Parlons crûment : Hidalgo, dont la gestion de la capitale est catastrophique, attribue à l’inflation et au réchauffement l’explosion des impôts fonciers. Bienvenue au Racketland !
Le mensonge socialiste dans toute sa splendeur. Entre les rats, les Roms, les migrants, les tox, la saleté, la violence et les impôts, sans oublier la boboïsation rampante, la LGBTisation forcée et l’écologisme à deux balles, des milliers de Parisiens sont en train de regarder ailleurs, vers la France, celle qu’on appelle province.
Autre chose, le budget récupéré est destiné en partie à la lutte contre le réchauffement climatique, et en même temps les Parisiens rackettés sont accusés de ne pas mettre leur logement aux normes thermiques. Il faut savoir : pourquoi investir dans l’isolation si le temps se réchauffe ? On simplifie, mais y a hiatus.
– La Rédaction d’E&R –
Elle a fini par s’y résoudre. Anne Hidalgo a annoncé ce lundi midi par un communiqué sur Twitter la hausse de la taxe foncière (TF) à Paris. Celle-ci augmentera de 7 points, ce qui revient à une hausse de plus de 50 % puisqu’elle passera de 13,5 % à 20,5 %. Et pourtant, il y a à peine un an, Paul Simondon, adjoint à la maire de Paris en charge des finances, refusait cette éventualité assurant à 20 Minutes que « la municipalité est attentive au pouvoir d’achat des Parisiens ».
Dérèglement climatique, crise énergétique et inflation touchent toutes les villes. L’État refuse d’être à leurs côtés. Pour garder les services publics et accélérer la transformation écologique, nous n’avons d’autre choix que d’augmenter la taxe foncière.
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— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) November 7, 2022
Mais l’inflation est passée par là. « Par rapport à 2021, notre facture d’énergie s’est alourdie de 100 millions d’euros », note Paul Simondon. « Le coût des denrées alimentaires pour les cantines a augmenté de 40 % », ajoute Nicolas Bonnet-Oulaldj, le président du groupe communiste et citoyen récent coauteur d’un rapport sur L’avenir des finances locales à Paris. Il avance également la décision du gouvernement de relever le point d’indice des fonctionnaires pour expliquer le manque de 400 millions d’euros pour boucler le budget de 2023. « On savait que ce serait très compliqué », confie l’élu parisien.
Le gouvernement en accusation
Et sur le sujet, Anne Hidalgo n’épargne pas le gouvernement. « Toutes les communes de France sont aujourd’hui confrontées à une situation très difficile qui, malheureusement, n’a pas été prise en compte par le gouvernement », écrit-elle dans son communiqué. Elle lui reproche d’avoir rejeté des amendements permettant notamment de taxer davantage les propriétaires de logements vacants et de résidences secondaires, ou de relever la taxe de séjour pour les hôtels de luxe.
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Face à cela, la maire de Paris dit être confrontée à un double choix : « soit dégrader nos services publics », « soit réduire nos investissements dans la transition écologique ». « On a fait un plan de sobriété énergétique, dans l’administration, mais on veut maintenir la qualité des services publics par exemple en gelant le tarif des cantines », explicite Paul Simondon. Anne Hidlago a donc décidé de faire appel « à la solidarité des propriétaires parisiens », en augmentant la taxe foncière. « C’est un vrai effort qui est demandé », concède d’ailleurs l’adjoint aux finances.
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Parmi les élus écologistes qui évoquaient ces derniers temps la nécessité d’une hausse de la taxe foncière, Emile Meunier salue « une décision nécessaire et courageuse ». Il insiste en ajoutant que « ces nouveaux financements doivent servir en priorité à l’adaptation de la ville au réchauffement climatique et à soutenir les personnes les plus pauvres dans la crise ».
« Une trajectoire budgétaire insoutenable »
Pour l’opposition, en revanche, c’est une autre musique que l’on entend. « Anne Hidalgo passe à la taxe et les Parisiens vont le payer », dénonce David Alphand. Pour lui, la maire lui donne raison car cette hausse « confirme une trajectoire budgétaire insoutenable » dénoncée depuis longtemps et le fait qu’Anne Hidalgo est « prise dans le toboggan de la dette ».
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Dati, le cauchemar d’Hidalgo
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation