Par Ron Unz − Le 22 août 2022 − Source Unz Review
Dans le roman de science-fiction Lord of Light écrit en 1967 par Roger Zelazny, des humains habitant une lointaine planète ont fait usage de dispositifs technologiques pour s’établir comme les dieux du panthéon hindou, chacun présentant des aspects et des attributs distincts. Mara est le Dieu de l’Illusion, capable de remodeler la perception du monde dans l’esprit de tous ceux qui l’environnent. Ce type de pouvoir est puissant, mais pas invincible, dans la mesure où la réalité physique reste intangible, et Mara se fait tuer au cours du tout premier chapitre.
Il me semble que cette histoire constitue une métaphore opportune sur les forces qui sont celles des États-Unis dans le monde contemporain. Les États-Unis sont absolument dominants dans la distribution d’information et de propagande, y compris avec les réseaux électroniques et sociaux, et peuvent facilement persuader la plus grande partie du monde d’adopter pour vérité nos illusions fabriquées. Mais ils ne peuvent modifier la réalité sous-jacente, ce qui est passible de porter à des conséquences désastreuses en fin de compte.
La Russie est en possession d’un arsenal nucléaire égal à celui des États-Unis, et ses armes supersoniques révolutionnaires lui confèrent une supériorité considérable en matière de systèmes de frappes. Le lieutenant-général Igor Kirillov occupe le poste de dirigeant des Forces de Défense de radiation, chimiques et biologiques pour la Russie, et il a tenu il y a une quinzaine de jours une réunion publique au cours de laquelle il a suggéré que des éléments du gouvernement étasunien s’étaient sans doute rendus responsables d’avoir libérée l’épidémie mondiale de Covid.
J’ai fait mention de ces accusations explosives dans un éditorial, mais elles semblent être restées presque totalement ignorées des médias étasuniens [occidentaux, NdT] et même des médias alternatifs. Au lieu de cela, la seule réponse significative de la part des États-Unis a été de suspendre le compte officiel du ministère russe des affaires étrangères après que celui-ci a diffusé les remarques énoncées par ce haut général russe.
Le ministre russe de la défense dévoile de nouvelles données sur les activités militaires et biologiques des États-Unis et de leurs alliés en Ukraine et dans d’autres lieux, sur la base de nouvelles informations.
Nous envisageons la possibilité que l’#USAID soit impliquée dans l’émergence du #COVID19
https://t.co/5tigUP3PWm pic.twitter.com/ZpNa7fLLG1
— MFA Russia (@mfa_russia) 4 août 2022
Une fois de plus, hormis un éditorial produit par moi-même, la censure que Twitter a subitement imposée à l’encontre du gouvernement russe après ces accusations est passée presque complètement inaperçue, tant dans les médias dominants étasuniens que dans les médias alternatifs.
Les déclarations majeures produites par de hauts-dirigeants militaires russes font sans doute l’objet d’une couverture médiatique importante dans les médias intérieurs de la Russie, si bien qu’il est raisonnable de penser qu’une fraction substantielle de la population russe a adopté l’opinion selon laquelle le virus du Covid, qui a tué plus de 15 millions de gens dans le monde, peut avoir été un produit étasunien, conçu et diffusé par l’appareil de sécurité national étasunien. Mais un embargo médiatique quasiment absolu — s’étendant jusqu’aux médias alternatifs — a fait en sorte que ces notions restent totalement étrangères à l’opinion publique étasunienne [et occidentale, NdT]. Apparemment, nos éditeurs suivent le principe : « Ce que je ne sais pas ne peut pas me faire de mal. »
Au cours des deux dernières années, j’ai été frappé de manière répétée par le refus absolu de pratiquement tous les journalistes occidentaux, qu’ils travaillent pour des médias dominants ou alternatifs, à remarquer les très forts éléments plaidant pour la culpabilité des États-Unis dans l’épidémie de Covid, éléments que j’ai présentés dans une longue suite d’articles dont le premier remonte au mois d’avril 2020.
Au début du mois d’août 2022, j’ai envoyé cette note de plainte à un membre de l’établissement de l’élite des États-Unis, avec lequel j’entretiens depuis longtemps des relations amicales :
…la situation toute entière défie l’entendement.
Pour l’exercice, supposons que je ne me trompe pas, et qu’il existe au moins de bonnes probabilités pour que le retour de flamme d’une attaque biologique interdite ait désormais tué un million d’Étasuniens.
Pouvez-vous trouver une chose dans toute l’histoire du monde, et a fortiori dans l’histoire des États-Unis, comparable à cela ? Comme je l’ai expliqué dans l’un de mes récents articles, la présente affaire constitue un désastre sans doute mille fois plus grave pour le monde que celui de Tchernobyl.
Et il est proprement incroyable qu’absolument personne ne soit prêt à en parler. Nul ne subit la menace du NKVD de Staline d’envoi au Goulag s’il parle. Comprenons-nous, c’est une chose de craindre de se faire fusiller, mais c’en est une autre pour qui a uniquement peur de faire l’objet de critiques sur Twitter…
Je suis dans l’incapacité de comprendre pourquoi absolument personne n’est prêt à prendre position publiquement à ce sujet. Après que tous les faits ont été rendus publics il y a plus d’un an, j’avais supposé que le barrage allait céder d’une semaine à l’autre.
Voici sa réponse :
C’est tout à fait stupéfiant.
Depuis le tout début de l’épidémie, nos organes de propagande et de médias, qu’ils soient dominants ou alternatifs, ont réussi à tenir à l’écart l’opinion publique étasunienne d’informations cruciales pouvant leur permettre de comprendre correctement ce qui s’était produit dans leurs vies. Comme je l’ai indiqué dans mon article original du mois d’avril 2020 :
Au fur et à mesure que le coronavirus s’est mis peu à peu à se répandre au-delà des frontières propres à la Chine, un autre développement s’est produit, qui a considérablement fait croître mes soupçons. La plupart de ces premiers cas se sont produits exactement à l’endroit où l’on pouvait s’y attendre, au sein des pays d’Asie de l’Est jouxtant la Chine. Mais à la fin du mois de février, l’Iran était devenu le second épicentre de l’épidémie globale. Chose plus surprenante encore, les élites politiques de ce pays ont été frappées particulièrement fort, avec pas moins de 10% de l’ensemble du parlement iranien bientôt infecté, et au moins une dizaine de dirigeants et d’hommes politiques qui sont morts de la maladie, dont certains étaient plutôt âgés. De fait, les activistes néoconservateurs s’étaient réjouis sur Twitter de voir leurs ennemis jurés iraniens tomber comme des mouches.
Examinons les implications portées par ces faits. Dans le monde entier, les seules élites politiques à avoir pour l’instant eu à subir des pertes humaines significatives ont été celles de l’Iran, et elles sont mortes très tôt, avant que la flambée épidémique se soit même manifestée ailleurs dans le monde, hormis en Chine. Aussi, nous voyons les États-Unis assassiner le commandant militaire en chef de l’Iran le 2 janvier, puis, quelques semaines plus tard, de vastes portions de l’élite dirigeante iranienne s’est fait infecter par un nouveau virus mystérieux et mortel, qui en a tué un grand nombre. Est-ce qu’une personne dotée de raison peut véritablement considérer ces faits comme une pure coïncidence ?
Dans un article paru par la suite, j’avais souligné le fait que les hauts-dirigeants iraniens avaient absolument remarqué ces faits évidents à l’époque :
Au début du mois de mars 2020, le général iranien supervisant la défense de son pays en matière de guerre biologique avait déjà commencé à suggérer que le Covid était une arme biologique occidentale dirigée contre son pays et contre la Chine, et quelques jours après, l’agence de presse iranienne semi-officielle FARS avait cité le commandant militaire en chef des Gardiens de la Révolution :
Aujourd’hui, le pays est engagé dans une bataille biologique. Nous l’emporterons dans la lutte contre ce virus, qui pourrait être le produit d’une [attaque] biologique étasunienne, d’abord diffusé en Chine, puis dans le reste du monde… Les États-Unis devraient savoir que s’ils ont agi ainsi, le virus va revenir vers eux.
Peu de temps après, le dirigeant suprême iranien, Ali Khamenei, avait adopté la même position publique, et l’ancien président populiste Mahmoud Ahmadinejad s’était particulièrement manifesté sur Twitter plusieurs mois durant, allant jusqu’à diriger ses accusations formelles à destination d’Antonio Guterres, secrétaire-général de l’ONU. Un seul de ses nombreux Tweets donnait lieu à des milliers de Retweets et de Likes.
La radio et la télévision iraniennes et leur service de presse international avaient diffusé ces récits de manière répétée, en les étayant par des interviews favorables tenues avec l’ancien premier ministre de la Malaisie. Mais la domination écrasante des États-Unis sur les médias globaux en langue anglaise avait assuré que l’ensemble de cette controverse internationale majeure ne m’était jamais parvenue aux oreilles à l’époque où elle s’est produite.
Le blocus empêchant ces accusations iraniennes de parvenir au monde anglophone avait été d’autant plus facilité par le contrôle des États-Unis sur les infrastructures de base de l’Internet. Un mois plus tôt à peine, la chaîne PressTV de l’Iran en Angleterre avait été supprimée par YouTube, après que sa chaîne globale principale l’avait déjà été. Plus récemment, le gouvernement étasunien a décidé de l’action sans précédent consistant à saisir le nom de domaine internet de PressTV, ce qui a totalement éliminé tout accès à ce site internet.
L’épidémie originelle de Covid avait frappé Wuhan au point haut de la confrontation entre la Chine et les États-Unis. Au mois de mars 2020, les médias officiels chinois indiquaient que le virus avait pu être amené dans cette ville par du personnel militaire étasunien lors de sa participation aux Jeux Militaires Mondiaux qui s’y tenaient, et un porte-parole officiel du ministère des affaires étrangères de la Chine avait déclenché un incident diplomatique lorsqu’il avait publié ces accusations sur Tweeter.
On m’a dit que ce type de théories mettant en cause une responsabilité des États-Unis sont devenues endémiques sur les réseaux sociaux chinois, et l’an dernier, la deuxième agence de presse chinoise a résumé brièvement mes propres points de vue sur son site internet.
De même, Sputnik News, un organe de presse dominant en Russie, comptant 20 millions de visites par mois, a récemment publié une brève interview de moi-même au sujet des origines probables du Covid. À peu près dans le même temps, une chaîne de télévision iranienne de premier-plan m’a interviewé pendant cinq heures en préparation d’une série qu’elle va diffuser dans un avenir proche.
Les dirigeants et la population de Russie, d’Iran et de Chine semblaient de plus en plus au fait de ces faits importants et du scénario controversé qu’ils suggèrent, si bien qu’il m’est difficile de comprendre comment les intérêts nationaux étasuniens légitimes peuvent être défendus en maintenant ces mêmes informations à l’écart du peuple étasunien. Pourtant, ce climat persistant de censure quasiment absolue est maintenu non seulement par nos médias dominants, mais également pas la quasi-intégralité de nos journalistes et organes de presse alternatifs. Même lorsque les personnages étasuniens de la plus haute stature et crédibilité publiques ont rompu leur silence, leurs affirmations ont été ignorées par la quasi-totalité du paysage médiatique alternatif.
Le professeur Jeffrey Sachs, de l’université de Columbia, est l’universitaire de très haut rang étasunien qui a tenu le rôle de président de la commission Covid établie par le Lancet, un journal médical de premier plan. Au mois de mai, il a figuré parmi les auteurs d’un important article au sein du prestigieux journal PNAS, affirmant que le virus avait sans doute été produit en laboratoire, et appelant à une enquête indépendante afin d’établir ses véritables origines.
Appel à une enquête indépendante sur les origines du virus SARS-CoV-2
Neil L. Harrison et Jeffrey D. Sachs • PNAS • 19 mai 2022 • 2800 mots
Cette déclaration explosive, qui aurait dû faire la une du New York Times, a été au contraire ignorée par pratiquement tous les organes de presse, dominants ou alternatifs.
Le mois suivant, il a répété son opinion en s’exprimant devant un petit groupe de réflexion réuni en Espagne, et un petit clip compilant ses remarques est devenu très viral en se faisant retweeter à plus de 11 000 reprises, ce qui lui a attiré plus d’un million de vues.
WowProf. Jeffrey Sachs :
« J’ai présidé la commission du Lancet sur le Covid pendant 2 ans. Je suis tout à fait convaincu que ce virus est sorti d’un laboratoire de biotechnologie étasunien. […] Nous n’en avons pas la preuve, mais de nombreux éléments l’indiquent. [Pourtant,] cela ne fait l’objet d’aucune enquête, ni aux États-Unis, ni ailleurs. » pic.twitter.com/IYvSJnlv1q
— Arnaud Bertrand (@RnaudBertrand) 2 juillet 2022
À l’exception d’un article paru dans le London Daily Mail, cette nouvelle bombe est restée de nouveau totalement ignorée de tous nos médias, à la fois dans la presse dominante et dans la presse alternative.
Enfin, au début de ce mois d’août 2022, il a donné une interview longue et remarquablement sincère pour Current Affairs, une petite publication alternative, au sein de laquelle il s’est centré sur les éléments probants qu’il a constatés et qui indiquent une dissimulation des origines possibles du Covid par des personnes associées au gouvernement étasunien :
Pourquoi le président de la commission COVID-19 du Lancet pense que le gouvernement des États-Unis empêche une véritable enquête sur la pandémie
Jeffrey Sachs • Current Affairs • 2 août 2022 • 4300 Mots
Une fois de plus, quasiment aucun journaliste alternatif n’a rapporté ces allégations stupéfiantes prononcées par la personnalité universitaire qui était la mieux placée pour les annoncer.
Lorsque j’ai porté cette interview récente à l’attention de plusieurs personnalités éminentes établies que je connais personnellement, il l’ont trouvée absolument stupéfiante. Mais apparemment, presque tous les journalistes des États-Unis [de l’Occident, NdT] pensent qu’il en va autrement, si bien que son impact sur le débat public a été quasiment nul.
La semaine dernière, j’ai publié un récit du scandale McCain/Prisonnier de Guerre mis au jour par Sydney Schanberg. En dépit de la réputation au-dessus de tout soupçon de ce journaliste et de la montagne d’éléments qu’il a accumulés, ses découvertes sont restées totalement ignorées de l’ensemble des médias, y compris du Times, journal dont il fut l’un des principaux rédacteurs en chef. Cette notion selon laquelle une affaire serait trop grosse ou trop dangereuse pour être reprise par les médias s’applique visiblement aux origines de l’épidémie du Covid.
En outre, les stratégies employées pour faire disparaître les remises en cause des dogmes établis se sont faites de plus en plus sophistiquées et de plus en plus efficaces. Il y a quelques semaines, j’ai discuté de cette possibilité par suite du procès d’Alex Jones, et j’ai suggéré que des techniques d’« infiltration cognitive » ont pu être déployées contre des organisations et des activistes alternatifs, ce qui les a égaré vers des fausses pistes, dissipé leur énergie, et a gravement porté atteinte à leur crédibilité publique :
American Pravda: Alex Jones, Cass Sunstein, et l’“infiltration cognitive”
Ron Unz • The Unz Review • 8 août 2022 • 5400 Mots
J’ai émis l’hypothèse que la montée énorme et subite de mouvement antivax aux États-Unis pourrait constituer un exemple de ce phénomène. Il y a un an ou deux, les problèmes vaccinaux étaient presque invisibles, mais après la montée de questions au sujet des véritables origines du virus du Covid, la controverse sur la vaccination est devenue le centre absolu de la vie publique aux États-Unis, dominant totalement les pensées de la plupart des personnes désireuses de remettre en cause l’orthodoxie sur n’importe quel autre sujet.
Je soupçonne que le résultat en a été que le temps et les énergies se sont consacrées mille fois plus à débattre de l’efficacité des vaccins contre le Covid qu’à enquêter sur les véritables origines de la maladie qui les a rendus nécessaires. Et les personnes et organisations qui profèrent leur crainte que Bill Gates soit l’architecte d’un complot diabolique en vue d’exterminer la plus grande partie de la race humaine ne risquent guère d’être pris au sérieux sur d’autres sujets par des journalistes ou universitaires fiables.
Une ou deux années difficiles, pétries de confinements, ont amené tant d’Étasuniens a entretenir l’isolement social qui permet naturellement aux idées les plus fantastiques de s’implanter dans l’esprit des plus craintifs. Un tel environnement aurait été idéal pour la promotion, en utilisant internet, de fadaises invalidantes promues par des opérateurs de propagande bien organisés.
Aussi, depuis le début de l’année 2020, la probable réalité d’un événement d’une importance historique considérable — la diffusion interdite d’une arme biologique militaire qui a tué des millions de gens dans le monde — a été supprimée aux États-Unis et dans le reste de l’Occident. Par le passé, d’autres événements dramatiques, tels que l’assassinat de JFK ou les attentats du 11 septembre avaient rapidement provoqué des mouvements d’activisme citoyen à grande échelle, remettant en cause le récit officiel bancal, mais il n’existe à ce stade aucun « Mouvement pour la vérité sur le Covid » de cette nature.
En dépit de cette situation déplorable, des signes d’espoir existent ; quelques braises pourraient finir par s’enflammer pour de bon.
Tout d’abord, la couverture croissante du sujet par les médias russes, iraniens et chinois peut contribuer à percer le mur de silence établi par les organes de presse occidentaux, d’autant plus que ces derniers se sont gravement discrédités avec leur couverture extrêmement biaisée du conflit en Ukraine et de la confrontation au sujet de Taïwan. À tout le moins, des journalistes alternatifs peuvent enfin trouver le courage de se mettre à enquêter sérieusement sur les origines du Covid.
En outre, Jeffrey Sachs, une personnalité extrêmement respectable du firmament bien établi du Covid, semble désormais prêt à briser la conspiration du silence et à évoquer les sujets qui ont été dissimulés pendant plus de deux ans. Quoique les organes médiatiques aient scrupuleusement évité de publier ses déclarations, sa stature publique évoque la possibilité que ces chiens de garde puissent être contournés.
Dans le même temps, les faits continuent d’exister. J’ai récemment relu mon article originel du mois d’avril 2020, qui avait évoqué ces sujets pour la première fois, et bien que deux années se soient écoulées, je n’ai guère trouvé d’éléments que je pourrais désirer modifier aujourd’hui.
Quelques jours à peine après sa parution, notre magazine en ligne s’était vu totalement banni de Facebook, et l’ensemble de nos pages avaient été déréférencées par Google. Mais si ces actions brutales parvinrent bien à enrayer la propagation virale de cet article, elles ont également souligné l’importance potentielle des points que j’établissais.
Au cours des deux années qui ont suivi, j’ai beaucoup travaillé à étendre ces premiers travaux, au travers d’une longue série d’articles, couvrant totalement le sujet. Si on les prend comme un ensemble, ces articles ont désormais été lus plus d’un demi-million de fois, et l’ensemble est désormais disponible sous forme d’un eBook librement téléchargeable, également disponible sur amazon au format papier.
Covid/Biowarfare Series
Ron Unz • The Unz Review • avril 2020 – décembre 2021 • 60000 Mots
La montée du nombre de vues sur mes présentations vidéos fait encore plus chaud au cœur. Au mois de février 2022, juste avant que le début de la guerre en Ukraine détournât toute attention ailleurs, j’avais été interviewé plusieurs fois par de petits podcasters, et ces vidéos ont attiré un nombre de vues considérable. Pour un total d’environ quatre heures de discussion, elles ont désormais cumulé plus d’un million de vues sur Rumble, dont plus de la moitié au cours des quelques semaines récentes. Contourner les chiens de garde médiatiques est une étape cruciale pour percer le voile d’ignorance posé par les dieux de l’illusion occidentaux, et percevoir la réalité de notre désastre global.
LinkBookmark▲▼Kevin Barrett, FFWN • 16 février 2022 • 15m
Geopolitics & Empire • 1er février 2022 • 75m
Red Ice TV • 3 février 2022 • 130m
Traduit par José Martí pour le Saker Francophone
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Source : Lire l'article complet par Le Saker Francophone
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