Se métropoliser, c’est mortel
22 raisons solides de s’y opposer fermement
La ville de Québec doit cesser de grossir. Elle est parfaite comme elle est là. N’en faisons pas une obèse morbide. Elle a atteint son degré de développement optimal qu’il ne faut pas dépasser. La croissance illimitée est nocive. Que les nouvelles entreprises soient redirigées par le gouvernement dans d’autres régions. Ne risquons pas de perdre notre cachet de beau grand village à l’échelle humaine, notre âme collective, notre résonnance commune qui nous relie.
Montréal, cette ville autrefois québécoise devenue étrangère à elle-même, peut servir de contre-exemple, de tout ce qu’il ne faut pas faire à une ville, de tout ce qui finira par arriver à Québec si on en fait une seconde métropole tentaculaire déshumanisée, Dieu nous en préserve.
À l’image de Montréal, la boursouflure de toute ville entraîne inévitablement :
- Dégradation du milieu de vie
- Délabrement des bâtiments, saleté des rues
- Cosmopolitisation au détriment d’une population possédant la qualité d’homogénéité
- Augmentation des frictions interethniques
- Anglicisation inévitable
- Présence de langues étrangères qu’on entend sur la rue et qui écorchent les oreilles
- Insécurité générale
- Formation de quartiers dangereux à éviter
- Formation de quartiers ethniques
- Augmentation de la violence
- Augmentation de la criminalité
- Augmentation du nombre de mosquées, de l’islamisme, des femmes voilées asservies aux mâles. Radicalisation, extrémisme, féminicides.
- Augmentation marquée de la criminalité due aux Noirs et aux maghrébins importés, multipliant les fusillades quotidiennes
- Arrivée et installation à grande échelle des pègres ethniques
- Embouteillages monstres que de nouvelles infrastructures, ponts et troisième lien ne feront qu’empirer
- Période d’heures de pointe allongées
- Surcharge des voies rapides, rage au volant
- Sentiment malaisant d’être de moins en moins chez soi
- Formation de gangs de rue visibles et actifs
- Hausse de tous les trafics illicites
- Pénurie de logements pris par l’excédent d’immigrants
- Augmentation de l’itinérance, de malades mentaux en cavale, d’autochtones désoeuvrés traînant dans les rues
Le premier ministre François Legault a déclaré récemment qu’il préfère que le Québec reste de petite taille, qu’il n’y a que des avantages à la chose. Dans la même logique, on pourrait en dire autant de la ville de Québec.
M. Legault explique: «La Suisse, petit pays, est extraordinairement riche, dynamique. Prenez les pays scandinaves, petits pays extrêmement riches, dynamiques. C’est une taille qui permet d’offrir des services de qualité.»
«Être gros, ça peut effectivement être beau, mais ce qui est important, c’est d’avoir une qualité de vie pour les personnes qui habitent au Québec», a-t-il déclaré.
Tout ce qui précède à propos du Québec peut tout aussi bien s’appliquer à la taille de la ville de Québec qui est optimale et qui ne doit pas gonfler, enfler, bouffir, s’enlaidir.
Se métropoliser, c’est mortel, c’est se déciviliser.
Toutes les photos représentent des rues de la ville de Montréal dégradée par le surnombre
Après avoir vu l’allure d’une métropole décrépite en photos, terminez la lecture de l’article en remontant voir la photo de la ville de Québec en en-tête. Un image vaut mille mots. Une image de Québec vaut mille images de Montréal enlaidie, malheureusement pour cette dernière.
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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec