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<figure id="thumbnail" style="display:none"><img src="https://i0.wp.com/xn--tl-bjab.fiatlux.tk/wp-content/uploads/sites/6/2022/12/traite-du-loup-des-steppes-reser.jpg?fit=1280%2C720&ssl=1" style="display:none"></figure><div class="jetpack-video-wrapper"><iframe loading="lazy" title="Traité du Loup des steppes réservé aux insensés [HERMANN HESSE]" width="650" height="488" src="https://www.youtube.com/embed/GNNz1rcPs10?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></div>
Instagram : @virginievota
Mais qui est vraiment le loup des steppes ? Un fou, qui ne parvient pas à vivre comme tout le monde, dans la société ? Ou bien, au contraire, un homme sensé, l’un des seuls, en proie à la déréliction dans ce monde de fous ?
En lisant le "Voyage au bout de la nuit" de Céline, je songe immédiatement au lien entre Harry Haller et Bardamu, obligé de feindre la même folie que ces fous qui veulent mourir, pour survivre… Qu’ils ont soif de vivre, tous les deux, sous leur désespoir apparent ! Mais oui, on verrait presque le regard compatissant du Petit prince se poser sur eux, lui qui ne comprend pas pourquoi la poésie tient si peu de place, en ce monde…
Car c’est cette douleur de l’âme que nos anti-héros expriment ici : le divorce entre une société de masse où tout se consomme, et leur âme prisonnière de ce milieu hostile, qui se consume. Comment ne pas songer au "Cri" silencieux d’Edvard Munch ?
Non, le Loup des steppes ne constitue pas un délire de l’imagination de Haller. Il immortalise une angoisse existentielle bien légitime dans tout esprit qui possède un peu de recul sur notre époque… La "Seelenschmerz" (douleur de l’âme).
Hermann Hesse, /Le Loup des steppes/, (1927)
Lecture du "Traité sur le loup des steppes – Réservé aux insensés".
Beethoven – Moonlight sonata
Source : Lire l'article complet par Virginie Vota
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Source: Lire l'article complet de Virginie Vota