Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le rêve de Kurt Kondrich était de servir sa communauté en tant qu’officier de police, retardant le mariage tout en réalisant ses objectifs. Lorsqu’il a épousé sa femme Margie, le couple n’était pas sûr de pouvoir avoir des enfants — mais à l’âge de 36 ans, Margie a donné naissance à leur fils. Kondrich était ravi. Quatre ans plus tard, alors que Margie attendait leur deuxième enfant, elle a appris que le bébé présentait un risque élevé de syndrome de Down en raison de son âge avancé. Les médecins ont fait pression sur le couple pour qu’il subisse des tests de dépistage.
« Je ne comprenais pas pourquoi ces tests devaient être effectués », a déclaré Mme Kondrich à Live Action News. « Mais le personnel médical n’a cessé de nous dire que nous pouvions mettre fin à la grossesse — et nous a même encouragés à le faire — si les tests indiquaient que notre bébé était atteint du syndrome de Down (trisomie 21). J’étais stupéfaite ; jamais je n’envisagerais d’exécuter mon enfant, quel que soit son handicap. »
Bien que Margie ait remarqué que le bébé n’était pas aussi actif que son grand frère l’avait été, le couple était déterminé à poursuivre la grossesse et a refusé les tests prénataux. Kondrich a toujours vécu sa vie en servant et en protégeant les innocents et il ne pouvait pas concevoir de mettre fin à des grossesses en raison d’anomalies détectées dans l’utérus.
« Il semble y avoir une sorte de mandat culturel pour une recherche de sécurité inaccessible », a déclaré Kondrich. « Je ne connais personne qui ait un enfant “normal”. Nous savions que notre enfant était une fille et nous l’avions appelée Chloé. Nous l’aimions déjà et étions impatients de l’accueillir dans notre famille. »
Lorsque Chloé est née, des tests ont permis de vérifier qu’elle était atteinte de trisomie 21. Malgré son appréhension initiale, la femme de Kondrich était impatiente de tenir son bébé dans ses bras et de tisser des liens avec lui, à la grande surprise des médecins. Le couple ne connaissait pas grand-chose au syndrome de Down et le personnel de l’hôpital ne semblait pas disposé à leur donner des conseils. Kondrich a remarqué également que les infirmières ne s’occupaient pas de leur bébé aussi souvent que des autres bébés.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
Source: Lire l'article complet de Campagne Québec-Vie