par Gilbert Guingant
Tout est symétrisable – au sens sanctionner les illégitimes sanctionneurs. Ou mettre à l’amende qui abusent du législatif. Le Seconde République souligne que la République est « démocratique ». La Constitution de la Vème ne se départit pas du mot central « répartition ». Tant répartitions des richesses collectives que de pouvoirs non tenables par un seul. Ce pourquoi il n’est pas possible de « réformer » (sic) la Constitution. Réformer oui un mot de bas bourgeois, matériels inertes et immenses irrespects envers les humains…bref, aucune autocratie n’y est possible. Mise immédiate à l’amende.
Tout reste symétrisable – l’unilatéral n’est plus possible dans un monde, enfin, multipolaire. Le monotone mono-pouvoir du Monologue unique dysfonctionne à pleins tubes. Tous ses rouillés rouages se perçoivent à la seconde. Aussi, mettre des amendes « hors du droit commun », des amendes donc…exorbitantes n’est pas légitimement possible. Il faut qu’elles soient adaptées au but poursuivi. Qui est d’Empêcher le droit sacré de manifester. Puisqu’il suffira – pacifiquement – d’y être présents, aux manifestations « républicaines », pour se voir coller une amende « sans vrai motif ». Que du disproportionné, de l’anti républicain massif. Au sens de qui se mettraient à mettre des amendes « irrecevables » seraient, tout à la fois, illégitimes, illégaux et très …ennemis du pays et de ses vraies institutions…On ne passe pas !
***
Halte là : séparation Constitutionnelle des pouvoirs !
Puisque ? Au pays du si clair Montesquieu le gouvernement est « l’exécutif » – en effet, dès De l’Esprit des lois (1748), il distingue trois pouvoirs : le pouvoir de voter la loi (pouvoir législatif) ; le pouvoir d’exécuter les lois (pouvoir exécutif) ; le pouvoir de rendre la justice (pouvoir judiciaire) législatif et juridique. Voir les documents explicites ci-dessous !
Le principe de la séparation des pouvoirs a valeur constitutionnelle puisqu’il est consacré par l’article 16 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 aux termes duquel : « Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution ». Classiquement, la séparation des pouvoirs est conçue comme « la première condition d’un gouvernement libre » (art. 19 de la Constitution de 1848 ). »
Dans ces conditions, le « devoir » des citoyens est de « rendre libres » les gouvernements asservis, donc décrédibilisés, et de faire appliquer la véridique séparation des pouvoirs !
La mise en œuvre de la séparation des pouvoirs dans la Constitution de 1958. « Conformément au deuxième principe de la loi constitutionnelle du 3 juin 1958, les constituants ont effectivement séparé les pouvoirs exécutif et législatif tout en prévoyant que :
- le Gouvernement « est responsable devant le Parlement dans les conditions et suivant les procédures prévues aux articles 49 et 50 » (art. 20, al. 3, de la Constitution du 4 octobre 1958).
- le chef de l’État, qui est élu au suffrage universel direct, dispose de pouvoirs importants (en savoir plus). »…mais…
« Le régime de la Vème République est qualifié de régime « semi-présidentiel ». Et non MONO-présentiel. Il y a de strictes limites. Comme pour les gouvernements. Et toute l’attention doit être portée sur ces limites-frontières à ne pas franchir. Le semi-présidentiel ne peut pas fuir éternellement ses « obligations référendaires »
« Parce que la domination n’est pas simplement l’expression, en termes politiques, de l’exploitation économique, elle est son instrument, et dans une large mesure la condition qui la rend possible ; la suppression de l’une s’accomplit par le discernement exhaustif de l’autre ». (p. 70 Michel FOUCAULT dans « De la nature humaine : Justice contre pouvoir » – entretiens avec Noam CHOMSKY.). Ne pas utiliser sa tête rend donc bien ennemi de tous les autres. Ça prend la tête : tant mieux, tant mieux, elle est justement faite pour ça. Aussi, n’est-ce pas très très progressiste que cet avachissement qui va avec les divertissements permanents, et qui provoque, très soudain, une immense nausée après ces hédonistes plus qu’incohérents. Forts de leurs sensualités (mises, tout le temps, en avant pour rendre tout « indiscutable » !) ne devraient-ils/elles pas se trouver en première ligne de l’écologie vraie ? Trop de pollutions tuent toute sensualité. Pourtant, ne brament-ils pas que le capitalisme serait hédoniste. Pire que des masos, mais des masos ôtés du crédible ! Le « passe carbone » ne passera. Puisque initié par les plus grands Destructeurs de la Nature. À eux de s’auto…amender, soit de s’imposer à eux-mêmes de lourdes amendes ! Ils n’ont obtenu aucune Légitimité pour s’occuper de la vraie écologie ! Le Droit est contre eux…
Encore, puisqu’elles/ils ne savent plus penser, ils/elles ne peuvent plus du tout demeurer guides de nos plaisirs. Les plaisirs seront tellement tellement plus intenses après la fin du capitalisme : tout le contraire d’un « retour à l’âge des cavernes » !!! À cause de leur malhonnêteté intellectuelle, les grilles de lecture des hédonistes sont donc devenues, comme eux, absolument obsolètes. Nous ne pouvons changer sans le changement. C’est le « changement de mentalité », qui, seul, peut précéder le réel « changement de style de vie» de plus en plus urgent. Ce n’est pas du tout comme « vouloir la révolution ». Aussi, est-ce bien leur vision qui reste fausse, ils interprètent tout de travers, ils se trompent sur tout et sur tout le monde. Ils nous auront bien encombrés. Plus personne ne peut, désormais, avoir confiance dans leur témoignage. Leur décadence ne sera donc que la leur ! La méthode du changement de mentalité c’est que « la suppression de l’une (la domination) s’accomplit par le discernement exhaustif de l’autre (l’exploitation économique). » Votre tête change le monde. Ça ne s’enclenche pas comme un processus révolutionnaire, le changement de mentalité veut l’annihilation de tous les pouvoirs. Pourtant, aucune raison de fuir une révolution mais… ce n’est pas le but recherché. De quoi s’éloigner à toute allure de ces drôles de « gens de gauche » (juste dans le marketing de l’image) qui vous reprochent d’être, à la fois (impossibilité logique !) ; « trop » révolutionnaire ET associé à une institution dominante. (Et eux donc où sont-ils ?). C’est l’un ou l’autre, pas les deux. Ils/elles n’auront servis à rien dans l’émergence des nouvelles grilles de lecture. Plus tu changes complètement de mentalité, plus vite le capitalisme disparaît : quelle merveilleuse économie de moyens !!!
Au contraire, qui stagne dans les malversations mentales se prive de toute évolution personnelle : que soit donc, solennellement, pris acte de ces impostures !
***
Les obligations Référendaires ! (mot qui apparaît seulement en 1958)
« La technique du référendum se veut conforme au principe démocratique dont se réclame le régime républicain mis en place par la Constitution de 1958 :
- Art. 2 al. 5. – « (Le) principe (de la République) est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ».
Le recours au référendum au niveau national tempère la souveraineté nationale prévue par la dite constitution, qui mélange donc ici des procédés de démocratie directe et de démocratie représentative :
- Art. 3 al. 1. – « La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum… » (soit un droit Impératif des citoyennes et citoyens !).
« Cependant, les modalités restrictives de mise en œuvre des différents référendums et consultations prévus par la constitution actuelle (infra) en font, en France comme dans beaucoup de pays, un procédé de démocratie… semi-directe. » D’accord, mais un procédé qui EXISTE bien. Et la souveraineté nationale EXIGE des référendums dès que : l’argent public est « donné » sans garantie décente à des pays dits étrangers. Et qui n’ont absolument rien à voir avec la vie intérieure de la France. L’Ukraine n’appartient pas à l’union européenne. Et il n’y a pas de traités bilatéraux « de défenses réciproques » avec ce pays : aucune « obligation » donc. Si l’Ukraine était attaquée aucun traité n’exige que la France intervienne. Donc ? Nul ne peut leur « donner » d’argent public Sans…référendum préalable…(voir les documents ci-dessous !).
Et tant d’autres décisions « putschistes » qui exigent un référendum préalable. Qui faillissent à leurs impératives obligations ? Tout restera symétrisable : de quels Montants d’amendes le gouvernement français s’est-il rendu redevable ?
Le fonctionnement du Droit est un droit :
un droit qui s’exprime dans le langage du droit.
Et qui implique que tout ce qui appartient au droit doive admettre ce processus…hautement démocratique la République !
…ce qui aboutit à insister sur les OBLIGATIONS juridiques des pouvoirs !
…………obligations qu’ils trop évitent de remplir, justement !!
source : Imagiter
Adblock test (Why?)
Source : Lire l'article complet par Réseau International
Source: Lire l'article complet de Réseau International