Un nouveau critère rendu nécessaire
Seuils d’immigration à revoir à la baisse
De plus en plus d’immigrants n’ayant jamais eu la moindre intention de s’intégrer à la société québécoise trouvent le moyen de contourner facilement les lois et les incitations à ce faire. Ils optent pour l’anglais, pratiquent le communautarisme, ne consomment d’aucune façon la culture québécoise et évitent tout contact avec la population native.
Conséquemment, ils mettent en péril la préservation de l’identité collective du peuple québécois et de sa culture. Ils nous décousent fil par fil.
Pour cette raison, il importe de ramener les seuils d’immigration à zéro pour les 5 prochaines années.
Il s’agit de viser zéro immigration tant que les 500 000 derniers immigrants reçus n’auront pas réussi leur test de francisation et d’intégration, un critère rendu nécessaire pour démontrer leur bonne foi, dont il est permis de douter jusqu’à preuve du contraire.
À raison de 50 000 immigrants par année, le chiffre de 500 000 correspond peu ou prou au nombre d’immigrants reçus ces 10 dernières années. En principe, ils devraient avoir amplement eu le temps d’accomplir leur devoir de nouveau citoyen.
Plusieurs tests sont disponibles pour vérifier le degré d’intégration. Ils serviront à départager le bon grain de l’ivraie, et à procéder contre les fautifs.
1- Test de francisation
2- Test d’intégration
3- Test de connaissance de la culture québécoise
4- Test d’histoire du Québec
5- Test d’adhésion aux valeurs québécoises et de leur mise en pratique
6- Test de violence et de propension au crime
7- Évidence de dossier criminel
8- Test d’aptitude à voter
Tous ces tests et vérifications permettront de démontrer la capacité d’intégration limitée de certaines races, ethnies, provenances. Pour corriger le tir, ceux qui échouent seront relocalisés ailleurs au Canada. C’est plus simple et expéditif que de les retourner chez eux, ce qui du reste serait l’idéal.
Car quelqu’un qui a eu toutes ces années pour s’intégrer et qui ne l’a pas fait ne mérite tout simplement pas de vivre ici. Alors, on s’en débarrasse. Et c’est de sa faute.
À partir de ces résultats, les critères de sélection des candidats à l’immigration seront révisés pour rejeter d’avance les catégories de candidats au plus faible potentiel d’intégration complète et rapide (à accomplir dans un délai de 3 ans maximum). En général, cela correspond à tous ceux qui viennent du tiers-monde sous-développé économiquement, socialement, humainement, mentalement.
Il va de soi que la passation de ces examens obligatoires sera faite aux frais des immigrés.
Il y a fort à parier que sera une belle occasion de démontrer, chiffres et rapports à l’appui, que le degré d’intégration diminue depuis 25 ans, prouvant que les seuils d’accueil doivent être révisés à la baisse.
Le premier ministre québécois François Legault a tout à fait raison d’affirmer qu’un petit pays, c’est beau, que ce sont eux qui offrent la meilleure qualité de vie, et que cela vaut mieux que de céder à la noyade migratoire tel que voulue par les mondialistes et le patronat, tous deux volontairement aveugles et indifférents aux conséquences dramatiques que cela entraîne.
Zéro immigration tant que les 500 000 derniers immigrés reçus n’auront pas réussi leur test de francisation et d’intégration? J’appuie!
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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec