Normalement, chaque lancement de produit sur le marché de la peur commence par un article avec « inquiéter » ou « inquiétude » dedans. Pour le dernier corona sorti des labos mondialistes, c’est le journal post-catho La Croix qui se lance, avec un superbe faut-il-s’inquiéter.
Dommage pour ceux qui ont acheté du Omicron, sa valeur est réduite à néant aujourd’hui. C’est comme les téléphones Apple : le dernier sorti tue toujours les précédents. Il les tue dans le sens où il les ringardise, les renvoie dans la préhistosphère, mais il les tue aussi vraiment quand on sait que les ingénieurs de la marque à la pomme font tout pour obsolétiser (on va tenter le mot pour 2023 à l’Académie) le système logiciel précédent, et pousser le troupeau vers le dernier système en date, qui lui prend tout en charge. Vous nous direz, rien que du classique en pays capitaliste.
Cependant, tous les spécialistes du monde du marketing le savent, quand on lance un nouveau produit, on ne doit pas se tromper de nom. Le nom est importantissime, il ne fait pas tout mais sans lui, on peut mordre la poussière, même avec un bon produit, ici un coronavirus de chauve-souris.
En plus, il y a un précédent avec BA-3, 2 et 1 : complètement illisible pour le commun des crédules, trop scientifique, imbitable, donc poubelle. Omicron c’était mieux, mais ça faisait un mix étrange entre « oh my god » et « au micro-onde », donc moyen, confus plutôt. Corona c’était bien mais ça faisait vite pas assez peur avec la bière Corona, et encore moins avec corones (prononcer coronesse, « couilles » en latino).
Le problème fondamental de cette vidéo du Point censée être inquiétante c’est la petite musique merdique qui fait pas peur du tout, alors que y a plein de musiques flippantes qui traînent, et même gratuites.
Un nom de virus, ça doit frapper dans la tête et si possible, au plus profond, donc au plus ancien.
Nous, si on avait été en charge du marketing du labo américano-français de Wuhan et de la sortie mondiale de la série programmée par le Big Pharma des coronavirus et des faux vaccins qui vont avec (et qui en produisent les variants), on aurait plutôt pris un des nombreux noms du Diable. Il y en a qui font vraiment flipper !
On pense à Astaroth, à Asmodée, on prend pas Léviathan parce que les sionistes ont appelé le champ gazier volé au large de la Palestine « Léviathan », Alastor, Baal, Baphomet, Béhémot, Haborym, Sammael (le venin de Dieu, en hébreu), Béhérit (le Satan syrien)…
Du coup, la chauve-souris c’est bien trouvé parce que ça ressemble à un petit diable, mais le nom doit être à la hauteur.
Le virus bulgare de 1993
Là, on nous refourgue un « Khostia », et tout de suite, on pense à Kostadinov, le bourreau des Français avant la Coupe du monde 1994, ce salopard – un excellent joueur, au demeurant – nous avait crucifiés à la dernière minute, mais vraiment la dernière, d’un déboulé sur l’aile suivi d’une frappe atroce en pleine lucarne du premier poteau du gardien Serge Lama. La douche glacée sur le Parc des Princes, le rêve bleu qui s’effondre…
Khosta, c’est aussi le naufrage du Costa Concordia, une autre catastrophe, mais italienne celle-ci. Heureusement, il y a eu plus de survivants que de victimes. Comme pour le corona, vous allez nous dire… Vous avez raison et là aussi, le capitaine, qui s’amusait avec des putes en cabine, s’est fait la malle. Toute ressemblance avec des personnages connus…
On va finir sur la Costa del sol, la Côte d’Azur espagnole et là, c’est le pompon. Vous pouvez être sûrs que les Espagnols vont déconner avec le nom du dernier virus. Cependant, là aussi la musique est un peu bizarre, elle ne cadre pas avec le sujet. Elle aurait été mieux dans la vidéo du Point, et réciproquement.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation