-
Campagne de dons Octobre 2022
Chers amis lecteurs. Nous lançons une campagne de dons pour ce mois d’Octobre et nous comptons sur vous pour nous aider à continuer notre travail de réinformation. Comme vous le savez, l’entretien et le fonctionnement de notre site ont un certain coût, et nous dépendons presque entièrement de vos dons pour en assurer le financement. Réseau International a besoin de vous plus que jamais pour assurer la continuité de son travail de réflexion et de réinformation
14 721,96 € atteint
L’arme biologique des pseudo-vaccins anti-covid : l’actualité du Massacre des Innocents
par Kevin Barrett.
Le CDC inflige aux enfants un vaccin qui est une arme biologique, et l’Agence européenne du médicament suit l’OMS, qui le recommande vivement !
Un ancien rituel de sacrifice d’enfants se perpétue
(et en France, l’ANMS, équivalent du CDC américain, continue à recommander le pseudo-vaccin aux femmes enceintes… tout en sachant les dangers qu’il comporte pour la fertilité et pour les enfants).
Robert F. Kennedy Jr. A appelé cela « un acte de maltraitance des enfants à grande échelle ». La décision prise jeudi par le CDC d’ajouter les vaccins à ARNm COVID au calendrier vaccinal des enfants était certainement abusive.
Mais on pourrait soutenir que ce n’était pas seulement un abus de pouvoir sur les enfants, mais aussi un avatar de l’ancien rituel du sacrifice d’enfant.
Avant de plonger plus profondément dans l’angle du sacrifice humain, clarifions ce qui vient de se passer : Des enfants se voient injecter une substance potentiellement dangereuse qui ne leur apporte aucun bénéfice pour la santé.
Les vaccins à ARNm COVID sont toujours classés comme expérimentaux. Cela signifie que le CDC tente de forcer des enfants américains à participer à une expérience scientifique – une violation flagrante du code de Nuremberg.
La justification ostensible pour forcer des populations entières à participer à des expériences médicales est « l’urgence » de la pandémie de COVID. Les vaccins MRNA ne sont autorisés que dans le cadre d’une autorisation d’utilisation d’urgence. Mais non seulement la phase d’urgence de la pandémie est manifestement terminée, mais il n’y a jamais eu d’urgence pour la santé des enfants au départ.
Une étude réalisée par Nature Medicine à partir de la base de données sur la mortalité infantile du British National Health Service a révélé que le taux de mortalité lié au COVID chez les enfants est de 0,0002%, soit environ deux sur un million. Et sur ce nombre infime de décès, les trois quarts sont dus à des maladies chroniques, les deux tiers à des comorbidités multiples et 60% à des maladies limitant la durée de vie.
Alors pourquoi diable quelqu’un voudrait-il faire vacciner son enfant par ARNm ? Vraisemblablement pour la même raison que la veille, certains ont délibérément dévasté le développement éducatif et émotionnel-psychologique des enfants américains en fermant les écoles et en forçant les enfants dès l’âge de deux ans à porter des masques : Ils pensent que les dommages causés à la santé et au bien-être des enfants en valent la peine (tout comme Madeleine Albright pensait que l’assassinat d’un demi-million d’enfants irakiens en valait la peine) parce qu’en maltraitant les enfants « nous (les parents)… sauvons grand-mère » (et dans une moindre mesure les enseignants, les parents et les autres adultes).
L’approbation enthousiaste par Madeleine Albright du meurtre d’un demi-million d’enfants, comme la dévastation délibérée par l’Amérique de ses enfants pendant et après la pandémie de COVID, semble à première vue être une étourderie. Albright ne peut certainement pas avoir voulu dire cela ! Les Américains n’infligeraient certainement pas intentionnellement des handicaps débilitants et des expériences dangereuses à leurs propres enfants ! [La plupart des gens qui font inoculer leurs enfants avec des poisons « vaccinaux » préfèrent ne pas se justifier : leurs arguments se résument à : « c’est mon droit », « moi je crois que… », « ça suffit comme ça, c’est obligatoire, et arrêtez de m’emmerder »]
Tout dépend de ce que vous entendez par des mots comme « délibérément » et « intentionnellement ». Les poètes et les conteurs ont toujours su ce que Freud prétendait avoir découvert à la fin du XIXe siècle : La plupart des motivations humaines sont inconscientes, surtout quand elles impliquent les aspects les plus sombres et ataviques de notre psyché.
Un crime inconscient
En gardant cela à l’esprit, considérons la possibilité que quelque chose pousse les Américains à sacrifier leurs jeunes. Les preuves de cette thèse abondent : Pas seulement la façon dont les enfants ont été jetés au Moloch du COVID, mais aussi :
- Le fait que les Américains tuent presque un million de leurs enfants à naître chaque année ;
- Le scandale permanent des vaccinations de routine toujours plus nombreuses (actuellement 72 injections de 91 antigènes), cause probable de l’explosion des maladies chroniques qui paralysent les nouvelles générations [en particulier l’autisme] ;
- La façon dont les bébés et les jeunes enfants sont arrachés des bras de leur mère à des âges de plus en plus précoces et confiés aux soins peu tendres des crèches commerciales ;
- La façon dont le système d’aide sociale et la dégradation des mœurs sociales ont conspiré pour qu’un nombre toujours plus grand d’enfants américains grandissent dans des familles monoparentales appauvries sur le plan émotionnel, culturel et économique ;
- Et enfin, l’existence d’un trafic d’enfants et d’un esclavage sexuel généralisés, dans lesquels les élites politiques, économiques et journalistiques américaines au plus haut niveau sont profondément impliquées.
Soyons réalistes : Comme George Clinton l’a dit, l’Amérique mange ses jeunes.
Mais en quoi est-ce un « sacrifice » ? Où Moloch entre-t-il en jeu ? Pour répondre à ces questions, nous devons revoir le travail séminal de l’anthropologue-philosophe René Girard, qui a soutenu que toutes les cultures sont fondées sur le sacrifice humain. Comme l’a noté Stanford News dans sa nécrologie de novembre 2015 :
« Girard s’intéressait aux causes des conflits et de la violence et au rôle de l’imitation dans le comportement humain. Nos désirs, écrivait-il, ne sont pas les nôtres ; nous voulons ce que les autres veulent. Ces désirs dupliqués conduisent à la rivalité et à la violence. Il soutient que les conflits humains ne sont pas causés par nos différences, mais plutôt par notre similitude.
Les individus et les sociétés se déchargent de l’infamie, du blâme et de la culpabilité sur une personne extérieure, un bouc émissaire, dont l’élimination réconcilie les antagonistes et rétablit l’unité. »
Le bouc émissaire sur lequel on se décharge de sa responsabilité est généralement un individu ou une communauté impuissante et marginalisée. L’innocence du bouc émissaire, paradoxalement, peut en faire une cible encore plus importante : Pensez aux vierges jetées dans le cratère des volcans, ou au bouc irréprochable chargé des péchés de la communauté et conduit dans le désert pour y être abandonné. Et qui est plus innocent, impuissant et marginalisé que les enfants ?
Il n’est pas étonnant que les enfants soient les victimes préférées de tant de sociétés sacrificielles, des Cananéens adorateurs de Moloch aux Ibo précoloniaux décrits dans Things Fall Apart de Chinua Achebe, en passant par les pratiquants de cultes sataniques de l’élite du pouvoir américain qui se réunissent dans des endroits comme Bohemian Grove (et, selon certains, dans certains restaurants de Washington DC [réputés offrir des plats à base de viande humaine]).
Le bouc-émissaire
La notion de sacrifice de René Girard a constitué une percée intellectuelle capitale dans les sciences humaines. Mais elle passe à côté de deux aspects importants du phénomène, ce que nous pourrions appeler les dimensions pragmatique et spirituelle du sacrifice. D’un point de vue pragmatique, il y a eu des moments et des endroits dans l’histoire de l’humanité où sacrifier certaines personnes semblait être la chose la plus sensée et la plus réaliste à faire. Cela arrive tout le temps, dans les affaires militaires, jusqu’à aujourd’hui. Et cela s’est produit dans des contextes non militaires assez régulièrement, chez des peuples très divers. Chez les nomades khoi-san d’Afrique, lorsque les aînés devenaient un fardeau intolérable ou que les réserves de nourriture ne permettaient pas de nourrir la génération actuelle de bébés, les aînés ou les jeunes non productifs étaient tout simplement tués.
Dans l’Arabie préislamique, les petites filles étaient régulièrement enterrées vivantes, ce qui limitait la population dans un environnement hostile et rectifiait le rapport hommes-femmes dans une culture où les hommes mouraient généralement jeunes à cause des razzias et des querelles incessantes. Aujourd’hui, alors que la population mondiale atteint les huit milliards d’habitants, il existe peut-être un sentiment subliminal parmi les masses, et une acceptation consciente totale parmi les élites, que chaque nouvel enfant aggrave un peu plus la terrifiante équation population-ressources.
Et puis il y a la dimension spirituelle, très importante. Notre état spirituel est largement déterminé par notre capacité à sacrifier le moi (surtout ses désirs primaires) pour l’Autre (humain et divin). Ceux qui réussissent le plus magnifiquement ce sacrifice ou cette reddition (islam) du moi inférieur deviennent des prophètes/saints/mystiques, tandis que ceux qui échouent le plus spectaculairement en sacrifiant l’Autre au moi plutôt que l’inverse deviennent des égoïstes monstrueux, des sybarites, des avides de pouvoir, des narcissiques et des sociopathes.
Les Américains, du moins beaucoup d’entre eux, ont autrefois immolé leur ego pour quelque chose de plus grand qu’eux. Une expression concrète de cet état spirituel était la façon dont ils se sacrifiaient pour leurs enfants, en travaillant dur dans des emplois désagréables et peu valorisants pour que la vie de leurs enfants soit meilleure. Ils le faisaient sincèrement pour leurs enfants, et non pour la satisfaction de leur ego.
Un sacrifice nécessaire ?
Aujourd’hui, certains Américains issus des classes moyennes et moyennes supérieures semblent faire des sacrifices extraordinaires pour leurs enfants en leur donnant des cours particuliers, en les conduisant en voiture à l’entraînement de football et en essayant toutes les astuces possibles et imaginables pour que leurs enfants soient admis dans des universités prestigieuses. Mais tout cela ne concerne pas vraiment les enfants.
Il s’agit de l’ego des parents. Ils veulent pouvoir se vanter sue le mode « mon fils qui étudie à Harvard » ou « ma fille qui est médecin ». Cet aspect narcissique de la culture américaine en général et de l’éducation des enfants en particulier s’est accéléré à l’ère des médias sociaux, où la préoccupation démesurée des gens pour leur image et leur statut apparent semble dominer la conversation nationale.
S’il vous faut une preuve supplémentaire que l’Amérique sacrifie ses enfants, il suffit de regarder les statistiques économiques. Depuis des décennies, les jeunes mariés avec enfants obtiennent une part de plus en plus réduite du gâteau national, tandis que les retraités de la génération d’avant le baby-boom et ceux de la génération d’après le baby-boom, ainsi que d’autres personnes plus âgées, non parents ou post-parents, accaparent la proverbiale part du lion.
Toutes sortes de biens et de services de luxe frivoles prolifèrent, principalement au service des personnes âgées et riches, tandis qu’un enfant sur sept vit dans la pauvreté, que le logement devient de plus en plus inabordable et que la plupart des jeunes parents ont besoin de deux salaires pour se maintenir à flot, privant leurs enfants de l’attention parentale dont ils bénéficieraient dans une famille biparentale à un seul revenu.
D’un point de vue spirituel
Nous sommes donc dans une phase décadente et narcissique, une descente abrupte sur le graphique des ascensions et des chutes de la civilisation ; et d’un point de vue pragmatique, nous sentons que les enfants, à un moment historique aussi sombre et précaire, ne sont pas une si bonne chose. Le résultat est une culture capable de choisir des dirigeants qui nous disent d’aligner nos enfants et de leur injecter des composés expérimentaux dangereux sans raison apparente. Et s’il s’avère, comme certains éléments le suggèrent (voir ici ce qui se passe à Singapour, ici sur le dérèglement des cycles féminins, et ici, sur les dégâts en matière de fertilité masculine), que le véritable objectif des vaccins MRNA COVID est de nuire à la fertilité et d’empêcher ainsi la naissance d’enfants. L’énorme portée de cet effacement monstrueux et mensonger de l’enfant à naître pourrait vraisemblablement se répercuter sur les générations et supplanter celui de Madeleine Albright comme le plus grand sacrifice collectif d’enfants de l’histoire de l’humanité.
Les parents se rebelleront-ils contre ce nouveau rituel de sacrifice technocratique des enfants ? En rejetant les vaccins MRNA et en rejoignant la vague de rébellions des commissions scolaires contre la guerre des technocrates transhumanistes contre l’humanité en général et les enfants en particulier, les parents américains sauveront-ils non seulement leurs enfants, mais aussi leur civilisation ?
source : The Unz Review via Entre la Plume et l’Enclume
Adblock test (Why?)
Source : Lire l'article complet par Réseau International
Source: Lire l'article complet de Réseau International