Nanotechnologie et « vaccins »: ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés: transhumanisation et nanoréseaux…

Nanotechnologie et « vaccins »: ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés: transhumanisation et nanoréseaux…

Il existe une connivence évidente entre les fabricants qui ont bénéficié des autorisations de mise sur le marché pour leurs produits, et un projet mondialiste piloté par un petit nombre de personnes influentes qui mettent en œuvre un projet longuement préparé et sans limite de moyens.

Composants du nanoréseau au plan intracorporel

  1. Nanotubes de carbone (CNT) et dérivés (SWCNT, MWCNT) 

  2. Points quantiques de graphène (GQD) 

  3. Nageurs hydrogels 

  4. Nanoantennes fractales en graphène 

  5. Nanorouteurs ou nanocontrôleurs 

  6. CODEC ou Nanointerface 

Topologie de nanoréseau 

  1. Nanonodes (GQD, Hydrogel nageurs, Nanotubes, Fibres) 

  2. Nanocapteurs (circuits de nanotubes, nanofeuillets de graphène) 

  3. Nanocontrôleurs (circuits de nanorouteurs QCA) 

  4. Nanointerface (circuits QCA nanoCODEC) 

Les GQD (points quantiques de graphène) 

« Les points quantiques de graphène sont des morceaux de graphène ou d’oxyde de graphène à l’échelle micro-nanométrique avec des formes circulaires, hexagonales, triangulaires qui résultent de la décomposition ou de l’oxydation de nanofeuillets de graphène. Loin d’être un défaut du réseau, ils jouent un rôle fondamental, puisque leur taille leur permet de fonctionner ou d’opérer comme des nano-antennes. De plus, ils circulent à travers le système sanguin, les artères, les veines, capillaires, servant de marqueurs électriques, mais aussi biologiques, car ils absorbent les protéines et autres composants présents dans le sang. » (source : lilianeheldkhawam.files.wordpress.com)

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg

L’interface humain-machine avec transmission de données, est une nano-interface dotée d’un circuit QCA (quantum-dot cellular automata) plus complexe, qui contient une nanoantenne pour émettre et recevoir des signaux TS-OOK (On Off Keying). Avec une forte probabilité, ils disposent d’un codec pour crypter les paquets de données et les retransmettre à l’extérieur grâce aux nanocapteurs et nanorouters. 

Le nanorouteur n’a pas besoin de processeur pour fonctionner, car l’architecture QCA (points quantiques) lui permet de fonctionner à une fréquence d’horloge tout comme le ferait un processeur d’ordinateur. De cette façon, les signaux sont transmis au nanorouteur le plus proche afin d’optimiser le nanoréseau et d’éviter la saturation du signal. Pour cette raison, plusieurs de ces composants sont protégés grâce à l’hydrogel qui se trouve dans les sérums.

 Du point de vue fonctionnel, les propriétés semi-conductrices, des points quantiques de graphène, leur permettent d’élaborer un réseau sans fil au travers duquel ils peuvent moduler et, encore plus, réussir à neuro-moduler – tels des nano-transducteurs – avec une plus grande efficacité que les feuilles d’oxyde de graphène, les schémas de comportements humains. 

Selon Andersen, les photographies obtenues, à partir des analyses de sang, démontrent la présence de nano-antennes fractales de graphène cristallisé, de nano-nageurs en forme de rubans d’hydrogel, l’oxyde de graphène, et finalement, de points quantiques de graphène. Conformément à toutes les preuves produites et à tous les faits déclinés, il peut être affirmé que cet éco-système de graphène, dans le corps humain, est conçu pour la réception de signaux électromagnétiques au travers des nano-antennes fractales de graphène et de leur propagation au travers des points quantiques de graphène avec un double objectif. 

Le premier : l’administration potentielle de substances étrangères et leur libération en fonction de cibles biologiques – à savoir, des organes déterminés du corps humain. 

Le second : la modulation des neurones et d’autres tissus du corps humain sont ciblés afin qu’ils puissent être télécontrôlés au moyen de micro-ondes et d’émissions d’ondes (5G). 

Finalement, les nageurs, en forme de rubans d’hydrogel, possèdent une fonction motrice reconnue qui opère en couplage avec des ondes électromagnétiques ou des champs électromagnétiques – afin de libérer leur charge pharmacologique ou pharmacogénétique. 

En d’autres termes, les dominants léo Straussiens du NOM, cherchent à prendre le contrôle totalitaire de chaque personne, en utilisant des biotechnologies totalement inconnues du public. Puisque la plupart de ces éléments se dégradent dans la durée, notamment sous l’effet du système défensif de l’organisme, les promoteurs du transhumanisme ont donc prévu des « vaccinations » à répétition, sous prétexte sanitaire, invoquant l’arrivée de nouveaux variants toujours plus dangereux et menaçants les uns que les autres ! 

La solution radicale au problème consiste donc à refuser la « vaccination ». Bien entendu, vous êtes « libre » de choisir de rester un esclave lié à sa chaîne numérisée, intracorporelle.

« Ils cherchent à prendre le contrôle de chaque personne en utilisant des biotechnologies inconnues du publi.c » 

Ceux qui pensent que les épisodes de Covid ou d’une autre épidémie relèvent du passé, vont être surpris dans les semaines et mois à venir. Bill Gates qui fait partie des instigateurs de ce projet, annonce de nouvelles épidémies, non parce qu’il prophétise, mais parce qu’il en est assurément l’un des instigateurs. 

Ces faits étant inavouables, les maîtres du jeu devaient s’appuyer sur la manipulation de l’opinion publique. Beaucoup se sont longtemps demandés pourquoi Bill Gates qui n’a aucune compétence en matière de santé, avait investi à ce point, comme on l’a vu dans un autre article, dans les vaccins. Décidément, on comprend mieux le lien entre biologie et informatique – dont il est professionnel – lorsqu’on sait ce que contiennent les vaccins. 

Communication avec l’extérieur et utilisation du protocole OS TOOK 

Toujours à partir des travaux de Mik Andersen dont une traduction est proposée sur le site de Xochipelli dans la section intitulée « Réseaux de nano-communications sans fil pour les nanotechnologies dans le corps humain », nous proposons quelques explications. 

Akyildiz, I.F. ; Jornet, J.M. ; Pierobon, M. (2010) ont montré que les points quantiques de graphène servent à propager des communications sans fil dans le corps humain et à moduler le système nerveux central. Ils affirment que « réduire l’antenne d’un dispositif sans fil classique à quelques centaines de nanomètres, nécessitait l’utilisation de fréquences de fonctionnement extrêmement élevées, ce qui compromettrait la faisabilité de la communication électromagnétique sans fil entre nanodispositifs. C’est pour cette raison que fut adoptée l’utilisation du graphène afin de fabriquer des nano-antennes capables de surmonter cette limitation ». 

Cela confirmait dès 2010 que le graphène était le bon matériau pour propager des signaux dans ce contexte de la communication sans fil à l’intérieur du corps humain. De plus, les basses fréquences sont moins nocives que les hautes fréquences pour l’organisme et le métabolisme. Aussi, les nano-antennes en graphène fractal observées dans les échantillons de sang permettent la réception et la transmission des signaux de communication avec le réseau de points quantiques GQD en graphène, dispersés dans le corps via la circulation sanguine. 

La propagation des réseaux de nanocommunication sans fil, des nano-antennes et des nanocapteurs requiert des protocoles de routage pour les réseaux de nanocapteurs sans fil dans l’IoNT (The Internet of Nano Things) ou l’internet des nano-objets.

Le schéma de routage IoNT (Internet of Nanothings) assure la livraison des paquets de données à la nano-interface de la passerelle, qui est chargée de transmettre/répéter les informations à l’extérieur du corps, en incluant dans son en-tête l’identification MAC, nécessaire pour différencier l’origine des données. La traçabilité de chaque individu était donc possible, de même que l’action sur un dispositif individuel, c’est-à-dire que ce qui survient chez un individu peut ne pas survenir chez un autre équipé du même dispositif. Nous connaissons encore peu ce qu’il est possible de réaliser avec ces dispositifs, mais rendre les gens malades de manière ciblée et différente (coeur, cerveau, foie, système immunitaire…) est techniquement possible, ce qui permet de mieux dissimuler des actes illicites, immoraux et meurtriers. Mais lorsqu’on en vient à considérer la vie comme un simple matériau, la suppression de la vie n’est alors plus considérée comme immorale par ceux-là même qui tiennent les commandes numériques d’un tel système !

Le graphène peut être programmé et contrôlé comme s’il s’agissait d’un logiciel.

Sources: Abadal, S.; Liaskos, C.; Tsioliaridou, A.; Ioannidis, S.; Pitsillides, A.; Solé-Pareta, J.; Alarcon E.; Cabellos-Aparicio, A., 2017 

Puisque la vaccination ne pouvait être rendue obligatoire, il était donc prévu de la coupler à un pass identitaire et à la suppression de la monnaie scripturale envisagée pour la fin 2022. Enfin, coupler le pass à un moyen unique de paiement numérique via un dispositif intracorporel (micropuce/Tag) supprimerait toute possibilité d’achat ou de vente à ceux qui refuseraient la « vaccination ». Le marquage du bétail humain est un système qui contrôle infailliblement la vie de l’esclave soumis et la mort de celui qui veut passer dans le « camp » des rebelles ! 

Explication de la neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain 

Qu’entend-on par neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain. Les nanotubes de carbone et l’oxyde de graphène traversent la barrière hémato-encéphalique et contribuent à modifier les synapses ainsi que la croissance des cellules neuronales. L’oxyde de graphène a une affinité avec les cellules du cerveau et avec le cœur car ces deux organes, de par leur activité, génèrent un faible champ électromagnétique. Ces champs méritent encore d’être explorés, de même que la toxicité de ces nanotechnologies sur le cerveau humain. 

Mik Andersen nous explique que la neuromodulation et la neurostimulation sont possibles grâce aux nanotubes de carbone (graphène sous forme tubulaire), qui agissent comme des électrodes activant des régions spécifiques du cerveau ; ils peuvent également être utilisés comme une interface neuronale capable de se connecter à des réseaux de nanocommunication sans fil inoculés, dont les points quantiques de graphène (GQD), les nanoantennes en graphène et tout un réseau pour lequel il existe un logiciel de simulation, des protocoles de routage, des protocoles MAC. Les WBAN utilisent déjà ces technologies et il existe une littérature abondante sur le sujet.

La communication moléculaire intégrée avec des nanotubes de carbone ayant la capacité d’interagir dans des nanoréseaux sans fil de capteurs neuronaux est une réalité scientifique comme le montre notamment les travaux de Abd-El-atty, SM et al. en 2018 : «la communication moléculaire (CM) est considérée comme une approche prometteuse pour transmettre des informations dans le nanoréseau intracorporel. Dans ce contexte, l’utilisation de nanomachines dans le nanoréseau facilite les opérations de traitement, d’actionnement de logique et de détection. En outre, les nanomachines ont la capacité d’échanger des informations lorsqu’elles sont interconnectées par le biais du nanoréseau. Un simple nanoréseau intra-corporel peut être réalisé en connectant un groupe de nanomachines artificielles/synthétiques ou biologiques pour exécuter des tâches et des fonctions complexes dans le corps humain, telles que le diagnostic et les traitements biomédicaux, ou la transduction des signaux neuronaux et le contrôle neuronal… Les nanotubes de carbone facilitent l’interaction moléculaire entre les cellules vivantes, y compris les neurones, par une interconnexion basée sur des commutateurs stables pour l’amarrage des molécules… Les nanotubes de carbone (NTC) ont la capacité de reconnaître la libération de molécules de neurotransmetteurs dans le système nerveux du nanoréseau. »

« Un simple nanoréseau intra-corporel peut être réalisé en connectant un groupe de nanomachines artificielles/synthétiques ou biologiques pour exécuter des tâches et des fonctions complexes dans le corps humain. » 

La seule communication électromagnétique pour la surveillance du système nerveux central et particulièrement du tissu neuronal n’est pas suffisante. Pour le bon fonctionnement du réseau intracorporel et de cette surveillance de l’activité neuronale il faut lier la communication moléculaire et électromagnétique dans une approche hybride. 

En 2004, Roman C et al. expliquaient :

« Nous proposons et simulons un capteur à nanotube de carbone très sensible, capable de transposer la liaison protéine-ligand, ou plus généralement la reconnaissance macromoléculaire, à une variation de fréquence d’un courant électrique ».

Il s’agit de la base sur laquelle est construite le modèle hybride de communication moléculaire-électromagnétique, démontrant que leur interaction, leur transduction ou, si vous préférez, la traduction des signaux moléculaires en fréquences et en impulsions de courant électrique est possible. 

Andersen conclut que « cela permet de déduire que le but ultime d’une partie importante des recherches sur les nanotubes de carbone et leurs dérivés, est la neurostimulation/neuromodulation. Autrement dit ces technologies présentes, mais non déclarées dans les pseudos vaccins contre la Covid, ont pour but de contrôler – au moins partiellement – le fonctionnement du cerveau des personnes inoculées. Il ne s’agit en rien, ni de santé, ni de science-fiction, mais d’une réalité technologique bien réelle.

Avec la découverte des nanotechnologies dans les « vaccins anti Covid » (à ARNm et à adénovirus), on peut affirmer que la « vaccination » de masse contre la Covid n’était qu’un prétexte et un moyen de contourner le consentement libre et éclairé des personnes. Le contenu des produits injectés aux populations représente un viol de la personne, une menace contre l’intégrité physique et psychologique et contre la liberté de penser et d’agir. 

Conclusion 

A la lecture de ce dossier, on comprend que l’épidémie de SARS-COV-2 n’était pas un accident mais un événement volontairement provoqué, pour l’introduction de ces biotechnologies dans les « vaccins » disponibles en Occident. Cela requerrait, en effet, des années de recherche et de minutieuse préparation. L’épidémie (et non la « pandémie »), a été créée de mains d’hommes et propagée de manière volontaire dans le seul but de faire « vacciner » la population mondiale. 

Il s’agit d’une arme biotechnologique qui a deux fonctions majeures : 

La première était certainement, de tuer aléatoirement, par l’incompatibilité naturelle des organismes qui réagiraient aux contenus des « vaccins ». Ces personnes seraient tout bonnement jugées indésirables, voire, opposantes au système, selon des critères, eux aussi aléatoires, définis par ceux-là même qui ont mis en place cette horreur. Dans ce lot, les plus fragiles seraient également menacés, à savoir les personnes âgées, les personnes malades et les enfants, en un mot : les « inutiles » ou les « substituables ». 

La seconde fonction consistait à prendre le contrôle des survivants en faisant d’eux les « transhumains », une nouvelle génération d’esclaves, par la prise de contrôle de leur cerveau, en manipulant leurs pensées et leurs émotions. Il ne s’agit pas d’un scénario de science-fiction, mais bien d’une réalité technologique financée par la troïka dominante, riche, puissante et assoiffée de domination sur ses congénères. 

En couplant la « vaccination » au mode de paiement numérique, qui deviendra le seul mode de paiement théoriquement prévu à la fin 2022, ils rendront obligatoire de manière indirecte, la « vaccination » et l’empoisonnement des personnes.

Tout cela n’aurait pas été possible si les individus libres et conscients, refusant d’être les jouets de la manipulation par la peur, avaient d’emblée contesté cette stratégie : tout le système de santé, les écoles, les administrations, les entreprises, l’armée, la police ont collaboré comme un seul homme, à ce plan machiavélique ! Les acteurs du monde médical intervenant dans les médias inféodés pour les besoins de la propagande, seraient grassement payés par l’immense fortune des maîtres qui engageaient ce plan de mise au pas de toute l’humanité ainsi dressée à sa complète soumission… Certains d’entre eux seraient même décorés de la Légion d’honneur ! Plus qu’aucune guerre, ce plan était fait pour répandre la mort déclinée en plusieurs versions (santé, économie, répression) et ferait un nombre de victimes qui allait se chiffrer par des millions d’individus.

L’instauration d’une dictature mondiale reste la finalité d’une humanité dénaturée et sous contrôle technologique. Humainement parlant, les chances de sortir de ce piège sont infimes car elles reposent sur le réveil des populations qui n’a pas encore eu lieu massivement. L’humanité n’a jamais été autant menacée que par elle-même…

Ceux qui ont entrepris cela ont profité de l’ignorance et d’une énorme méconnaissance de la part de la communauté médicale et sanitaire en matière de bioinformatique, de nano technologies et de chimie quantique pour mettre en œuvre l’agenda 2030. 

Cependant, nous disposons de suffisamment d’éléments dans ce dossier pour comprendre ce qui se trame. Il reste pourtant difficile au plus grand nombre d’admettre qu’une telle entreprise soit possible et c’est de cela que nos oppresseurs tirent un énorme avantage. J. Edgar Hoover, directeur du FBI de 1924 à 1972, affirmait : « L’individu est handicapé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut croire qu’elle existe ». C’est précisément sur la base de ce constat qu’ils comptent réussir l’imposition de la « vaccination » mondiale et ses conséquences funestes. La dissimulation, le mensonge et la technologie sont au coeur de cette manipulation sans précédent dans l’Histoire. 

Si l’on souhaite vraiment connaître le fond de la pensée de nos « nouveaux maîtres », il est impératif d’examiner celle, toxique, de l’historien Yuval Noah Hariri, un des acteurs et grand partisan du « Great Reset » mis en avant sur la scène internationale – qui justifie « la surveillance biométrique de l’être humain » et affirme avoir « besoin de réécrire le code du vivant » ou encore que « les humains sont des animaux que l’on peut pirater ». De l’eugénisme aux thèses totalitaires, il n’y a qu’un pas très vite franchi !

Avec l’Hybridation de l’ADN synthétique et du graphène dans le corps humain, des preuves commencent à pointer et nous espérons qu’elles inciteront les citoyens à ne pas se faire « vacciner ». Car une chose est certaine – alors que nous ne sommes plus en phase épidémique – c’est que la « vaccination » de masse va repartir de plus belle en France et partout ailleurs et qu’elle prendra une forme indirecte obligatoire, car ce rituel de « vaccination » est destiné à devenir permanent, définitif. Sachons-le une bonne fois pour toutes: la « vaccination » sera finalement obligatoire, répétitive et permanente, faute de quoi, le système immunitaire naturel pourrait à tout moment compromettre ce marquage du « bétail humain ».

C’est la raison pour laquelle une guerre civile sera, elle aussi, obligatoire, inévitable : on ne peut pas obliger quelqu’un à mourir ou à porter dans son corps une chaîne invisible le maintenant dans un esclavage irréversible, sans s’attendre à ce qu’il cherche à défendre sa vie et sa liberté ! Tous ces criminels qui ont pensé une telle horreur sont de parfaits inconscients : ils s’imaginent qu’ils vont triompher sans problèmes alors qu’ils vont entraîner dans leur délire une destruction totale de leur monde pervers ! Que ce moment vienne sans tarder afin de retrouver la liberté sacrée de la vie qui est une manifestation de la conscience intériorisée.

Jean-Yves Jézéquel

Lire la première partie :

Nanotechnologie et « vaccins » : ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés!


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