par Jean-Dominique Michel.
La présentation qui suit est de la bombe !
Elle émane d’un mathématicien-chercheur de haut vol, mon excellent collègue du Conseil scientifique indépendant, Vincent Pavan. Depuis les début de cette « crise sanitaire », Vincent démonte impitoyablement toutes les falsifications mathématiques dont les instances systémiquement corrompues font un usage hélas aujourd’hui généralisé.
En tablant sur deux facteurs favorables majeurs :
a. La corruption institutionnelle systémique qui assure une docilité et une absence d’esprit critique au sein de la « communauté scientifique » : ses membres ne veulent surtout pas avoir d’ennuis avec leur hiérarchie ni avec les milieux privés dont il est aujourd’hui exigé qu’ils participent au financement de la recherche, de l’enseignement et de la pratique médicale hospitalière. Se faire « mal voir » de ces partenaires obligés est un luxe qu’à peu près plus personne ne peut se permettre sans en pâtir de lourdes conséquences. Sous les gloussements ravis des politiques, trop heureux de voir ainsi prospérer les « partenariats public-privé » si au goût du jour et soulageant commodément les finances publiques…
b. La très répandue ignorance des mathématiques. Dès lors que des formules alambiquées et savantes sont mises en avant, le 98% des lecteurs des articles (médecins, experts, chercheurs, scientifiques) sont en réalité incapables de comprendre ce dont il s’agit et évidemment encore moins de porter une contradiction éclairée.
Ignorance et complaisance combinées forment un cocktail aussi redoutable pour l’intelligence individuelle et collective que le glycérol et l’acide nitrique !
Il suffit donc que quelques doctes phraseurs mathématiques pondent des formules absconses pour que les sots se mettent à faire des révérences à grand coups de chapeau comme les courtisans à Versailles !
J’ai souvenir d’un échange avec le Pr Didier Pittet avant un bref débat télévisé. « Je vous donne raison, me concéda-t-il, sur votre critique des modélisations… à l’exception toutefois de celles du Pr Ferguson, qui sont remarquables… »
Le pauvre homme ! Il se trouve que ce sont les plus frauduleuses de toutes ! Il en est ainsi : étant parfaitement incapable (je ne le suis bien sûr pas plus que lui) d’y comprendre que pouic, l’apologiste intéressé de Macron et de sa politique indigne trouvait cette modélisation maousse.
C’est dire s’il est précieux de voir soudain l’intervention d’un mathématicien-chercheur qui, lui, peut décortiquer, comprendre, et évaluer la pertinence des modèlisations et des équations proposées.
Le bilan est sévère : on savait, à force d’échecs et de prédictions lamentablement erronées, que l’art de la prévision épidémiologique était fortement dévoyée au sein de la science corrompue.
Seuls quelques rares spécialistes intègres (comme Laurent Toubiana en France, qui annonça à l’avance avec une stupéfiante précision la courbe épidémique de mars-avril 2020) tirent leur épingle du jeu.
Les autres, les Ferguson, Flahault, Cauchemez, Fontanet et autres, sont bien trop compromis avec les intérêts véreux pour proposer autre chose que de fraudes grossières.
Leurs modélisations n’ont plus rien à voir depuis longtemps avec la science, mais avec un pur travail de propagande. Ferguson et Flahault passent leur temps à annoncer les scénarios les plus alarmistes, systématiquement faux, avec pour priorité semble-t-il de faite paniquer la population de sorte à pouvoir réclamer à tout prix mais contre toute bonne science des mesures abusives et destructrices. Ils ont pour particularité complémentaire d’être des multi-récidivistes de ce type d’inconduite scientifique grave.
Dans tous les domaines, quand des « experts » se trompent et créent des dommages majeurs à répétition, on les vire !
Pas dans celui-ci : malgré leur bilan catastrophique, on continue de prêter crédit aux élucubration des deux tristes sires. S’il n’en allait que de questions purement intellectuelles, on s’en taperait le coquillon. Mais las ! le problème est que leur parole entraîne des conséquences immanquablement graves et terriblement destructrices sur la population, au mépris de toute science et de toute éthique en santé publique (laquelle prohibe de tels comportements).
Cauchemez et Fontanet, eux, ont produit de la science frauduleuse pour répondre à la demande du politique. Emmanuel Macron ayant besoin de justifier l’injustifiable (imposer une politique prétendument sanitaire en réalité terroriste), il commanda aux deux compères des « études » pour montrer le bien-fondé de cette ignominie. Lesquels compères s’exécutèrent.
Tout ceci, hélas, donne sens à l’appel solennel du British Medical Journal au mois de novembre 2020 :
« La science est actuellement réprimée pour des raisons politiques et financières. Le Covid-19 a déclenché la corruption de l’État à grande échelle, et elle est nuisible à la santé publique. Les politiciens et l’industrie sont responsables de ce détournement opportuniste. Les scientifiques et les experts de la santé le sont également.
La politisation de la science a été déployée avec enthousiasme par certains des pires autocrates et dictateurs de l’histoire, et elle est maintenant malheureusement monnaie courante dans les démocraties. Le complexe médico-politique tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Le complexe politico-médical tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Et, à mesure que les puissants deviennent plus prospères, plus riches et plus intoxiqués par le pouvoir, les vérités dérangeantes de la science sont supprimées. Lorsque la bonne science est supprimée, les gens meurent. »
Cette politisation, répression et corruption de la science sont cela-même à quoi se livrent les Ferguson, Flahault, Pittet, Hurst, Trono Cauchemez, Fontanet, Delfraissy, et tant d’autres, à vrai dire le milieu tout entier qui s’est laissé curariser par les intérêts corrompus !
Si nous n’avions Vincent Pavan pour plonger au cœur de leurs falsifications, nous aurions mis des années à les repérer. En ce qui le concerne, il aura fallu 9 mois d’effort pour « craquer le code » de l’escroquerie et la révéler.
Faut-il rappeler au passage que Sébastien Cauchemez sévit à l’institut Pasteur, et Arnaud Fontanet au Collège de France ?! Des milieux qui eux aussi ont versé dans l’indignité -tout comme la plupart des universités et autres académies de médecine.
Pour ces tristes sires, comme pour Ferguson et Flahault, la révocation est la seule issue qui fasse sens.
Au reste, les colloques de Lisbonne et Marseille ont confirmé (si besoin était hélas) l’état actuel de pourriture du monde de la production scientifique.
Lorsque l’on tolère que les « plus prestigieuses revues » publient crapulerie sur crapulerie (le NEJM comme le Lancet et le JAMA nous offrent un festival de poissons pourris, littéralement, depuis trois ans) il n’y a guère à espérer. Surtout quand ensuite des potentats immoraux comme Flahault, le Conseil scientifique en France, la « Task force » en Suisse et tant d’autres font la promotion active du poisson pourri pour maltraiter et empoisonner un peu plus les masses.
Au moins Jean-François Delfraissy en France, certes avec un à-propos douteux, admet-il depuis qu’il n’est plus en fonction avoir lourdement failli, plaidant que le Conseil scientifique avait été « instrumentalisé » par le gouvernement.
Ça ne nous avait pas échappé, mais on voir mal ce qui l’obligeait malgré tout à se compromettre dans la pire politique sanitaire de l’époque moderne – les scandales sont en cours d’émergence et emporteront beaucoup de « sommités compromises » au passage.
À défaut donc de trouver un minimum d’honnêteté intellectuelle et de sens des responsabilités au sein des instances de santé ou chez les privilégiés qui s’y ébattent tout en faisant subir des horreurs à la populace, il reste la voie de la justice, que Vincent Pavan a saisie. Le parquet ne donne pas a priori des gages d’indépendance et de sens de la justice exagérés, les exemples de passe-droits et d’inégalités de traitement sont trop nombreux pour nous laisser grande illusion. Alors que la plainte pour faux, usage de faux, escroquerie, trafic d’influences, etc. contre Cauchemez et Fontanet avait été classée, elle a été relancée depuis par la constitution en partie civile des plaignants.
L’affaire est trop grave pour que nous lâchions.
Si nous voulons que justice soit rendue et que les champs de la recherche scientifique et de la santé publique soient assainis, nous devons dégager les acteurs ou les complices de la fraude, qui ont œuvré au service d’intérêts corrompus en trahissant la population.
Nous y veillerons.
Covid-19 : Corruption mathématique et épidémiologique
par Vincent Pavan, docteur en mathématiques, enseignant à l’Université Aix-Marseille
Retour sur la grippe H1N1 de 2009
Il est nécessaire de commencer par un rappel de la fraude mathématique lors de la fausse épidémie de H1N1 en 2009-2010, et qui a servi de répétition générale pour le Covid-19.
En 2009, l’OMS déclare l’état de pandémie en se basant sur les simulations mathématiques de Neil Ferguson de l’Imperial College de Londres, ce qui conduit à la promotion de faux médicaments comme ce fut le cas du Tamiflu (vendu pour des milliards d’Euros de commandes par la société Roche alors que celle-ci savait pertinemment que le remède n’était pas indiqué) et à l’obsession d’imposer une vaccination, hâtive et insuffisamment testée, à large échelle.
À l’époque, la mauvaise gestion de la crise H1N1 avait donné lieu à un certain nombre d’enquêtes parlementaires, en France et dans d’autres pays. Ces enquêtes avaient abouti à des conclusions qui permettaient de comprendre ce qu’il fallait éviter à tout prix de reproduire à l’avenir.
Or ces avertissements n’ont pas été suivis en 2020, dont notamment les points particuliers d’une enquête du Sénat en 2010 sur le rôle des mathématiques en situation épidémique. Ce rapport dressait un état lucide des erreurs à ne plus commettre en mettant en lumière les points suivants, je cite :
« L’absence de corrélation entre les estimations modélisées et la réalité constatée est frappante. »
« Les auteurs des modèles n’ont pas envisagé l’hypothèse selon laquelle le virus H1N1 pourrait se révéler moins virulent que celui de la grippe saisonnière. »
« Les hypothèses formulées sur la base des modèles n’ont pas de valeur effective. »
• Les autorités de santé et les experts devaient pourtant déjà savoir en 2010 que les prédictions épidémiologistes ne valent rien car il est épistémologiquement impossible d’appliquer au vivant des modèles mathématiques.
Après la décision d’interroger de manière critique le choix universitaire, les autorités nationales de santé font l’inverse en engageant en 2013, au sein de l’Institut Pasteur, Simon Cauchemez, un ancien élève de N. Ferguson dont la mission est de créer un Institut d’épidémiologie mathématique.
Le loup est ainsi introduit dans la bergerie !
Les mathématiques durant le covid19
C’est à nouveau l’Imperial College qui sort en mars 2020 le Rapport 9 basé sur les simulations de Neil Ferguson et qui prédit 500 000 morts en Angleterre et 2 millions de morts aux USA si rien n’est fait. Or la seule mesure proposée dans ce rapport est le confinement en attendant le vaccin. Neil Ferguson annonce que ce vaccin pourrait mettre 18 mois à arriver et que des mesures telles que la distanciation sociale, le port du masque, le couvre-feu etc. sont des mesures s à mettre en place en attendant qu’il soit disponible.
• Ce Rapport 9 qui est un rapport interne, n’a jamais été relu par les pairs et certainement pas les simulations qui y ont été faites.
• Ce Rapport 9, qui n’est pas un article scientifique va servir à dicter la politique mondiale et celle de l’OMS !
D’où proviennent les simulations de Neil Ferguson ? Elles sont issues d’un code essentiellement non reproductible avec plus de 930 paramètres.
Dans un premier temps N. Ferguson refusa de transmettre le code utilisé pour la simulation. Il le fera finalement six mois plus tard sous la pression des médias anglais et de la justice.
Il ne livrera toutefois que des parties du code qui ne sont pas les originels. Les ingénieurs en mathématique ne pourront rien faire ressortir de ce code à 930 paramètres.
Il faut savoir que les modèles en physique mathématique n’utilisent pas plus de deux ou trois paramètres dans une équation. Pour vous donner un exemple, l’équation de Boltzmann qui explique toute la mathématique des fluides et toute la thermodynamique, et qui est celle avec laquelle je travaille, ne comporte qu’un seul paramètre.
En mathématique, les conclusions ne valent que ce que valent les hypothèses et il est impossible de prendre au sérieux un code qui comprend 930 paramètres, sachant qu’il faut des milliards d’années pour tester uniquement deux valeurs par paramètre.
• Ces simulations sont arbitraires et n’ont rien à voir avec la réalité.
Neil Ferguson va transmettre ce rapport à l’OMS ainsi qu’aux gouvernements occidentaux.
En France, c’est Simon Cauchemez, nommé en 2013 pour créer l’Institut d’épidémiologie mathématique au sein de l’Institut Pasteur, qui sera nommé au Conseil scientifique. Par l’intermédiaire de Simon Cauchemez, le Conseil scientifique accrédite les simulations de Ferguson (avis du 12 mars 2020) et le président déclare le confinement.
Le rapport 9 indique clairement que les INP (interventions non-pharmaceutiques) sont la seule solution en attendant les vaccins.
Exemple de INP : confinements, couvre-feu, fermeture des écoles, commerces et/ou restaurants, mesures de « distanciation », masques.
Ces mesures sont reconnues dans la littérature comme n’ayant aucune utilité avérée et donc à éviter, les lourds dommages qu’elles occasionnent étant en revanche certains.
Les meilleures équipes et épidémiologistes (Ioannidis et Bhattacharya à Stanford, Kulldorff à Harvard, S. Gupta à Oxford, Risch à Yale, Hennegan au Center for Evidence-Based Medicine, Toubiana et Perronne en France) ne cesseront de dénoncer la destructivité et le caractère antiscientifique de leur imposition.
Évaluant l’impact des INP en août 2022, Schippers, Ioannidis et Joffe (in Frontiers in Pubvlic Health) confirmeront l’absence d’utilité des INP selon les meilleurs méta-analyses, alors que les études concluant l’inverse sont d’un très faible niveau de preuve scientifique, et fortement biaisées. Les auteurs soulignent les effets catastrophiques des INP pour la population, avec l’émergence d’une pensée unique ne supportant plus la contradiction et s’imposant par des processus de manipulation psychologique exploitant une mauvaise compréhension de la science. Il en aura résulté la stigmatisation de catégories entières de la population (réticentes aux mesures agressives, avec une aggravation systémique des inégalités notamment socio-économiques, éducatives, ethniques et de genre, conduisant à un véritable traumatisme collectif. Les auteurs soulignent que les processus de gestion des urgences (GU) et d’intelligence collective ont été lourdement défaillants.
Par l’intermédiaire de Simon Cauchemez, le Conseil scientifique accrédite pourtant les simulations de Ferguson (avis du 12 mars 2020) et le Président déclare le confinement.
Dans la stratégie du Rapport 9, appliqué dès mars 2020, ressort un point très important :
« Les confinements ont vocation à être répétés dans le temps jusqu’à la mise à disposition des vaccins ».
• Dès lors, les intéressés savent en mars 2020 qu’il y aura des confinements successifs, à l’encontre de toutes les recommandations et connaissances en santé publique. Le rôle du Conseil Scientifique sera de prouver l’efficacité du premier confinement et des mesures afin de convaincre la population de leur maintien dans la durée.
• Le narratif des autorités ne cessera de parler de « diminution de l’épidémie » après chaque mesure imposée et inversement, afin de maintenir la population dans la croyance en l’efficacité des mesures. L’enjeu est de taille puisque les mesures de confinement, de distanciation et de couvre-feu ont coûté 10 points du PIB soit 250 milliards d’euro. Ceci sans compter le bilan humain, puisque la fermeture de lieux tels que les restaurant a poussé au suicide certains propriétaires en situation de précarité. Il était alors indispensable pour les autorités de maintenir « coûte que coûte » le narratif d’efficacité des mesures.
Pour ce faire, Couchemez et Fontanet, tous les deux membres du Conseil scientifique vont publier en ligne en mai 2020, dans la revue Science, un article sensé démontrer l’efficacité des mesures de confinement.
Cet article publié sous le titre « Estimating the Burden of Sars-Cov-2 in France » est l’une des plus grandes fraudes scientifiques du XXIe siècle. Cela est d’autant plus grave puisque cet article a eu une portée politique mondiale.
De quelle manière l’étude sur l’efficacité du confinement a été truquée
Depuis le début du XXe siècle, on assiste à une succession d’articles qui sont des fraudes scientifiques en particulier dans le domaine de l’épidémiologie.
En 1916, Ronald Ross a ainsi modélisé la transmission du paludisme par les moustiques. Il en a tiré la concept R0 (nombre de cas secondaires), qui est sensé être un paramètre permettant de contrôler la diffusion des épidémies. Ce modèle se fondait sur l’idée que si on souhaitait lutter contre la malaria et le paludisme, on n’avait pas besoin de tuer tous les moustiques car en deçà d’un certain seuil, la diffusion du paludisme disparaissait.
Le modèle de Ross a été utilisé dans le cadre d’un grand programme d’éradication de la malaria entre 1955 et 1969 dans les pays africains et on en a conclu que :
• Le modèle n’a rien à voir avec la réalité.
• L’épidémiologie mathématique ne fait pas sens.
Un autre article va servir toute l’épidémiologie mathématique, et en particulier celle qui va être utilisée en 2020, en France, par le Conseil scientifique. Il s’agit de l’article de Kermack & Mc Kendrick, publié en 1927 et portant sur la transmission des maladies respiratoires contagieuses.
De cet article vont être tirés deux indicateurs fondamentaux qui ont pollué le débat médiatique en 2020.
Premier indicateur : Le nombre basic de reproduction (nombre de cas secondaires qu’une personne est capable de contaminer).
Second indicateur : La théorie de l’immunité collective (si plus de 60% de la population est immunisée, le virus n’est plus contagieux).
Cette théorie est injustifiable d’un point de vue mathématique. Néanmoins elle est utilisée aujourd’hui pour justifier la vaccination et en particulier celle des enfants.
Le narratif consistant à dire que si plus de 70% des gens sont immunisés de façon artificielle ou naturelle, le virus cessera de se propager PARCE QUE les équations mathématiques le disent.
• C’est sur la base de ces théories frauduleuses que les décisions politiques en santé publique sont prises avec des effets catastrophiques.
L’article publié dans la revue Science et la justification du confinement
L’article « Estimating the Burden of Sars-Cov-2 in France » a été publié en ligne le 11 mai 2020 alors qu’il a été soumis le 20 avril 2020. Il se passe trois semaines entre la remise du papier à la revue et sa mise en ligne.
Ceci est pour le moins étonnant puisqu’il faut à un mathématicien honnête entre un et deux ans pour écrire un article et tout autant pour une relecture par les pairs.
– problème de rapidité avec laquelle l’article a été écrit ;
– problème de rapidité avec laquelle il a été accepté pour publication (on en déduit qu’il n’a pas été relu par les pairs et que sa publication a été négociée en urgence avec l’éditeur).
Le 21 avril 2020, tous les médias français relayent ce pré-print comme étant la référence permettant de prouver l’efficacité du confinement, alors même que le confinement n’est pas terminé.
Les auteurs vont transmettre une partie des codes qui leur ont permis de réaliser la simulation permettant de démontrer l’efficacité du confinement. Cependant il s’avère que ces codes n’ont pas été écrits par leurs auteurs.
En effet, quand on regarde le profil des auteurs et que l’on voit le codage, on s’aperçoit de l’impossibilité pour ces auteurs d’avoir écrit ce code, et ce pour la bonne raison que ce qui est codé ne correspond pas à ce qui ressort dans l’article : à savoir que le confinement a permis de réduire de 77% la diffusion du virus de manière instantanée !
Ceci est la preuve manifeste que des cabinets fantômes, probablement payés par Big Pharma, ont réalisé cette étude mathématique frauduleuse.
Première arnaque : les modèles mathématiques en épidémiologie sont un non-sens épistémologique qui a été démontré à maintes reprises et confirmé par les autorités.
Seconde arnaque : les auteurs savent qu’ils sont obligés de trafiquer les courbes (tableaux ci-dessous) parce qu’elles sous-estiment largement la réalité. En effet, l’hypothèse de réduction de 77% est totalement fausse.
Quand on fait tourner les codes mathématiques, on s’aperçoit qu’ils ont maquillé les courbes obtenues pour faire croire qu’elles correspondaient à la réalité.
Ils savent qu’il n’y a pas eu de décroissance exponentielle du nombre de cas à partir du 17 mars 2020, et il faudra attendre fin mai 2020 pour observer un taux de contamination qui était celui du 17 mars.
• Quand ils publient l’article, les auteurs savent que son contenu est mensonger. Cependant ils le font de manière sophistiquée de manière à décourager les mathématiciens. J’ai mis 9 mois pour traquer toutes les erreurs. J’ai écrit à la revue Science en motivant ma demande de rétracter l’article suite à la fraude mathématique. À ce jour, je n’ai toujours pas eu de réponse. Je compte les poursuivre pénalement quand bien même la procédure sera longue.
La justification des passes sanitaire et vaccinal
Pour rappel, il y a eu deux décisions anti-démocratiques majeures qui ont bouleversé la population : les confinements et le passe sanitaire. Le passe sanitaire étant une discrimination entre les personnes vaccinées (libres de faire ce qu’elles souhaitent et même de transmettre le virus) et les personnes non vaccinées (interdites des lieux sociaux, de prendre le train etc.).
On savait alors très bien que le vaccin ne protégeait ni de la maladie ni de sa transmission et il fallait à nouveau faire illusion. Il a alors été demandé à Cauchemez de faire un modèle prédictif sur la transmission du virus sur une population vaccinée et non vaccinée.
Une fois de plus les mêmes techniques frauduleuses seront utilisées.
Le 28 juin 2021 est publié un pré-print de Cauchemez qui n’a aucune valeur scientifique (et même s’il était irréprochable, nous savons que les modèles mathématiques en épidémiologie sont insensés), qui n’a pas été relu par les pairs et qui pourtant a été diffusé dans les sphères décisionnaires et les médias.
Ce document dit que sur la base de modèles mathématiques, les non vaccinés sont 12 fois plus contagieux que les autres. On ne sait pas du tout comment ils arrivent à ce chiffre, mais qu’à cela ne tienne !
• Ce document pré-print est un festival de non-sens « scientifiques ». Les modèles mathématiques sont spéculatifs. Ils sont basés sur des théories mathématiques qu’on sait fausses. Il y a à nouveau plus de 300 paramètres dans le modèle. Les équations sont illisibles. Il y a des problèmes d’homogénéité (c’est comme si d’un côté on avait des choux et de l’autre des bananes). Les résultats sont donnés sans aucune méthode de calcul etc.
• Il est le seul document sur lequel le gouvernement se basera pour justifier le passe sanitaire puis vaccinal ! Et ce pour la simple et bonne raison qu’il n’y a jamais eu d’études dans le passé sur le sujet. Il n’y a eu aucune donnée expérimentale sur laquelle appuyer un raisonnement.
• Sauf action de la justice, personne n’aura jamais les codes, or c’est sur cette base que les passes sanitaires puis vaccinaux ont été justifiés, avec toutes les conséquences économiques et humaines que nous connaissons, dont notamment la « suspension » de 15 000 soignants.
La conclusion parfaitement fallacieuse est que le confinement des non-vaccinés et eux seuls peut permettre de stopper la diffusion de l’épidémie.
• Une plainte a été déposée au parquet de Paris fin août 2021 pour faux, usage de faux, escroquerie, trafic d’influence etc…
• Le 6 septembre 2021, la version pré-print disparait du site web, pour être remplacée par une autre version dans laquelle « 12 fois plus contagieux » est remplacé par « 4 fois plus contagieux ».
• Personne ne sait comment ni pourquoi.
• L’association RéinfoLiberté obtient un soutien populaire majeur pour aider au financement de la plainte.
• L’Institut Pasteur a remis le pré-print initial sur son site et un complément de plainte a été déposé à la suite des changements dans les conclusions de l’article.
Le devenir de la plainte
Pour l’instant, il est difficile d’attendre une collaboration loyale de la part des autorités judiciaires.
- Mi-novembre 2021 : le parquet de Paris annonce qu’il étudie cette plainte.
- Janvier 2022 : un nouveau complément de plainte est déposé.
- 1er trimestre 2022 : le pôle de santé publique de Paris classe l’affaire.
- Actuellement : continuation de la plainte avec mise en place d’une constitution de partie civile.
Toutefois, les dénonciations mathématiques et les diverses actions judiciaires ne sont pas restées sans effet puisqu’à partir de décembre 2021, toutes les études de l’institut Pasteur mentionnent en début de texte l’avertissement suivant :
« Ces scénarios sont faits sur la base de données incomplètes et d’hypothèses incertaines. La propagation du virus Sars-Cov-2 est difficile à anticiper ; et la dynamique de l’épidémie peut changer rapidement. Les trajectoires décrites dépendent des hypothèses faites ; si les hypothèses ne se réalisent pas, la dynamique observée pourra être différente des projections. »
Une nouvelle plainte a été déposée suite à l’introduction de cet avertissement. En effet, la question se pose maintenant de savoir, quelles décisions les autorités auraient prises en mars 2020, septembre 2020 et juin 2021, sachant que les modèles n’existent pas, que les paramètres ne sont pas connus et qu’on ne peut rien prédire.
« Car en soi, le Sars-Cov-2 n’est pas grave, le taux de létalité est le même qu’une grippe saisonnière d’intensité moyenne, les hôpitaux n’ont pas été saturés. »
(cf. présentation de Pierre Chaillot, « Covid-19 histoire d’une fraude statistique – une arnaque au comptage », Colloques Corruption et fraude au cours de la crise Covid, Lisbonne et Marseille, 2022)
Et toutes les décisions prises en France, l’ont été sur la base de prédictions mathématiques qui n’ont fait qu’engendrer la peur.
À la vue de l’insertion de cet avertissement, il est clair qu’ils cherchent à se couvrir en cas de procédure pénale.
Un personnage trouble : Cédric Villani
Cédric Villani, qui est à la fois scientifique et député, a eu l’honneur d’être le vice-président puis le président de l’OPECST (Office Parlementaire pour l’Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques)
Il s’agit de la plus haute instance parlementaire française dont le rôle est de conseiller sur les choix scientifiques et technologiques.
En tant que mathématicien, député et président de l’OPECST, Cédric Villani était la personne la mieux placée pour faire obstacle à la fraude mathématique du Conseil scientifique, qui elle-même provenait des simulations crapuleuses de Neil Ferguson et de l’Imperial College.
D’autant plus qu’il est, tout comme moi, spécialiste des phénomènes de transports or le virus est un phénomène de transport qu’on appelle le transport collision (les gens se déplacent et quand ils se rencontrent, ils peuvent éventuellement changer d’état viral).
L’article pseudo-mathématique qui est mentionné sur la diapositive suivante, et qui a été approuvé par C. Villani en mai 2020, démontre sa compromission dans la diffusion de fausses informations mathématiques à l’égard du gouvernement pour prendre des décisions sur les confinements. Cela explique pourquoi il n’a jamais souhaité me rencontrer malgré mes nombreuses relances.
• En tant que mathématicien, député et président de l’OPECST, Cédric Villani a fait preuve d’un défaut de vigilance et souhaite clairement échapper à ses responsabilités.
Autres articles avec fraude en mathématiques
Un article pseudo-mathématique par Roux, Massonneau, Crepey, déposé le 27 avril 2020 alors que le confinement était encore en cours :
- Affirme sur la base d’un « modèle mathématique » que le confinement a sauvé… 61’739 vies !
- Il s’agit à nouevau d’un pré-print qui n’a jamais été publié ni relu par les pairs mais a reçu une large médiatisation.
- Il a été dénoncé publiquement par le Pr Jean-François Toussaint comme irrecevable.
- J’ai démontré qu’il s’agissait aussi d’une pure escroquerie mathématique.
Cet article est pourtant cité dans une note présentée par l’OPECST comme preuve de l’efficacité des confinements et approuvée en mai 2020 par Cédric Villani.
L’étude Comcor
Le 15 décembre 2020, le Premier ministre Castex annonce que sur la base d’une étude scientifique du Pr A. Fontanet (Conseil scientifique), les bars et restaurants sont des lieux à risque pour la transmission du Sars-CoV-2.
Cette « étude scientifique » est une étude statistique type comparaison « malades/non-malades » sur les habitudes des personnes ayant ou non eu le Covid.
Cette étude est une étude dont il est facile de montrer qu’elle est totalement truquée.
Elle pourtant été acceptée pour publication dans le « Lancet Regional Health » le 16 novembre 2021.
Action judiciaire : cette étude a fait l’objet d’un dépôt de plainte pour faux, usage de faux, escroquerie, trafic d’influence. Ayant été rejetée par le parquet, elle actuellement l’objet de la mise en place d’une constitution de partie civile (CPC).
Le 18 janvier 2022, le Conseil d’analyse économique publie une note… d’épidémiologie.
- L’étude prétend que le passe sanitaire a permis de gagner des points de vaccination et donc… de sauver des vies.
- Le pré-print n’est toujours pas publié, 9 mois après avoir été soumis.
- À partir d’une méthode mathématique totalement arbitraire, les auteurs estiment que 4000 vies ont été épargnées.
- En réalité, on peut démontrer mathématiquement, à partir de la méthode retenue par les auteurs, que le passe sanitaire a en réalité coûté… entre 1500 et 7000 vies.
L’article a été dénoncé publiquement par mes soins comme étant une fraude le 14 février 2022 lors d’une séance publique du Conseil scientifique indépendant.
Conclusions
• En France (et dans tous les pays occidentaux) TOUTES les décisions politiques majeures (confinement, passe sanitaire) ont été décidées et justifiées par des études mathématiques.
• SANS AUCUNE EXCEPTION, toutes ces études mathématiques et numériques reposent sur des escroqueries mathématiques qu’on peut démontrer.
• Des plaintes sont en cours, malgré une résistance évidente du parquet à mener des enquêtes.
• Cédric Villani – pourtant alerté et sans doute conscient des escroqueries mathématiques de par son niveau scientifique dans ce domaine – a collaboré à leur diffusion et a refusé de mener les enquêtes nécessaires.
source : Anthropo-logiques
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