Paradoxalement, dans la société capitaliste occidentale surprotégée, où la gent féminine semble émancipée, quand les féministes et les instances politiques et médiatiques parlent de la femme, c’est toujours comme un être singulier, une personne infériorisée, aliénée, fondamentalement différente de l’homme (toute ressemblance avec le monde musulman, pourtant fustigé pour sa misogynie, serait une pure et fortuite coïncidence).
Paradoxalement, dans la société capitaliste occidentale surprotégée, où la gent féminine semble émancipée, quand les féministes et les instances politiques et médiatiques parlent de la femme, c’est toujours comme un être singulier, une personne infériorisée, aliénée, fondamentalement différente de l’homme (toute ressemblance avec le monde musulman, pourtant fustigé pour sa misogynie, serait une pure et fortuite coïncidence). Ironie de l’histoire, le meilleur allié du patriarcat, c’est le néo-féminisme, qui perpétue les mêmes stéréotypes phallocratiques (encore prégnants dans les pays islamiques) et prônent les mêmes traitements différentialistes sexués, réservés exclusivement à la femme, au plan social et judiciaire, tels qu’ils ont cours dans les pays musulmans.
En effet, par leur action d’essentialiser les violences commises contre les femmes, leurs mobilisations exhortant les pouvoirs publics à protéger les femmes, à voter des lois spécifiques pour les femmes, elles perpétuent le schéma patriarcal qui infériorise et infantilise la femme. Aux yeux des néo-féministes différentialistes, toute femme, tel un enfant consubstantiellement immature et vulnérable, serait, de par sa nature même, congénitalement en danger, susceptible d’être victime de la prédation masculine.
Somme toute, par leur politique féministe essentialiste, les néo-féministes détachent les femmes de la communauté humaine universelle pour les assigner à des statuts particuliers inférieurs, réduites à une minorité à protéger du fait de leur « faiblesse congénitale », leur « vulnérabilité innée ». Ce faisant, elles les placent dans une condition infrahumaine, d’extranéité sociale, c’est-à-dire d’étrangères à la communauté humaine. Comme cela a également cours dans les pays musulmans où la femme est soumise à un statut d’éternelle mineure nécessitant sa protection par un mâle. En Occident, par l’État.
Par ailleurs, le néo-féminisme bourgeois contemporain, « intoxidentalisé », c’est-à-dire intoxiqué par l’idéologie misandre et l’arrogance légendaire occidentale, cultive une politique victimaire. Rappelons que, selon le dictionnaire Le Robert, le terme misandre désigne « une femme qui a de la haine ou du mépris pour les hommes ». Dès le début de notre siècle, les dérives du féminisme avaient déjà été dénoncées par Élisabeth Badinter, dans son ouvrage Fausse route. Dans ce livre, publié en 2003, elle fustigeait le « féminisme guerrier », la guerre des sexes, le féminisme misandre, victimaire.
Aujourd’hui, les féministes différentialistes instrumentalisent les violences conjugales. Les violences faites aux femmes sont devenues l’arme du féminisme punitif. Sur ces violences résiduelles, elles assènent leurs argumentations victimistes. À chaque violence commise contre une femme par un homme, indécemment instrumentalisée, les féministes brandissent leurs accusations flanquées de leurs immanquables revendications pécuniaires.
En effet, dans le dessein de réclamer financement public et subventions privées, le féminisme « martyrologique » a besoin d’assombrir la condition conjugale réservée aux femmes par les hommes. Pour vivre pécuniairement, il a surtout besoin de victimes pour ne pas succomber à la mort associative. Faute de victimes médiatiquement « visibilisées », parfois fabriquées à fins de règlement de compte politique, le féminisme victimaire finirait par tomber dans les oubliettes sociétales. Ainsi, derrière le discours de dénonciation de la violence sexiste, outrancièrement instrumentalisée, s’affairent des associations féministes vénales, financées généreusement par les fonds publics, autrement dit par l’argent du contribuable.
Globalement, le féminisme victimaire fonctionne sur un schéma binaire : femme victime (toute femme) /homme bourreau (tout homme). Or, les chiffres des homicides contre les femmes sont en baisse régulière. Les homicides dont les victimes sont des femmes sont en baisse constante (moins 25% depuis 10 ans). En France, 90 tuées en 2020 (79 tuées en 2022), contre 146 en 2019 (cette baisse considérable du nombre de morts est intervenue dans un contexte de crise sanitaire et sociale, sur fond de confinement, censé avoir accentué les violences intrafamiliales et conjugales, thème amplement relayé par les médias pour éluder les véritables violences sociales et politiques infligées à l’ensemble du peuple par le gouvernement, notamment par l’explosion du chômage, l’augmentation de la précarité et de la paupérisation, la recrudescence de la surveillance et du contrôle social, la répression policière et la militarisation de la société).
En réalité, d’un point de vue fondamentalement humain, en matière pénale, statistiquement, dans l’ensemble des pays, les premières victimes des violences en général sont largement les hommes. Les femmes ne constituent qu’un très faible pourcentage en matière de violences, à plus forte raison d’homicides. Certes la violence létale est majoritairement perpétrée par les hommes, mais les principales victimes de cette violence sont essentiellement les hommes eux-mêmes. « Selon les données fournies par l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime, dans le monde, 78,7% des victimes d’homicide sont des hommes, et dans 193 des 202 pays ou régions répertoriés, les hommes étaient plus susceptibles d’être tués que les femmes ».
De fait, au sein de la société capitaliste mondiale contemporaine, chaque année plus de 750 000 personnes meurent de violences liées à des conflits armés et à la petite ou grande criminalité dont une grande majorité 490 000 en dehors des zones de guerre, c’est-à-dire dans la société civile, victimes de la criminalité inhérente au capitalisme. Le féminisme ne dénonce jamais ce génocide perpétré par la société capitaliste criminogène et belligène.
En vérité, les violences conjugales impliquent parfois les deux sexes. La conception angélique selon laquelle les femmes seraient toujours les victimes et les hommes toujours les agresseurs est fallacieuse. Dans un couple, certes l’homme peut faire preuve, in extremis, de violence, mais la femme manifeste également une réelle violence verbale et psychologique, voire physique. Cette violence est minimisée, voire ignorée, par les féministes. Un tiers des victimes de violences physiques dans le couple sont des hommes. Officiellement, 20% des hommes sont victimes de violences conjugales, un chiffre en réalité sous-évalué du fait du tabou lié à la difficulté pour les hommes de se confier, d’être crus.
Du point de vue juridique, le discours féministe véhicule l’idée selon laquelle les violences conjugales ne seraient pas suffisamment jugées ni condamnées. Or, l’histoire des annales pénales prouve le contraire. Depuis le XIXe siècle, les violences conjugales sont toujours sévèrement punies, la violence de l’époux constituant par ailleurs un facteur aggravant, donnant lieu à une condamnation sévère.
Loin de nous l’idée de nier l’importance de la violence commise contre les femmes par leurs conjoints, en particulier les assassinats des femmes, il convient néanmoins de replacer cette violence et ces meurtres dans le contexte actuel du développement exponentiel de la violence protéiforme générée par le système capitaliste belligène en pleine putréfaction. Comment définir et qualifier ces meurtres de masse perpétrés fréquemment par des jeunes adolescents à peine pubères, notamment dans les établissements scolaires, dans la plus grande démocratie du monde, les États-Unis, mais aussi dans de nombreux pays civilisés occidentaux ? Selon les statistiques publiées par la police fédérale (FBI), les États-Unis ont enregistré plus de 21 500 homicides en 2020, soit près de 59 par jour. Un grand nombre de ces homicides est perpétré par des enfants âgés de 10 à 19 ans. Depuis 2012, il y a eu 3865 fusillades de masse. Cette année, depuis le début de l’année 2022, presque 220 fusillades sont survenues aux États-Unis. Soit plus d’une fusillade par jour. L’an dernier, il y a eu 692 fusillades, commises également par des adolescents. 25 mineurs meurent chaque semaine par balle et 91% des enfants tués dans le monde par des armes à feu, le sont aux États-Unis. Cette violence juvénile et infantile est autrement plus dramatique et meurtrière. Pourtant elle ne suscite pas le même émoi, le même effroi, la même indignation, la même fureur.
Aujourd’hui, le féminisme vindicatif tente de prendre en otage le droit en s’arrogeant le monopole de la représentation de la souffrance légitime. Or, il n’en est rien. Aucun durcissement du code pénal n’est susceptible d’apporter un adoucissement de la société. Même l’existence de la peine de mort n’a jamais enrayé la criminalité, comme la société étasunienne criminogène l’illustre.
Contre cette dérive judiciaire féministe, les opposants (les juges et les avocats) à « l’exceptionnalité juridique féminine », notamment la codification du féminicide, invoquent le principe d’égalité devant la loi. Selon les juristes opposés à toute « exceptionnalité judiciaire » et codification, l’institutionnalisation du féminicide vise à s’appliquer à une catégorie de la population. Or, cette application porte atteinte au principe d’universalisme du droit et d’égalité des citoyens devant la loi pénale. L’incrimination spécifique du féminicide a pour objectif de sanctionner plus diligemment et plus sévèrement les auteurs du crime. Toujours est-il qu’avec cette spécification juridique, à situation identique, l’auteur d’un meurtre ou de violences perpétrées contre une femme se verrait appliquer un traitement judiciaire distinct et une condamnation plus lourde que le coupable de forfaits identiques commis à l’encontre d’un homme. Au final, cela reviendrait à considérer le meurtre d’une femme plus répréhensible que celui d’un homme. Ce qui serait, au plan humain et moral, inacceptable.
Cela confirme l’exception d’extranéité dont les féministes veulent se prévaloir devant les tribunaux pour échapper à la justice de droit commun s’appliquant à tous les justiciables, sans distinction de sexe. Rappelons que le concept d’extranéité est originellement un terme juridique désignant un individu ou groupe d’individus qui, dans une société donnée, ne bénéficie pas de l’accès aux droits et devoirs de celle-ci mais se voit appliquer les lois de sa société d’origine. En l’espèce, les néo-féministes militent, en vertu de ce statut d’extranéité auto-attribué, excipé comme un droit, pour bénéficier d’une justice rendue en fonction de leur sexe d’origine, c’est-à-dire féminin, et non pas du droit universel.
En tout état de cause, la question des violences contre les femmes n’est pas un problème féminin (féministe) mais un dramatique problème de société. Encore une fois, il n’est pas dans les projets de la nature humaine de s’autodétruire : le ver n’est pas enfoui dans la tête de l’homme mais tapi dans le giron de cette société capitaliste criminogène. Le mal n’est pas d’abord dans l’homme, mais dans la société. Le capital, comme le féminisme, met sur le compte de la psychologie de l’homme la malice des faits sociaux. Par cette opération de manipulation consistant à condamner uniquement le Mâle, elle exonère le Mal de la société capitaliste, autrement plus meurtrier et génocidaire : l’exploitation et l’oppression salariales, les guerres, les famines, les exodes, etc.
Aussi, les féministes misandres ne contribuent-elles nullement, par leurs gesticulations stériles et leur combat sectaire, à féconder le débat, à sensibiliser l’ensemble des membres de la communauté humaine à cette cause sociale universelle. « La théologie morale, c’est l’impuissance mise en action. Toutes les fois qu’elle s’attaque à un vice, elle a le dessous », notait Marx. Autrement dit, les exhortations morales échouent lamentablement à vaincre le mal. Telle est la situation du féminisme moraliste bourgeois. Le féminisme veut changer les hommes sans changer la société. Or, la société de classes, fondée sur la propriété privée des moyens de production, engendre toujours avec elle l’exploitation, la division des classes, la domination politique et sexuelle, la guerre, la violence, le crime.
Fondamentalement, toutes les victimes, de sexe masculin ou féminin, méritent un traitement judiciaire égalitaire. Toutes les victimes de violences physiques et létales méritent une empathie identique de l’ensemble de la communauté humaine. Aucun homme, ni aucune femme, ne doit être répertorié comme violent en raison de son appartenance sexuelle. La « genrification » en matière judiciaire est nuisible à la société.
En vérité, historiquement, les violences envers les femmes et les hommes ont considérablement baissé. La condition de la femme contemporaine ne ressemble aucunement à l’ancienne sinistre époque où elle était totalement asservie. Le temps est à la poursuite de ce progrès et non à la stigmatisation des hommes jetés en pâture par un certain féminisme misandre comme les coupables tout désignés de la violence résiduelle encore prégnante au sein de la société.
Le féminisme misandre, dans sa guerre des sexes, pour polluer la lutte des classes par ses divisions entre femmes et hommes et diversion politique, rivalise d’ingéniosité pour jeter l’opprobre sur tous les hommes, accusés de tous les maux de la société.
Dans la conception féministe fanatique, chaque homme porte sur ses épaules le poids des violences commises contre les femmes, en vertu de la présomption de culpabilité de la globalité de la gent masculine. Et doit faire ainsi pénitence de ces péchés criminels perpétrés contre les femmes. Mieux : repentance, pour s’absoudre de ces violences conjugales et « féminicides ».
Comme nous l’avions souligné dans notre précédent texte consacré aux dérives du néo-féminisme (1), le féminisme contemporain s’est pitoyablement dévoyé. Aujourd’hui, l’émancipation de la femme se réduit à s’ingénier à singer les comportements masculins, emprunter les pires travers des hommes, comme si le modèle masculin était le prototype idéal à égaler, à surpasser.
Par leur volonté effrénée d’égalisation, d’identification au modèle masculin, les femmes se doivent d’avoir les mêmes aspirations, occuper les mêmes emplois, embrasser les mêmes carrières, adopter la même mentalité de prédation, les mêmes mœurs de domination. Une femme qui ne se conforme pas à ces conventions sociales masculines bourgeoises est taxée d’archaïque, de conservatrice. Le néo-féminisme sectaire intoxidentalisé est totalitaire car il est contre la liberté individuelle féminine, la diversité en matière de choix dans la structuration de l’identité de la femme. Toute femme se doit d’intégrer le modèle dominant occidental dans la construction de sa féminité. En l’espèce, il ne s’agit nullement d’une émancipation féminine, mais d’un asservissement à l’archétype du féminisme libéral et libertaire outrancièrement idéologique, propagé tel un virus par l’Occident sénile et décadent.
Nous savions, grâce à Freud, que le cerveau de l’homme n’est que l’appendice de son sexe. Avec le néo-féminisme intoxidentalisé spectaculairement vagissant, nous découvrons que les questions sexuelles sont devenues le fil d’Ariane obsessionnel de l’activité militante des féministes contemporaines : focalisation sur les conduites sexuelles, discours apologétique sur la théorie du genre, campagne idéologique d’hétéro-phobie sur fond de misandrie pathologique, promotion pédagogique de l’homosexualité dans les établissements scolaires, sexualisation du vocabulaire, genrification grammaticale, etc.
Aujourd’hui, parmi les stratégies d’occultation de la violence de classe contre le prolétariat figure l’instrumentalisation des violences faites aux femmes. Cette médiatisation des violences sexistes a pour dessein d’occulter les violences sociales, de dépolitiser les rapports sociaux de domination pour focaliser la conflictualité sur les prétendus rapports de pouvoir asymétriques qui régiraient les relations entre femmes et hommes. La lutte des classes est remplacée par la guerre des sexes.
Le néo-féminisme outrancier, favorisé par le capital, s’intègre dans le processus de désagrégation de la communauté humaine, aujourd’hui divisée socialement en deux classes antagonistes (bourgeoisie et prolétariat), en de multiples segments : ethniques, religieux, communautaires, sexuels, identitaires, dans le dessein de briser l’élément social essentiel, l’appartenance de classe. En lieu et place de la lutte des classes sont ainsi favorisés la lutte des races, les conflits de religions, les tensions communautaires et, bien évidemment, la guerre des sexes, chère aux néo-féministes hystériques et belliqueuses, toujours promptes à en découdre avec le mâle mais jamais avec le capital, à livrer bataille aux hommes mais jamais aux institutions bourgeoises. Tout cela pour le plus grand profit du capital qui peut continuer à nous livrer sa guerre sociale en paix, et nous livrer paisiblement sur les lignes de front dans cette période de guerre généralisée en préparation.
Soutenir, comme le proclament les féministes, qu’il existerait une « Question femme », c’est-à-dire une problématique féminine, c’est cautionner la conception sociologique bourgeoise selon laquelle la société est formée, depuis toujours, d’une juxtaposition de communautés spécifiques, ostracisées ou opprimées par d’autres communautés supposément dominantes. Aussi, « dans l’intérêt générale de l’unité nationale, afin de préserver la cohésion sociale, l’objectif politique serait d’œuvrer collectivement, par-delà les différences religieuses ou ethniques, et les clivages sociaux, à l’instauration de réformes démocratiques aux fins d’harmoniser la cohabitation entre les différentes communautés ». Cette mystification bourgeoise, défendue par des mouvements communautaires disparates et hétéroclites, prônant un meilleur aménagement des conditions sociales (toujours à l’intérieur du capital) et une optimale intégration démocratique de chaque membre d’une communauté dans la nation ou la République, selon la terminologie bourgeoise, participe de la politique de dissolution du prolétariat dans de multiples segments et, corrélativement, du maintien et de pérennisation de la société d’exploitation capitaliste. Elle arrange grandement le capital. C’est la raison pour laquelle il soutient le féminisme. Le féminisme (l’antiracisme, l’écologisme) est un excellent dérivatif. C’est le meilleur antidote contre la lutte des classes. Le meilleur poison pour anéantir politiquement le prolétariat, c’est-à-dire sa conscience de classe et sa combativité révolutionnaire.
Selon le discours misandre des féministes occidentales, ce n’est pas l’entreprise qui est le lieu d’exploitation et d’oppression par excellence, de viol psychologique (objectivé notamment par les humiliations et harcèlements) et de vol de la force de travail (extorsion de la plus-value), mais la maison qui serait devenue l’endroit où les femmes courraient le plus grand risque, dès lors que cette maison est partagée avec un homme, qu’il soit son mari, son compagnon.
Voilà un exemple parmi des milliers d’autres qui illustre ces dérives féministes misandres : une universitaire-chercheuse féministe, après avoir commenté une enquête sur les femmes victimes de violences, conclut par cette observation symptomatique du climat de défiance manifesté à l’égard de l’homme et de l’institution conjugale et familiale : « toutes les données convergent pour souligner la dangerosité de la sphère familiale et conjugale pour les femmes ». « Un modèle familial hautement pathogène, car fondé sur l’emprise d’une représentation traditionnelle de la famille où domine l’appropriation des femmes ». Moralité : l’homme et la famille représentent un danger pour la femme. Conclusion implicite de cette posture féministe jusqu’au-boutiste misandre : « femmes, restez célibataires ou mariez-vous avec une femme ! ». L’objectif de ce féminisme bourgeois fondé sur la multi-sexualité (dite libérée) et la remise en cause des normes hétérosexuelles, donc la glorification des théories du genre, est de pulvériser le prototype du couple « normal » prolétaire, dernier rempart de la collectivité humaine unifiée où se construit distinctement l’identité sexuelle différenciée féminine et masculine.
Cette idéologie féministe misandre est dangereuse. Ce terrorisme intellectuel d’une minorité d’activistes féministes crée une nouvelle forme de bellicosité, un nouveau genre de guerre : une guerre de genre.
Pour paraphraser le slogan des féministes débridés hystériques, symbolisé par « BalanceTonPorc », j’appelle l’ensemble de l’humanité à lancer un mouvement international contre les dérives du féminisme intoxidentalisé, baptisé « Balançons les cochonnes féministes misandres » (dans les poubelles de l’Histoire, avec leurs commanditaires : les capitalistes et les gouvernants).
KHIDER MESLOUB
Source : Les 7 du Québec
(1) 13 octobre 2022. « Offensive de l’offensant féminisme misandre et inquisitorial », les 7 du Québec
Source: Lire l'article complet de Le Grand Soir