Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.
Au programme :
- L’art de faire mentir les chiffres
- Denis Rancourt, la supernova du Canada
- Médication et asile psychiatrique pour les non-vaccinés
- Transfusions sanguines
- Port du masque
- Ressources sur les effets secondaires
- Effets secondaires de la vaccination (la suite)
- Fin du calvaire pour les soignants non-vaccinés
- Autres
La fabrique d’une pandémie : l’art de faire mentir les chiffres
Le statisticien Pierre Chaillot explique la mécanique du comptage qui a entretenu la peur et fait croire à l’efficacité du vaccin anti-Covid. Un déchiffrage saisissant.
L’objectif de cette présentation est de comprendre la mécanique mise en place depuis le début de l’année 2020 pour créer et entretenir la peur d’un virus, mais également faire croire à l’efficacité des vaccins censés protéger contre ce dernier. Cette mécanique est d’ordre bureaucratique. Des règles ont été édictées très tôt de façon à maîtriser les comptages et mettre tous les projecteurs sur le fameux Covid-19. La nouveauté de ce siècle est qu’il n’y a même plus besoin d’avoir des symptômes pour être déclaré malade, et même plus besoin de malades pour déclarer une pandémie. (Covidhub.ch , 16 nov 2022)
La procédure n’est en fait pas nouvelle, elle a déjà utilisée pour des virus précédents comme le SIDA. Le documentaire Le véritable Anthony Fauci (à voir absolument), le montre bien. Pour la COVID-19, il a fallu :
- Trouver un virus qui fasse peur. La COVID avec le confinement de Wuhan était parfaite.
- Faire exploser les statistiques de mortalité en manipulant les données (déclarer tous les décès comme « décès COVID » en y ajoutant l’abandon des ainés et en précipitant leur mort avec des protocoles de fin de vie).
- Cacher le tout en enfermant les gens chez eux et en les empêchant de voir leurs aînés et en ne faisant aucune autopsie.
- Faire croire que tout le monde est menacé même si les personnes à risque sont essentiellement les personnes déjà très malades (92% des décédés avaient au moins 2 comorbidités) et qu’en fait l’immense majorité de la population n’a rien à craindre ou presque.
- Lorsque cela redescend, comme à l’été 2020, procéder à une explosion de tests avec des réglages trop pointus (les fameux 45 cycles des tests PCR), ce qui a créé une épidémie de cas avec pour la première fois de l’histoire (ou presque) des gens sans symptomes mais déclarés malades par un test.
- Lorsque les vaccins arrivent, mettre les malades vaccinés dans le groupe des non-vaccinés, prétendument car ils sont injectés depuis moins de 15 jours et « non adéquatement protégés », alors que les études montrent que les injectés dévelopent très souvent les symptômes de la COVID dans les 15 jours suivant leur injection. Vous créez ainsi mécaniquement une « épidémie de non-vaccinés ».
- Utiliser la même méthode lors des études de tests… mais en plus retirer le double aveugle (ce qui ne se fait quasiment jamais). La conséquence est que les médecins et les cobayes savent s’ils sont vaccinés ou non. Dîtes alors aux vaccinés qu’il leur est inutile de se faire tester car ils sont « protégés ». Et dîtes l’inverse aux autres, qu’ils doivent absolument se faire tester car non protégés. Vous avez alors une explosion de cas chez les non-vaccinés, tout simplement car ils se testent beaucoup plus, et vous obtenez un « vaccin sur et efficace ».
Et voilà, vous venez de fabriquer une pandémie et son remède. Félicitations!
La supernova du Canada
La France avait la chance d’avoir Pierre Chaillot et la Belgique Christophe de Brouwer pour voir plus clair dans l’univers des statistiques. Par leurs décryptages des chiffres et de leur manipulation par les autorités, ces deux « étoiles dans la nuit » ont grandement contribué à démontrer toute la fausseté du récit plandémiste. Mais c’est à mon avis au Canada qu’est apparue la source de lumière la plus éclairante incarnée en la personne de Denis Rancourt. Dès l’entame de la saga covid, cet ancien professeur de physique à l’université d’Ottawa est monté au front de la ré-information, d’abord pour dénoncer l’inutilité et la dangerosité des masques, ensuite pour fustiger les autres mesures sanitaires délétères et liberticides.
« Il n’y avait pas un pathogène justifiant un vaccin qui aurait pu être efficace » (NéoSanté, 16 nov 2022)
Médication et asile psychiatrique pour les non-vaccinés
Voici ce que déclare sur son site le Collège des médecins de l’Ontario :
« Il est également important que les médecins travaillent avec leurs patients pour gérer les anxiétés liées au vaccin et ne pas permettre un comportement d’évitement. Par exemple, en cas de peur extrême des aiguilles (trypanophobie) ou d’autres cas très préoccupants, l’utilisation responsable de médicaments sur ordonnance et/ou l’orientation vers une psychothérapie peuvent être des options disponibles. Dans l’ensemble, les médecins ont la responsabilité de permettre à leurs patients d’être correctement informés sur les vaccins et de ne pas voir ces anxiétés renforcées par une exemption. »
Il y est clairement fait allusion à l’utilisation par les médecins d’utiliser la médication ou de proposer une psychothérapie afin de « gérer les anxiétés liées au vaccin ». Les personnes visées sont donc les non-vaccinés.
Certes, l’exemple donné est la « peur extrême des aiguilles » mais il est aussi précisé qu’il peut s’agir « d’autres cas très préoccupants ». Quels sont-ils? Tout cela donne l’impression que le Collège des médecins de l’Ontario estime que les non-vaccinés sont victimes d’une maladie mentale, qu’il faut traiter.
Cela rappelle les conclusions du rapport de la Chaire Unesco sur la prévention du radicalisme violent qui recommandait d’ « Accroître l’accès aux soins de santé psychologique et à la prise en charge psychosociale pour les individus conspirationnistes radicalisés et les proches victimes du conspirationnisme, en appuyant notamment les structures existantes dans le domaine de la radicalisation ».
Tout cela est très inquiétant. Plutôt que de se poser des questions sur la sécurité et l’efficacité des vaccins, les autorités de médecine commencent à imaginer que les « complotistes », comme ils les appellent, sont victimes de maladies mentales ou de radicalisation!
Un cas assez incroyable est celui du cardiologue suisse Dr Thomas Binder. Celui-ci décrit comment on l’a enfermé dans un établissement psychiatrique après qu’il ait soigné des malades du COVID avec des traitements. Comme condition de sa libération, il a été forcé de prendre des médicaments psychiatriques. Et on l’a forcé à faire des tests sanguins chaque semaine pour vérifier s’il les prenait.
Cela finira-t-il comme en URSS ou les opposants au régime étaient internés dans des asyles psychiatriques?
On peut légitimement se poser la question quand on apprend en plus que le magazine Le médecin du Québec.org du 2 novembre 2022 explique comment « mieux accompagner les proches des conspirationnistes ». C’est à lire car madame Lafranchise, professeure de communication à l’UQAM explique (en toute franchise) qu’elle lance une étude avec d’autres « chercheurs » de l’UQAM et de l’UDM « visant à aider l’entourage des adhérents aux théories du complot. Leur but : mettre au point des pratiques d’accompagnement pour préserver la communication avec ces derniers ».
Tout l’article explique comment parler aux « conspirationnistes ». Extraits :
Mieux vaut alors adopter une attitude plus humble en amenant plutôt le patient à exercer un esprit critique envers ses propres croyances. Cela peut se faire en lui posant des questions sur ses sources d’information, le réalisme d’un traitement, la vraisemblance d’un prétendu complot, etc. Ou encore en soulevant des incohérences dans ses propos et en lui proposant d’autres sources d’information, mais sans dénigrer les siennes. « L’objectif est de semer le doute chez le patient sans toutefois l’affronter », ajoute la chercheuse.
Enfin, il ne faut pas oublier qu’il y a souvent des besoins derrière ces croyances. Par exemple, la personne est peut-être à la recherche de réponses ou de solutions pour se rassurer et avoir le sentiment de maîtriser la situation. C’est pourquoi il faut aussi s’intéresser à ses émotions »
C’est officiel, les personnes s’opposant aux injections ARNm deviennent des sujets d’études, quand ils ne sont pas déclarés fous et enfermés! Que nous réserve l’avenir?
Transfusions sanguines
Le naturopathe SUISSE George Della Pietra a lancé un nouveau service de «SafeBlood Donation» pour fournir du SANG PROPRE et non « VACCINÉ » aux patients nécessitant des transfusions.
Étant donné que l’approvisionnement en sang général est désormais entaché de sang « entièrement vacciné », chargé de protéines de pointe, la demande de sang pur monte en flèche.
Pietra a apparemment vu cela comme une excellente occasion de fournir du sang propre, qui est maintenant plus demandé que jamais.
Appelant la campagne d’injection massive de coronavirus de Wuhan (Covid-19) « le crime du siècle », Pietra pense que les injections d’ARN messager (ARNm) « contaminent » le sang et détruisent le système immunitaire.
Si une personne non vaccinée reçoit une transfusion de sang contenant de l’ARNm, des protéines de pointe et tout ce qui est contenu dans ces flacons, elle pourrait également être contaminée, d’où la raison pour laquelle il a proposé le service SafeBlood Donation.
« Je reçois des centaines d’e-mails me demandant, ‘Avez-vous du sang [disponible], parce que je dois subir une intervention chirurgicale dans trois semaines’ », aurait déclaré Pietra.
À l’heure actuelle, SafeBlood Donation compte des membres dans au moins 16 pays où l’objectif est d’établir des banques de sang qui fournissent du plasma non vacciné à leurs membres.
Plus d’informations ici et ici.
Port du masque
- Le Collège des médecins du Québec recommande le port du masque (Radio-Canada, 13 nov 2022)
- La santé publique de Montréal conseille le masque « dans certaines circonstances (restaurants et bars) » (Radio-Canada, 15 nov 2022)
La pression se fait donc de plus en plus forte pour pousser la population à remettre le masque. Pourtant, des centaines d’études montrent l’inutilité des masques. En voici une résumée pour le CMQ : Bundgaard H, et al. Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers : A Randomized Controlled Trial. Ann Intern Med. 2021 Mar;174(3):335-343. doi: 10.7326/M20-6817. Epub 2020 Nov 18. PMID: 33205991; PMCID: PMC7707213.
Dans celle-ci, 3 000 personnes portant le masque et 3 000 sans. Le résultat est qu’il n’y a AUCUNE différence significative dans la protection !
Dans cet article écrit par un membre de Réinfo Covid, la démonstration est faite que les masques sont non-seulement inefficaces mais en plus toxiques (ils contiennent du titane, du graphène, des nanoparitucles, toutes des substances cancérogènes. Ouf n’en jetez plus)!
Pourtant on peut en rajouter. Par exemple, d’après le professeur Martin Haditsch de Linz, un expert reconnu en hygiène et a microbiologiste, « On a autopsié les poumons de gens qui ont eu la covid et on a regardé les organes prélevés. Et dans la grande majorité des poumons prélevés – ceux qui sont tombés malades bien sûr – on a trouvé des granulomes, c’est-à-dire des nodules, que l’on a regardé. Et les déclencheurs de ces nodules étaient des microfibres fabriquées à partir de masques. »
Voir également son interview sur Report 24, 1er nov 2022.
Le plus incroyable est cependant la raison pour laquelle les autorités « recommandent » le port du masque : ce n’est plus à cause de la COVID… mais en raison de la hausse des maladies respiratoires chez les enfants. Les autorités ont-elles une étude qui démontre que le port du masque dans la population permet une baisse des maladies respiratoires chez les enfants?
Vous nous ferez signe quand vous en trouverez une.
Finalement, Legault dit qu’il n’y aura pas de retour du masque obligatoire à court terme au Québec (Radio-Canada, 15 nov 2022). C’est étrange, il nous semble avoir déjà entendu cela quelque-part.
Lettre des 19 médecins et experts au CMQ
Suite à leur lettre restée sans véritable réponse, un groupe de médecins québécois réclame toujours un dialogue ouvert et honnête avec les autorités sanitaires. Nous vous invitons à lire cet article d’une grande justesse qui fait le point sur la question : Dan Fournier’s Writings, 17 nov 2022.
À ce jour, et malgré une relance, le CMQ n’a toujours pas accepté de recevoir les signataires de la lettre ouverte pour une discussion calme et apaisée.
Centre de ressources sur les effets secondaires
Les personnes victimes d’effets secondaires de la vaccination n’ont aucune ressource pour trouver de l’information et de l’aide. Elles sont littéralement abandonnées par les autorités, qui font comme si cela n’existait pas.
Réinfo Covid Québec est heureux de vous présenter sa nouvelle section sur les effets secondaires de la vaccination, qui espérons-le, permettra d’aider les victimes des injections. Celles-ci apprendront qu’il est possible de faire des déclarations et des demandes d’indemnisation. Elles découvriront aussi un protocole permettant de renforcer leur système immunitaire. Enfin, elles pourront participer à des groupes de parole et témoigner.
Il est important de partager cette page au plus grand nombre car malheureusement de nombreuses victimes ne sont pas conscientes qu’elles en sont et attribuent leurs symptomes à la COVID longue, au changement climatique, ou encore au jardinage ou au fait d’avoir pris une douche froidre et autres théories loufoques propagées par les médias.
VICTIMES DE LA VACCINATION : VOUS N’ÊTES PAS SEUL!
Effets secondaires
Ça ne s’arrange pas sur le front des effets secondaires de la vaccination. Les fact-checkers sont rendus à reconnaitre la hausse de la mortalité (même au Québec)… mais ils continuent de nier que la vaccination soit en cause. Pourtant voici quelques études qui devraient les mener à se poser quelques questions :
UNE CHANCE SUR 1000 D’ÊTRE VICTIME D’UN EFFET GRAVE DE LA VACCINATION. Ce sont les résultats de cette étude qui montre que les vaccinés ont 12,5 chances supplémentaires par 10 000 vaccinés d’être victimes d’un effet grave de la vaccination.
Selon une nouvelle étude canadienne, le vaccin COVID-19 de Moderna peut causer deux à trois fois plus d’effets secondaires cardiaques que celui de Pfizer. (CIDRAP, 8 nov 2022) Les jeunes de 18 à 40 ans sont les plus impactés.
Myocardite après la vaccination contre le Covid : Recherche sur les risques possibles à long terme en cours (NBC News, 12 nov 2022). Pfizer et Moderna lancent tous deux des essais cliniques pour suivre les problèmes de santé dans les années qui ont suivi un diagnostic de problèmes cardiaques associés au vaccin chez les adolescents et les jeunes adultes. Comme quoi ils sont au courant et vont étudier le « phénomène ». Réponse dans 5 ans! Entre temps, ils auront mis au point des médicaments pour lutter contre les effets secondaires (par exemple les caillots sanguins ou les myocardites). Ces « vaccins » sont une source intarissable de revenus!
Taïwan, le nombre de personnes décédées après leur vaccination contre le COVID dépasse le nombre de décès dû au virus lui-même.
ANALYSE CUMULATIVE DES RAPPORTS D’ÉVÉNEMENTS INDÉSIRABLES POST-AUTORISATION DU PF-07302048 (BNT162B2) REÇUS JUSQU’AU 28 FÉVRIER 2021 (FDA)
L’injection Covid ARNm impacte les cellules souches du placenta : Le sang de cordon ombilical (UCB) est une source irremplaçable de cellules souches progénitrices hématopoïétiques (HSPC). Cependant, les effets de l’infection par le SRAS-CoV-2 et de la vaccination par le COVID-19 sur le phénotype du sang de cordon ombilical, en particulier sur les cellules souches hématopoïétiques qu’il contient, sont actuellement inconnus. Les auteurs ont donc évalué les effets de l’infection par le SRAS-CoV-2 et/ou de la vaccination par le COVID-19 de la mère sur le devenir et les fonctionnalités des HSPC dans les UCB. Le nombre et la fréquence des HSPC dans les UCB ont diminué de manière significative chez les donneurs ayant déjà été infectés par le SRAS-CoV-2 et encore plus avec la vaccination par le COVID-19 via l’induction de l’apoptose, probablement médiée par des voies dépendantes de l’IFN-γ. Deux tests d’hématopoïèse indépendants, un test d’unité formant des colonies et un test d’humanisation de la souris, ont révélé une hématopoïèse biaisée des HSPC obtenus de donneurs issus de mères ayant des antécédents d’infection par le SRAS-CoV- 2. Ces résultats indiquent que l’infection par le SRAS-CoV-2 et la vaccination par le COVID-19 altèrent les fonctionnalités et la capacité de survie des HSPC dans l’UCB, ce qui susciterait des inquiétudes sans précédent quant à l’avenir des thérapies basées sur les HSPC.
Estep, B.K., et al. Skewed Fate and Hematopoiesis of CD34+ HSPCs in Umbilical Cord Blood Amid the COVID-19 Pandemic, ISCIENCE (2022), doi: https://doi.org/10.1016/j.isci.2022.105544 .
Une étude publiée dans la revue scientifique The Lancet a montré que 6 mois après l’administration de 2 doses de vaccins contre le Covid-19, la fonction immunitaire des individus vaccinés était inférieure à celle des non vaccinés. (France Soir, 18 nov 2022)
Changements de personnalité après l’injection Covid-19 ARNm? (réseau ICIC, 13 nov 2022)
Le Prof. Dr. med. Sucharit Bhakdi et son épouse présentent de nouvelles découvertes concernant les effets des technologies des vaccins à ARNm, qui sont selon le plan des vaccinolâtres, censées être utilisées pour tous les « vaccins », y compris par exemple : la rougeole, la grippe, etc.
D’après M. Bhakdi et son épouse, ils ne causent pas seulement des dommages physiques, mais ils endommagent également les petits capillaires du cerveau, passent outre la barrière hémato-encéphalique et entraînent des changements massifs de personnalité. Ils brisent littéralement la volonté de certains de ceux qui reçoivent les vaccins.
Le Dr Naomi Wolf, auteur et journaliste, explique ce à quoi cela ressemble dans la réalité. Le Dr Peter Breggin, psychiatre, explique qu’il existe des parallèles troublants avec les effets de la lobotomie, que la plupart des gens ne connaissent que par le film : « Vol au-dessus d’un nid de coucou » et qui est sans aucun doute l’un des crimes contre l’humanité les plus brutaux et les plus sauvages jamais commis.
À regarder pour vous faire une idée car d’autres recherches doivent être menées.
Belgique. De nombreux malaises à l’athénée de Morlanwelz à la suite d’une vaccination HPV des élèves. (RTBF, 18 nov 2022, RTL, 28 nov 2022)
Une opération de vaccination contre le papillomavirus a été menée jeudi à l’Athénée provincial de Morlanwelz par les services de Promotion de la Santé à l’Ecole (PSE), dépendant de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Sur les 51 élèves vaccinés, on compte 22 élèves qui portaient des symptômes. Une dizaine d’enfants sont tombés dans les pommes.
Sur cinq élèves admis à l’hôpital ce jeudi soir, une seule jeune fille a passé la nuit en observation à l’hôpital de Jolimont. Les quatre autres ont pu regagner leurs foyers dans la soirée. (RTBF, 18 nov 2022)
Qu’en penser?
Soignants non-vaccinés : la fin du calvaire
Les soignants non-vaccinés ont échappé de peu à l’obligation vaccinale et ont pu continuer à pratiquer. Cela n’a été possible qu’en raison de l’état de délabrement avancé du système de santé.
Cependant, pour les punir, les autorités leur ont imposés des mesures draconiennes comme par exemple de se faire tester tous les 3 jours (alors que l’on sait depuis le début que les vaccins n’empêchent pas la transmission)!
Il aura fallu attendre novembre 2022, alors que toutes les mesures pour la population en général sont levées depuis mars, que Québec publie le décret numéro 1718-2022 du 9 novembre 2022 concernant l’allègement de certaines mesures COVID.
Avec ce décret, certaines mesures ne sont plus en vigueur à compter du 9 novembre 2022, dont :
- Le dépistage obligatoire pour les intervenants du secteur de la santé et des services sociaux non adéquatement protégés
- L’impossibilité pour un non-vacciné d’être embauché dans un autre établissement.
Cependant, les mesures en vigueur concernant la période d’isolement à la suite d’un test positif à la COVID-19 ainsi que le dépistage à la suite d’un contact avec un cas confirmé COVID-19 sont toujours maintenues. Ce qui ne fait aucun sens.
En bref
Les ravages de la religion COVID : un nageur porte son masque, le retire au moment de plonger (Twitter)
Dr. Jay Bhattacharya (Twitter)
« La principale source de désinformation a été le gouvernement fédéral lui-même. Il a utilisé des techniques de propagande afin de détruire la réputation et la carrière des personnes qui s’opposaient«
France : Plus de 100 intellectuels exigent que le Parlement rende public ses débats sur les effets secondaires (Quartier Général, 21 juin 2022)
Un homme de la rue a demandé au Dr Tam pourquoi elle continue à promouvoir les injections alors que Pfizer a 12 pages d’effets indésirables et le port du masque. Elle porte un masque en plein rue. (BitChute, le 12 nov 2022)
Quand Pascal Lapointe, un journaliste de l’Agence Science-Presse, 14 oct 2022 essaie sans y parvenir de remettre en cause l’article sur l’objection de conscience à la vaccination à ARNm. Rien n’est dit sur le contenu de l’article, mais le journaliste s’en prend à la crédibilité de la revue. Pas fort!
Étrange : des injections sans ARN ni spike!
Un groupe international de scientifiques découvre que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit (The Exposé 29 aout 2022)
Un groupe de 18 scientifiques de 7 pays qui ont analysé 2 305 échantillons de « vaccins » Covid de douze marques différentes.
Toutes les injections étaient identiques, mais avec des marques différentes comme Pfizer, Moderna, etc. avec des différences mineures dans les adjuvants et les nanoparticules lipidiques synthétiques.
Il n’y avait aucun produit biologique dans aucune des injections testées, ce qui signifie qu’il n’y avait aucun matériel biologique trouvé tel que l’ARNm, les sous-unités de protéines Spike, de vecteurs de pseudovirus, etc. mais de l’oxyde réduit de graphène.
Le vaccin contre le VRS bientôt prêt
mRNA-1345 Respiratory Syncytial Virus (RSV) Vaccine est pratiquement prêt, aussi bien pour les adultes que pour les enfants. (Precision vaccinations, 6 oct 2022)
« Moderna a reçu l’approbation de la FDA, accordant une désignation accélérée pour un vaccin à dose unique d’ARNm-1345 expérimental contre le VRS chez les adultes de plus de 60 ans. Par conséquent, les vaccins à ARNm peuvent représenter un nouveau chapitre plus réussi dans la lutte continue pour développer des mesures préventives efficaces contre le VRS ».
Étude : Qiu X,et al. Development of mRNA vaccines against respiratory syncytial virus (RSV). Cytokine Growth Factor Rev. 2022 Oct 13:S1359-6101(22)00076-4. doi: 10.1016/j.cytogfr.2022.10.001. Epub ahead of print. PMID: 36280532
Quand on sait que le VRS a pour origine… le vaccin contre la polio, il y a de quoi se poser des questions.
L’Université de Stanford exige la vaccination COVID-19 et les rappels (U Stanford)
Depuis le 25 aout 2022, Stanford exige déjà que tous les professeurs, le personnel, les boursiers postdoctoraux et les étudiants (étudiants de premier cycle, diplômés et professionnels) qui viennent sur place soient entièrement vaccinés contre la COVID-19. Cette exigence élargie s’appliquera à tous les employés de l’université, y compris ceux qui travaillent à distance aux États-Unis, et aux sous-traitants applicables.
La présidente de la Commission européenne, Ursula Von Der Leyen, commande 2 millions de vaccins contre « la variole du singe »
C’est une maladie bénigne, il n’y a pas eu l’épidémie qu’espéraient les prophètes de malheur de BigPharma.
De plus l’épidémie de variole du singe est en plein recul mais les experts et autorités sanitaires appellent à ne pas crier victoire trop tôt, d’où ce cette commande pouvant aller jusqu’à deux millions de doses. Le vaccin est expérimental, et acheter 2 millions doses doit être juteux (BFM TV, 17 nov 2022). À 20 euros la dose, ca vous fait tout de même 40 millions d’euros. C’est rien comparé au COVID-19, mais c’est encore ça de pris. Et c’est toujours ça de moins pour les pauvres, les hôpitaux, etc.
C’est pas comme si on avait des déficits géants!
Rappel : Décès dus au COVID « incroyablement rares » chez les enfants
Des études montrent que le risque global de décès ou de maladie grave due à la COVID-19 est très faible chez les enfants (environ 2/million d’enfants). (Nature, 15 juillet 2021)
L’INSPQ reconnait lui-même que les enfants sont « rarement hospitalisés » à cause du COVID-19.
Pourtant il recommande la vaccination. Cherchez l’erreur.
Impact réel des « vaccins » anti-Covid en population générale et sur les enfants
Emmanuelle Darles, docteur en informatique, membre du Conseil scientifique indépendant, analyse les données de pharmacovigilance relatives aux injections géniques expérimentales présentées comme « un vaccin comme les autres ». Cette fraude nominale se double hélas d’un terrible mensonge quant à leur innocuité. « Sûr et efficace », une formule de neuro-marketing, ne décrit absolument pas ce que les données de pharmacovigilance donnent à voir. (Covidhub.ch, 16 nov 2022)
Passe carbone : les « complotistes » avaient encore raison
La course entre le Bien commun et le mondialisme s’accélère ! Pris dans une fuite en avant complètement folle, le mondialisme tente des offensives. Ces jours-ci, il fait massivement la promotion du « pass carbone », qui vise à ce que les plus riches puissent continuer de vivre comme ils entendent, alors que les classes populaires et moyennes devront renoncer à tout ! Ce projet n’a rien d’écologique. Il est liberticide. La vraie écologie, c’est d’arrêter le libre-échange, destructeur, préférer les circuits courts et la qualité, lutter pour la déplastification, la faune et la flore…
Ainsi, un cargo pollue autant que 1 million d’autos!
Les 100 plus grandes compagnies au monde produisent 70 % des gaz à effet de serre.
Pendant ce temps, on demande aux français de couper le wifi la nuit!
Si un tel système était mis en place, chaque individu serait alors doté d’un quota d’équivalent CO2 à ne pas dépasser sur une année. Tous les ans, ce quota diminuerait, afin de nous inciter à consommer différemment et ainsi réduire collectivement et progressivement nos émissions de gaz à effet de serre.
Avec ce système, à chaque fois que vous achetez un bien ou un service, ce qu’il « pèse » en émissions de gaz à effet de serre serait décompté de votre quota. Cela entrainera une accélaration de la fin des libertés publiques et individuelles car les autorités sauront ce que vous consommez et controleront vos vies en décidant pour vous de ce qui est bon ou non. Au moindre comportement « déviant » (adhérer à une théorie complotiste par exemple), on pourra geler vos avoirs.
Ce passe carbone est en fait un outil de contrôle qui nous mènera au crédit social. On risque d’y arriver d’autant plus vite et facilement que les médias nous écrasent de nouvelles sur le changement climatique… et que nous y sommes préparés grâce au passeport vaccinal.
Si les peuples ne se rendent pas compte assez vite de ce projet totalitaire, l’avenir de nos enfants sera bien sombre. Car ils avancent très vite. Par exemple, le passeport vaccinal vient d’être définitivement entériné par le G20 : sous prétexte de faciliter les transports internationaux, il faudra bientôt présenter un passeport vaccinal et montrer que l’on est à jour de tous ses vaccins pour pouvoir monter dans un avion, voire traverser une frontière…
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