatem, un des bénévoles d’Alarm Phone. Depuis 2014, Alarm Phone a reçu plus de 3 500 appels de bateaux en détresse.

Vous êtes en mer et vous cherchez de l’aide, voici la procédure à suivre :

  • Appelez les garde-côtes : les téléphones portables captent au large des côtes mais pas en pleine mer.
  • Si les garde-côtes ne répondent pas, appelez Alarm Phone au 0033 4 86 51 71. Un bénévole répond à l’appel à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit.
  • La personne en ligne vous pose une série de questions, auxquelles vous devez répondre le plus précisément possible :

– Quelle est votre position GPS ? « C’est l’information la plus importante pour pouvoir localiser un canot », explique Alarm phone.

On peut trouver sa position grâce à un smartphone ou un téléphone satellitaire. Si vous n’en avez pas, observez des points remarquables en mer : îles, bateaux, plateformes pétrolières…

– Avez-vous appelé les garde-côtes ?

– Quelle est l’heure, quel est le lieu de départ de l’embarcation ?

– Quel est le lieu de destination ?

– La description du bateau dans lequel vous vous trouvez : le type du bateau, sa taille, sa couleur, son état (s’il y a des fuites, si le moteur est tombé en panne…).

– Le nombre de personnes qui se trouvent à bord : nombre de femmes, d’hommes et d’enfants.

– Y a-t-il des blessés à bord, avez-vous besoin d’une assistance médicale ?

Sachez que pour des raisons de sécurité, toutes les conversations sont enregistrées.

  • Alarm Phone informe ensuite les garde-côtes et/ou les navires humanitaires présents dans la zone. Sans réaction de la part des autorités compétentes, Alarm Phone se réserve le droit d’alerter les bateaux marchands ou de particuliers qui se trouvent aux alentours.
  • Alarm Phone surveille les opérations de sauvetage en mer jusqu’à l’arrivée des secours.
  • Si vous n’êtes pas secouru rapidement, n’hésitez pas à rappeler Alarm Phone. « Nous contacterons différents médias et responsables politiques dans le but de faire pression sur les services de secours », est-il écrit sur leur site internet.

alarmphone – comment ça fonctionne? from Alarmphone on Vimeo.

Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme

À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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