« Thomas Jolly représente le spectacle vivant, la jeune garde théâtrale, il a déjà fait preuve d’audace. Il est capable de mêler des choses classiques très pointues à d’autres plus grand public, comme avec Starmania, qui sera relancé dans quelques semaines. Il a cet éclectisme cher à Paris 2024 », vante Thierry Reboul, le directeur des grands événements et des cérémonies à Paris 2024. (Le Monde)
Non, la cérémonie d’ouverture n’est pas un rituel sexuel d’intronisation, c’est le spectacle qui lancera les Jeux olympiques à Paris en 2024. L’homme, enfin, la personne qui a été choisie s’appelle Thomas Jolly, c’est le metteur en scène à la mode, on le voit ici dans un dialogue avec Télérama. Le journal gauchiste parle de « soutenir le théâtre émergent ». On a dit émergent, pas emmerdant. Les sourds, vous sortez.
« Rares sont les parcours aussi fulgurants, alors, est-ce que vous le sentez comme ça, Thomas ? »
Le problème de la discrimination positive, qui fait monter dans la hiérarchie culturelle les personnalités des minorités victimaires, c’est qu’on ne sait plus si elles ont du talent ou pas : par exemple, si la nomination de Thomas est due à la fois à son appartenance à la communauté gay et à son talent propre, on ne connaît pas les proportions de ces deux déterminismes. Si c’est du 5/95, ça va. Si c’est du 80/20, c’est dérangeant. On va lui accorder le bénéfice du doute, et s’en remettre à du 50/50.
Pour info, ceux qui arriveront à regarder le dialogue entier entre Télérama et Thomas recevront un prix spécial du jury E&R.
Après le chorégraphe Philippe Découfflé (Albertville 1992) et le réalisateur Danny Boyle (Londres 2012), c’est donc un jeune artiste (40 ans), directeur du centre dramatique du Quai, à Angers, qui a été retenu pour animer les différents plateaux artistiques d’une cérémonie qui se déroulera en plein cœur de Paris, avec la Seine comme fil conducteur. « Pour des soucis de cohérence », avance le Cojop, Thomas Jolly sera également chargé de la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques (du 28 août au 8 septembre) et des deux cérémonies de clôture. (Le Monde)
Il s’agit donc bien des JO normaux, pardon classiques, pas des jeux paralympiques ni des JO gays, dont l’Anne de Paris avait fait la promotion en 2018, ce qui avait conduit à un flop magistral.
Ne manquez pas à 0’27 le succès populaire des GG (gay games)
Bientôt les Jeux paralympiques gays ? En tous les cas, gays ou pas gays, ces Jeux seront ceux de la dette, c’est-à-dire de la Banque.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation