par Patrick Reymond
Comme je l’ai déjà dit, les armées otaniennes anti-racistes et wokistes en diable, ne sont finalement faites que pour taper sur bougnoules, négros et niakoués.
Si j’en ai oublié, je suis inclusif. Qu’ils me le signalent, je les rajouterai.
Ce tabassage en règle de pas civilisés était destiné à leur faire comprendre ce qu’est la civilisation, c’est à dire, la soumission au compromis de Washington entre banque mondiale et FMI, qui enrichit quelques oligarques, privatise tout ce qui peut l’être, surendette tout le monde, et se donne comme alibi de sauver la planète. La dite planète, ayant l’habitude d’un climat sinusoïdal, n’est en rien menacée pour un richomenclimatic d’origine humaine qui nous ferait gagner 0.07° par an, si les chiffres de l’IPCC (le vrai nom du Giec), étaient vrais. Mais comme 90% des scientifiques ne croient pas aux chiffres de l’IPCC, il n’y a pas de raison de paniquer. De fait, ces 90% sont faciles à reconnaitre, c’est ceux qui ne passent jamais à la télé.
Le 10% restant, c’est ceuzes qui vivent de subventions.
Bon, ne pas perdre la main en tapant sur les pas civilisés, ça finit par déformer la dite main. Exit les productions massives. Comme je l’ai dit, 25 000 obus de 155, c’est juste suffisant pour tirer sur des sauvages à la cadence de 300 obus par mois. ça tombe bien, c’est ce que produisent les USA en une année.
Pour tirer contre des Russes, c’est 300 par heure qu’il faut (et encore, c’est pas beaucoup, pour égaler les Russes, il faudrait 300 toutes les 10 minutes). Comme le matériel OTAN est fait pour enrichir les producteurs et corrompre les politiciens, la résilience et l’endurance, c’est franchement pas bon. Il faut des trucs fragiles, qu’il faut réparer tout le temps et entretenir plus souvent encore. Encore un truc que ces sauvages de Russes ont pas intégré. Ils n’arrivent même pas à réformer leur fusil modèle 1891-30.
Évidemment, quand on possède une supériorité aérienne évidente et absolue, ces défauts disparaissent avec la poussière sous le tapis des budgets militaires toujours croissants.
Manque de bol aussi, les pas civilisés Russes, n’ayant pas compris comme les Yemenites qu’ils perdaient la guerre en un mois, ont aussi sorti des concepts anciens, connus en Russie, comme « Massue de Staline », ou artillerie – très – lourde, capable de pulvériser les casemates, de tirer loin, et dont on n’a plus l’équivalent en Europe et aux USA. Leur aviation étant sensée pulvériser tout ce qui est gros.
Complétement oublieux de leur propre histoire, les militaires français avaient utilisé pendant la guerre de 1914-1919 (date du traité de paix), leur artillerie côtière inutile (à cause de la maitrise alliée des mers), en la montant sur des wagons de trains, et arrosé copieusement les lignes adverses.
La « massue de Staline », était une pièce d’artillerie lourde (203 mm), montée sur chenille, plus tard sur roue, plus facilement déployable, mais qui n’atteignait pas le calibre des trains blindés, qui eux, pouvaient aller jusqu’à 400 mm.
Comme les popofs sont vraiment pas civilisés, et ont pas compris l’économie de marché, leurs pièces d’artillerie lourdes, sont, de plus, capables de résister à une utilisation prolongée. Chez les occidentaux éveillés (ou endormis ?), la dite pièce est faite pour filer à l’atelier le plus tôt possible, et le plus coûteusement possible.
C’est une vieille habitude qui ne fait que s’accroitre. Au Viet Nam, si l’armée sud vietnamienne en 1972 était bien équipée, celle de 1975 avait beaucoup d’équipements en panne ou en réparation.
Pour résumer, combattre les Russes, c’est consommer beaucoup de munitions en tous genres, les 25 000 obus américains, selon les normes russes, c’est pas même une 1/2 journée de tirs. Et quand on monte dans les gammes et les calibres, il n’y a pas, l’aviation étant sensée faire le travail. Du moins, tant qu’elle ne se ferait pas décimer comme au tir aux pigeons.
Les Ukrainiens ne sont plus en état de supériorité numérique, la qualité de leur armée baisse, et les mercenaires ne sont pas immortels et indestructibles. La note comique est à mettre au crédit de Celina Euchner, qui visiblement, me conforte dans l’idée que « quand je me regarde je m’affole, quand je me compare, je me rassure… »
source : La Chute
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