Résumé de l’action : en pleine vaccinomania, Patrick Bruel insulte les antivax sur scène. Un an plus tard, sommé de vendre son nouvel album, il présente curieusement de laborieuses excuses, tout en incriminant « les dérives antisémites ». Tout serait la faute de « la lie du Net ». Mais qui a versé le premier sang ?
« Faut se remettre dans le contexte, en fait. Un, j’ai jamais voulu heurter personne… Je regrette ce mot, j’avais pas à dire peut-être ce mot “saouler”, franchement, mais en l’occurrence je pense pas que ça méritait autant de, autant de violences, et surtout la dérive de la violence. C’est-à-dire qu’on peut critiquer ce que j’ai pu dire, mais que ça arrive sur autant de dérives antisémites, de de de, de choses aussi fortes, aussi violentes, aussi, aussi nauséabondes parfois… »
Mr Bruel, faire de pseudo excuses parce que votre album se vend mal face à la lie du journalisme, et cerise sur le gâteau traiter d’antisémites ceux qui vous ont dit vos 4 vérités, je ne suis pas sûre que ça va doper les ventes !
— Caty (87), gauloise sans filtre ni OGM (@LaColitruche) November 24, 2022
Le grand public antivax (qui n’est pas devenu antivax, après les 3 ou 4 premières doses et leurs conséquences dangereuses ?) n’achètera sûrement pas l’album d’un artiste qui les a insultés.
La même déconvenue est arrivée à Franck Dubosc, quand il a fait volte-face sur les Gilets jaunes : son film en cours a connu un échec retentissant. Patrick Bruel, largement poussé par les médias mainstream depuis le début de sa carrière de chanteur – et quel « chanteur » – n’a pas l’heur de plaire au grand public de Twitter, ce tribunal populaire qui vient de se voir renforcer par le retour des bannis.
Le robinet de la critique avait été coupé, voilà que la sentence collective, issue de l’intelligence collective, reprend du poil de la bête (immonde, forcément).
Par politesse et par souci de pacification, on ne diffusera pas les commentaires extrêmes.
Sur la vidéo de 2021, il y a un an très exactement, Patrick donne l’impression d’être le commercial du couple de vaccinateurs désormais richissimes Bancel & Bourla.
Le problème, c’est que ces prétendus vaccins ne marchent pas. Enfin si, commercialement, ils marchent très bien : ils rapportent des dizaines de milliards à leurs concepteurs, qui peuvent ainsi corrompre les gouvernements acheteurs (avec notre argent), et qui bénéficient de relais parmi les journalistes et les people, d’où ce cycle de pressions mensongères sans fin.
Les dindons de la farce, ce sont les victimes de cette escroquerie internationale, qui ont été rackettées, piquées, et qui n’ont pas leur mot à dire. Vous avez dit démocratie ?
Pour Bruel, qui a insulté les antivax, les résistants à cette opération meurtrière qu’on appelle le covidisme, et l’histoire leur donnera raison – nous baignons actuellement dans le plus grand scandale sanitaire de l’Histoire –, c’est déjà fini, il ne remontera plus. Les médias mainstream vont le défendre, comme sur ce plateau de télé belge, mais du côté des gens, c’est plié. Ainsi chutent les idoles.
Que ses fans se rassurent, Patrick ne sera pas à la rue : sa société, une holding avec zéro employé, pèse 71 millions (!), et on se pose la question de savoir si ce sont les ventes de disques qui produisent un aussi gros CA. En réalité Patrick, au travers de sa holding, possède des participations dans 15 sociétés, dont Winamax (c’est le cas de le dire) et 14 Production, sans oublier des sociétés immobilières, et même une cuvée de rosé de Provence. Derrière le chanteur, plutôt médiocre, il y a un homme d’affaires, plutôt efficace.
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