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Campagne de dons Octobre 2022
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par Gilbert Guingant.
Les identifier telles qu’elles sont. Ensuite, remonter à la racine du faux problème. Et, enfin, fermement arracher la nuisance. Pour entrer dans une nouvelle ère de liberté de respirer.
Angoisse, du latin angustia, « ce qui resserre ». Oui gêne, empêche la Libre circulation des respirations. Cette approche nous fait comprendre que l’angoisse paraît vraiment… réversible. Que nous pouvons donc l’ôter comme un poids intrus. Par ricochets, ce poids intrus peut tout à fait être introduit de l’extérieur. Par des êtres malveillants, par exemple. Ce n’est donc pas elle/lui qui, naturellement, secrètent leur propre angoisse. Ils en sont comme inoculés sans le savoir. Contrer ces sournois salopards fait, alors, partie des bonnes idées. Comme du meilleur réalisme. Il suffit de savoir que 15% de la population européenne connaît des problèmes respiratoires. Problèmes respiratoires qui causent plus de mortalités réelles que l’arnaque Covid. Y ajouter que le Sénat a alerté la France par 2 excellentes études. Sur le coût collectif de la pollution de l’air. Voir « La pollution de l’air coûterait, à la société, tellement plus que ne lui coûte les pauvres ? » du 22 juillet 2015.
Le port du masque, non médical mais que commercial, ne peut donc s’affubler du « pour le bien de tous ». Puisqu’il devient évident que ce n’est pas vrai. Aucun véridique médecin n’oserait prescrire un port de masque lorsque tant de traitements efficaces existent par ailleurs. Bon, qu’ils soient « interdits », cela attire l’attention sur mais… qui osent ainsi empêcher ces traitements prouvés efficaces ? De la non-assistance à personne en danger, en quelque sorte.
Qui subit le plus l’ambiance « voulue » angoissante ? Les plus faibles, les plus démunis, les moins armés. Oui, les trop aimants, les plus sociables, les trop confiants. Rien, mais rien alors, ne permet de recevoir de l’angoisse « à cause » de ces Qualités. Qualités évidemment absentes des monstres inhumains qui « désirent » détruire l’Humanité. Qualités qui – justement – permettent, concrètement, de faire s’éloigner les angoisses. Comment ? Le premier pas demeure d’aller voir l’angoisse à sa racine. À l’aide de la partie scientifique de la Psychologie (oui elle existe – basiquement à l’université à travers le Reuchlin !).
Une analyse coûts-bénéfices biaisée (tronquée, évitée, faussée, déviée) : le noyau caudé à l’origine du pessimisme…« L’équipe de Graybiel a, précédemment, identifié le circuit neuronal sous-tendant un type spécifique de prise de décision appelé « approche d’évitement des conflits ». Ce type de prise de décision, qui requiert de peser les côtés positifs et négatifs de la situation, tend à provoquer une grande anxiété. Les chercheurs ont également montré que le stress chronique affecte considérablement ce type de prise de décision : un grand stress conduit les animaux à prendre des …décisions plus risquées, dont la récompense est plus élevée. Dans cette nouvelle étude, les scientifiques ont souhaité reproduire un effet souvent présent chez les personnes dépressives, anxieuses, avec des troubles obsessionnels compulsifs, ou tout simplement pessimistes. Ces individus s’engagent généralement dans des rituels comportementaux visant à combattre les pensées dites négatives. Et accordent, ainsi, trop focalisés sur un seul paramètre, plus d’importance aux potentiels résultats négatifs d’une situation donnée. Ce type de pensée négative pourrait influencer les prises de décision de type approche d’évitement.
Pour tester leur hypothèse, les neurobiologistes ont stimulé le noyau caudé d’animaux via un faible courant électrique, tandis que la récompense de ces derniers (du jus sucré) était combinée à un stimulus déplaisant (un jet d’air sur le museau). Lors de chaque essai, le ratio récompense/stimuli déplaisant était différent, et les animaux pouvaient choisir la récompense ou non. Ce type de prise de décision requiert une analyse coûts-bénéfices. Si la récompense est suffisamment élevée pour compenser le jet d’air, les animaux acceptent de l’endurer, mais si elle est trop faible, alors ils refusent. Lorsque les chercheurs ont stimulé le noyau caudé des animaux, leur analyse coûts-bénéfices a été tronquée, et ces derniers ont commencé à refuser des situations qu’ils avaient précédemment acceptées. Ce phénomène a persisté même après la fin de la stimulation, disparaissant ensuite progressivement. Ces résultats suggèrent que la stimulation de leur noyau caudé a conduit les animaux à dévaluer des récompenses qu’ils avaient précédemment choisies, accordant plus d’importance aux stimulus déplaisants. « Cet état d’esprit que nous avons reproduit indique une surestimation du coût et une sous-estimation du bénéfice. » explique Graybiel. La question centrale devient : à Qui profitent ces réalités ? Réalités qu’il devient trop possible de manipuler. Créer de fausses angoisses devient, alors, un acte antisocial… qu’il n’est plus possible de déguiser en Politique. S’acharner sur des individus ne peut se faire « pour le bien de tous ». Puisque saute aux yeux que le résultat se rétrécit à uniquement… « pour le mal de quelques uns ».
Bref, le pessimiste est un dangereux affabulateur qui prend sa bulle pour un bulletin !
que des actes sévèrement irrationnels ? Afin de lutter contre le bouleversement climatique (soit la montée aux extrêmes : fortes chaleurs ET froids intenses – plus rien de tempéré nulle part) et ses pollutions = lever le pied. C’est quitter tout le pied sur les pollutions qu’il faut. Pas que le lever…Ainsi ? Des enfants attardés se déguisent en costard-cravates. Se déguisent et dégoisent ceci. Seuls des adultes pourront nous sortir de la spirale du toujours pareil, toujours la même rengaine, toujours les mêmes. Pas vrai ?
« Les scientifiques ont, également, remarqué que l’activité cérébrale au sein du noyau caudé était altérée lorsque le schéma de prise de décision changeait. Ce changement affecte les ondes cérébrales bêta et pourrait servir de biomarqueur afin d’évaluer la manière dont les patients répondent aux traitements. Graybiel et son équipe travaillent, maintenant, avec des psychiatres de l’hôpital McLean pour étudier des patients souffrant d’anxiété ou de dépression, afin d’observer si leur cerveau montre une activité anormale au sein du néocortex et du noyau caudé lors de prises de décisions de type approche d’évitement. Les premiers résultats obtenus par IRM ont mis en évidence une activité cérébrale anormale dans deux régions du cortex préfrontal connectées au noyau caudé ». Ce qui signifie bien que de tout teinter, à l’avance, de pessimisme c’est afin de ne pas prendre de décisions radicales. Toutes les projections désagréables se concentrent sur décisions : jusqu’à la perversion où seul est agréable de ne plus prendre de décision du tout. De ne rien modifier à ses propres comportements qui provoquent la situation catastrophique. Et dont la simple cessation annulerait toute la situation aggravée pourtant. Cette perte d’un de nos trésors mentaux est à fortement placer sur le mode alerte !
À quoi bon se décider si tout échoue, si tout se termine toujours mal, si rien ne sert à rien, si rien n’a de sens. Le pessimisme est, au fond, ce qui détruit tout circuit de décision. C’est donc bien moins sage, rationnel et posé que présenté. C’est du sabotage, en fait. Carrément antisocial ! L’occident serait-il le seul « capable » de ces actes destructeurs ? De créer une situation globale qui nuise autant ?
Une fois de plus, une fois de mieux, les mots aident énormément surtout ceux qui restent désintéressés, donc ne les influencent pas, les prennent juste tels qu’ils sont. Pessimisme vient de pesse poix. D’où la concrétisation de la poisse qui poisse. Et la poix poisse encore. C’est clairement une prophétie autoréalisatrice. Je dis à l’avance et cela se passe comme je le dis. Je dis poisse et c’est moi seul qui poisse, et nul phénomène objectif extérieur à la situation. L’honnêteté ne figure surtout pas dans les caractéristiques d’un tel comportement. Que nous retrouvons, tel que recadré, ici (soit sans admiration « commerciale » peu fiable !), oui dans l’irrationalité de clamer nous allons direct dans le mur ET sans que nul-le ne lève le pied. Pour qui a bourlingué, cette perversion structurelle est typique du bourgeois, cette honte de l’Humanité. Le manque de décision est parlant : le but c’est que jamais rien ne change, que surtout sa situation monstrueusement égoïste ne varie pas d’un iota, pour le reste il a perdu tout sens des réalités. Par exemple, on fait semblant de faire des réformes mais jamais là où il faut et sans la profondeur requise, faut aller à 100 mètres et ils grattouillent à 50 centimètres. Etc. Non, le bourgeois c’est l’inertie, mais comme il est foncièrement fou, l’immobilisme déraisonnable qui peut aller jusqu’au suicide collectif. Le pessimisme servant à empêcher que la moindre décision apparaisse.
Cette sidération déloyale ne doit plus recevoir de conSidération. Nous devons quitter le malade esprit bourgeois. L’hypnose de comportements qui ne créent que des dégâts et qui sont sans cesse, reconduits, depuis plus de 40 ans, afin qu’ils ne créent plus ces dégâts qu’ils ne peuvent que provoquer en toujours pire – est la marque de folie. Que cette folie soit à plusieurs n’enlève pas que ce soit toujours de la folie aggravée.
Dans ces cas dramatiques – les vrais dirigeants prennent le contrepied radical des comportements moutonniers qui aggravent la situation difficile. Les faux gouvernants actuels, ils/elles ne le font absolument pas, ils suivent au lieu de précéder (donc ne dirigent jamais. Diriger = être en avant des autres – devancer et anticiper). Ce sont bien de réels imposteurs !). Très anxiogènes !
Nul ne peut prendre « la direction » de ce qu’il ne fait que suivre – Suivre qui ? Sinon ceux qui précèdent ces faux gouvernements. Qui les somment de suivre leur direction, direction qui n’est que celle de celles et ceux que ces gouvernements fossilisés et répétitifs suivent. Comble de l’absurde, non ? Les serpents qui se mordent la queue. Insoluble tant que leur présences non désirées persistent.
Ce pourquoi lever le pied… c’est, au fond du fond, transformer son attente envers les dirigeants et, forts de cette vision enfin rationnelle, de changer absolument de dirigeants (surtout les non élus).
Le pouvoir culturel (le premier pouvoir en France – même si les trompes l’œil semblent le dissimuler en 2022, il s’agit de le comprendre !) impose n’importe comment les pires dirigeants qui soient. Style ils ont tort, et plus que tort, ils viennent même de perdre complètement la face, donc ce sont les plus « capables ». Puisque les plus conflictuels. Ils vont nous semer de l’angoisse au centuple. C’est d’une minorité et de son système toujours plus étriqué, dont il s’agit – et non de personnages isolés. Nous venons de ressentir, d’analyser et de trouver la sortie de l’angoisse systémique. Telle une mono-maniaquerie pilonnée des nuisibles.
C’est le système qu’il faut dessaisir et entièrement (déjà, en le quittant complètement, en commençant par nos cœurs et nos têtes !), oui dessaisir cette autre nocive monomanie… de décider à la place des autres.
source : Imagiter
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