Comment embrouiller les esprits curieux ? Le panier de crabes de l’état profond et de l’armée américaine.
La vérité sort de la bouche des enfants et des propagandistes…
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Il y a une heure au moment où j’écris ceci, le New York Times a publié un gros article en première page qui commence ainsi:
Les États-Unis ont secrètement fabriqué des armes biologiques en Ukraine. Ils ont entraîné des oiseaux à transporter des agents pathogènes en Russie. Ils ont créé le Covid-19.
Ma première réaction : Mazette ! Maintenant, c’est l’homme qui mord le chien ! et c’est le NYT qui dit la vérité ! Les MSM nous volent nos infos ! Je ferais mieux d’inviter ce journaliste du NYT, Steven Lee Myers, comme commentateur sur False Flag Weekly News ou sur La Cause du Peuple !
Puis je lis le deuxième paragraphe :
Parmi les nombreux mensonges que le Kremlin a lancés abusivement depuis le début de la guerre en Ukraine il y a plus de six mois, certains des plus farfelus et pourtant persistants sont ceux qui accusent les États-Unis de mener des programmes de recherche biologique clandestins pour semer le chaos dans le monde entier.
Saperlipopette !
Ainsi donc, le premier paragraphe avait été une inoculation, et le deuxième paragraphe la réponse immunitaire.
Les propagandistes des régimes occidentaux utilisent intensivement cette technique d’«immunisation » depuis au moins une décennie. Après le 11 septembre et la perte généralisée de confiance dans l’histoire officielle, une industrie artisanale a vu le jour dans le milieu universitaire, fortement financée par des subventions, dont le but est de chercher les moyens de « guérir les théories du complot ». (La contribution fondamentale à ce domaine émergent a été « Conspiracy Theories : Causes and Cures » de Cass Sunstein [1].) Un consensus a émergé selon lequel, puisque les théories du complot étaient une maladie virale, les autorités devraient « vacciner » ceux qui n’avaient pas encore été exposés, tout en « verrouillant vers le bas » les « porteurs du virus» (théoriciens du complot) dans les coins les plus reculés d’Internet où ils ne « contamineraient » pas les gens normés (i.e. les mougeons).
Alors, comment « vacciner » quelqu’un contre les théories du complot ?
C’est simple : vous énoncez la théorie du complot (c’est-à-dire que vous injectez au sujet une petite dose de l’idée toxique et contagieuse), puis vous la « démystifiez » (en construisant une « réponse immunitaire » chez le sujet). C’est ce que l’article cité ci-dessus du New York Times essaie d’accomplir dans ses deux premiers paragraphes.
Notez que la tentative de démystification du Times ne s’engage pas réellement dans un débat factuel. Ce n’est pas nécessaire. La plupart des gens sont dominés par une pensée émotionnelle et impressionniste. Donc, dénigrer la théorie selon laquelle COVID est venu d’un laboratoire américain d’armes biologiques en taxant cette théorie de « mensonge scandaleux » et de « propagande du Kremlin » suffit à vacciner le lecteur moyen du NYT (alias Jew York Times).
Une chose que la tentative d’inoculation du NYT omet de mentionner, c’est le fait que le président de la Commission des origines COVID du Lancet, Jeffrey Sachs, a clairement indiqué qu’il pense que le COVID est originaire d’un laboratoire américain d’armes biologiques [2]. Comme l’a noté Ron Unz, c’est un peu comme Philip Zelikow, président de la Commission sur le 11/9, qui disait que le 11/9 était un job interne. Si une telle chose arrivait, le New York Times ne le suggérait probablement pas non plus.
Jeffrey Sachs est un initié très bien introduit. C’est la dernière personne sur terre que l’on taxerait de larbin des Russes. Sachs était en fait l’un des principaux méchants juifs ayant organisé le pillage de la Russie dans les années 1990, comme expliqué dans The Shock Doctrine de Naomi Klein [3]. Peut-être qu’il dit la vérité maintenant parce qu’il veut qu’on se souvienne de lui pour avoir fait quelque chose d’admirable plutôt que de répréhensible.
Pourquoi le New York Times , le principal organe de propagande de l’État profond, a-t-il jugé nécessaire de faire une grande campagne d’inoculation contre les « théories du complot » sur l’origine du COVID ? J’aimerais penser que c’est parce que je viens de publier »Ce dont l’Amérique a besoin en ce moment est un mouvement de vérité sur les origines du COVID » – et que je l’ai ensuite mis en évidence lors de l’émission False Flag Weekly News de cette semaine. Ou parce que ma vidéo avec Ron Unz COVID-19 Bio-Attack Smoking Gun ! vient de battre un record de 400.000 vues sur Rumble (l’équivalent de millions de vues YouTube).
Mais ce n’est probablement pas moi, ni même le livre et les articles de Ron Unz , qui ont forcé la main au JYT (Jew York Time). C’était probablement les Russes. L’excuse que le NYT utilise pour accrocher sa tentative d’inoculation, les news réelles , arrive au quatrième paragraphe :
À Genève cette semaine, la Russie a ordonné à un forum international de diffuser à nouveau ses affirmations non étayées. La Convention sur les Armes Biologiques, le traité international qui, depuis 1975, interdit le développement et l’utilisation d’armes fabriquées à partir de toxines ou d’agents pathogènes biologiques, donne aux pays membres le pouvoir de demander une audience formelle sur les violations, et la Russie en a invoqué le premier en un quart- siècle.
Naturellement, l’article du NYT nous assure à l’avance – plus d’inoculation ! – que les accusations russes ne seront pas étayées par des faits :
Pratiquement aucun responsable ou expert occidental ne s’attend à ce que la Russie produise, au cours de la réunion d’une semaine, des faits qui corroborent les accusations. Si le passé est un guide, cela n’empêchera pas la Russie de les fabriquer.
Si les Russes veulent fournir des faits pour étayer les allégations selon lesquelles le COVID est issu d’une bio-attaque américaine (néoconservatrice) délibérée contre la Chine et l’Iran [4], ils n’auront pas à travailler très dur pour les déterrer. Un solide cas prima facie est disponible gratuitement sur Internet depuis le printemps 2020.
La Chine est du côté de la Russie :
Les médias d’État en Chine amplifient régulièrement les affirmations russes sur la guerre avec l’Ukraine et sur la recherche secrète sur les armes biologiques, dans le cadre de sa propre bataille d’information avec les États-Unis qui a commencé avec le débat sur la propagation de Covid-19.
La Chine est dans une « bataille de l’information » impliquant « le débat sur la propagation de Covid-19 », probablement parce que les dirigeants chinois savent que leur laboratoire de Wuhan a été mis en place comme bouc émissaire pour assumer la responsabilité de l’attaque biologique américaine d’octobre 2019. Mais ne vous attendez pas à ce que le New York Times dise cela, ou quelque chose comme ça, de sitôt.
COVID/Vaccins = arme biologique/antidote ?
Beaucoup de gens ont du mal à accepter que les dirigeants américains soient assez stupides pour attaquer la Chine et l’Iran avec une arme biologique hautement contagieuse (même si seulement létale à 0,5 %). Ne seraient-ils pas dissuadés par la possibilité d’un retour de flamme ? [5]
Certes, le retour de flamme a été intense. Les États-Unis ont été beaucoup plus touchés que la Chine. Si quelqu’un avec la mentalité de Mike Pompeo ou de Robert Kadlec voulait ralentir la croissance économique de la Chine en utilisant des bio-attaques niables, et décidait d’aller avec COVID, il semblerait que c’est loupé.
Si l’on considère la perspective stratégique à long terme, cependant, le tableau devient plus trouble. La clé de l’issue de la bataille américano-chinoise pour le statut de première puissance mondiale est le taux de croissance économique de la Chine, en particulier dans les secteurs technologiques clés. Si vous êtes un faucon néoconservateur antichinois dédié à la perpétuation de l’hégémonie unipolaire américaine, vous savez que le principal impératif géostratégique américain est de réduire la croissance économique et technologique de la Chine par tous les moyens, même si cela signifie sacrifier le bien-être américain et mondial.
Bien que le COVID ait frappé les États-Unis plus que la Chine, il a peut-être quand même servi les objectifs américains/néocons. Il a mis à mal le commerce international et a lancé un processus de découplage des États-Unis (et de la sphère impériale américaine) de la Chine. (Les États-Unis ne peuvent pas menacer la Chine de manière crédible par une guerre préventive sans d’abord découpler.)
Et bien que le COVID ait fait plus de mal aux Américains qu’aux Chinois, le succès même des «verrouillages durs» chinois a empêché la Chine d’obtenir une immunité collective, ce qui a nécessité des séries continues de verrouillages qui infligent des dommages économiques. Le COVID pourrait donc continuer à ralentir l’économie chinoise pendant des années, voire des décennies si de nouvelles variantes et de nouveaux virus continuent d’être lancés par les USA.
Et puis il y a le facteur le plus puissant et le plus sous-estimé de l’histoire : la démographie. En tuant de manière disproportionnée des Occidentaux âgés et infirmes, en particulier des Américains, COVID a offert au moins une solution partielle au plus gros problème économique de l’Occident qu’est le gonflement massif du nombre des baby-boomers atteignant l’âge de la retraite et consommant beaucoup sans rien produire. Alors que l’espérance de vie aux États-Unis passe de 79 à76 ans, en grande partie mais pas entièrement à cause des décès dus au COVID parmi les personnes âgées, la disparition de personnes que Yuval Harari considère comme des «mangeurs inutiles» servira en fait à améliorer la croissance économique des États-Unis vis-à-vis de la Chine.[6]
Mais qu’en est-il de l’antidote ? Vous ne lâchez pas d’arme biologique à moins d’avoir un antidote, n’est-ce pas ? Et si l’antidote au COVID était un lot de vaccins à ARNM développés parallèlement à l’arme biologique, quel genre d’antidote moche, dangereux et seulement temporairement efficace était-ce ? Comme le dit le commentateur de Unz Review allergic2catz : « Comment des mesures (de confinement) inefficaces/activement nocives (comme les vaccins à ARNm) peuvent-elles être « rendues nécessaires » » ?
Ma réponse :
Vous souvenez-vous des cocktails de vaccins extrêmement nocifs imposés aux troupes américaines pendant la Première Guerre du Golfe ? Les victimes à long terme des vaccins plus toxines étaient d’un ordre de grandeur supérieur aux pertes de guerre : 60.000 morts selon Doug Rokke, 250.000 handicapés par le syndrome de la guerre du Golfe selon Wikipedia. Les vaccins ont été jugés nécessaires pour se défendre contre les attaques potentielles de guerre bactériologique de Saddam (ces armes bactériologiques de Saddam étaient aussi réelles que se ADM !). Le vaccin contre l’anthrax était probablement le pire coupable.
L’approche militaire de l’atténuation de la guerre biologique implique la volonté de sacrifier beaucoup de pions sur l’échiquier, surtout à long terme, afin de conserver suffisamment de forces à court terme pour gagner la partie. Les cocktails de vaccins (comme l’uranium appauvri et de nombreuses autres toxines) étaient considérés comme une nécessité militaire.
L’armée américaine a vraisemblablement développé le COVID et les vaccins (ou leurs précurseurs qui ont ensuite été distribués aux sociétés liées à l’armée) côte à côte et en parallèle , en utilisant une approche militaire plutôt que civile de l’atténuation des menaces – en d’autres termes, ils ne s’inquiétaient pas du tout des effets secondaires négatifs. Je ne pense pas qu’il soit exagéré d’imaginer que les stratèges de la guerre biologique de la RAND et de la DARPA ont vu la réponse COVID comme une course à vide pour se défendre contre un futur virus qui pourrait être beaucoup plus mortel.
A quoi un autre commentateur, Iris , a ajouté :
Surtout qu’ils croient que les « vaccins » à ARNm sont leurs jokers hors de tout problème de guerre biologique.
Il y a quelque chose de très unique dans la technologie des « vaccins » à ARNm : contrairement aux vaccins à vecteurs viraux traditionnels, un produit à ARNm peut être adapté à un nouveau virus/une nouvelle variante et être développé en relativement peu de temps. Aucune longue expérimentation n’est nécessaire. C’est pourquoi toutes les doses de rappel, ajustées aux variants du virus à évolution rapide, sont des ARNm, même dans les pays qui utilisaient AZ ou J&J parmi les principaux vaccins initiaux.
C’est pourquoi les bellicistes américains sont désormais si friands d’utilisation de la guerre biologique virale : ils pensent qu’ils sont les seuls capables de produire rapidement l’antidote.
Quelle pensée déprimante ! nous pouvons nous attendre à plus de la même chose, c’est sûr.
Source : Unz Review
NOTES de H. Genséric
[1] Cass Robert Sunstein (né le 21 septembre 1954) est un juriste américain juif connu pour ses études de droit constitutionnel, de droit administratif, de droit de l’environnement, de droit et d’économie comportementale. Il a été administrateur du Bureau de l’information et des affaires réglementaires de la Maison Blanche dans l’administration Obama de 2009 à 2012.
Jeffrey Sachs, directeur de l’Earth Institute de l’Université de Columbia aux États-Unis, a fait une déclaration très forte sur le coronavirus SARS-CoV-2 (COVID-19). Sacks avait auparavant présidé un comité spécial pour la revue médicale respectée The Lancet pendant environ deux ans. Ce spécialiste américain est convaincu que le coronavirus COVID-19 a été créé dans un laboratoire biologique américain. Jeffrey Sachs a fait une telle déclaration lors d’une table ronde organisée par l’organisation espagnole GATE Center. Plus d’infos »
[3] Comment les juifs de Harvard pillent la Russie
Le communisme russe est tombé en 1991. Les Juifs se sont rués sur la Russie pour enfoncer leurs griffes gourmandes dans le nouveau scénario en Russie. Jeffrey Sachs, qui était à l’époque professeur d’économie à l’Université de Harvard, était l’un de ces Juifs. Jeffrey Sachs a vu une opportunité que lui et ses copains juifs ne pouvaient tout simplement pas laisser passer. Le Juif Jeffrey Sachs et ses amis juifs se sont mis en position de conseillers et d’investisseurs pour «aider» la Russie à s’enfoncer dans le piège du monde financier et politique de l’Occident. Plus d’infos »
– La Russie déclare que Covid est une arme biologique américaine. Twitter annule le compte russe pour avoir dévoilé cette vérité connue
– Liste des membres Bilderberg qui ont joué un rôle important dans l’arnaque Covid
[4] Les États-Unis ont fabriqué la bio-arme Covid et l’ont d’abord disséminée en Chine et en Iran. Ils ont contaminé le Monde
– Pour les Iraniens, le COVID-19 est une bio-arme américaine visant l’Iran et la Chine
– Ils m’ont baptisé « conspirateur COVID »
[5] Bio-arme Covid. Des brevets, concernant le coronavirus SARS-CoV-2, ont été déposés en Amérique depuis 2002
– USA. Le Dr Peter McCullough révèle que Covid-19 et ses vaccins sont des armes biologiques.
– L’empire du mensonge des armes biologiques et virales
[6] Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Yuval Noah Harari est un Jacques Attali version 2.0 ! Plus jeune (il est né en 1976), cet intellectuel homosexuel, juif séfarade, au physique de rat écorché (à la Zemmour), qui semble manquer des muscles nécessaires pour esquisser un sourire, est aussi introduit (sans jeu de mot) dans les élites oligarchiques que l’est le prescripteur d’opinion Français. Ce citoyen israélien “marié“ (avec un homme) enseigne à l’université hébraïque de Jérusalem et a commis quelques travaux qui ont immédiatement fait l’admiration claironnée de Mark Zuckerberg, de Barak Obama ou de Bill Gates, ce dernier s’étant tout spécialement fendu d’un article élogieux dans le Jew York Times.
Les Grands Médias Menteurs, aux mains de « qui vous savez », l’adulent. Pour Le Point, il est « le penseur le plus important du monde » ; pour The Economist, c’est le premier « vrai intellectuel global du XXIe siècle » (« global, traduisez « mondialiste ») ; pour la chaîne La Cinq (émission La Grande Librairie) « l’intellectuel le plus influent d’aujourd’hui » ; pour le quotidien 20 minutes, « les grands de ce monde ne parlent que de lui ». Harari a été reçu par Angela Merkel, Christine Lagarde, Emmanuel Macron, avec qui il a dîné, et peut-être plus. Mais, indubitablement, ce qui fait de lui un personnage important est l’influence de ses idées sur le Forum de Davos, et notamment sur Klaus Schwab, dont on dit qu’il est le conseiller principal.
La place du covid dans le piratage des êtres humains :
Harari déclare que la liberté individuelle est un mythe et que cela justifie un piratage des individus par notamment l’implantation de capteurs biométriques sous la peau. Ce piratage réorganisera de manière adéquate les pensées et les sentiments des individus, conformément à ce qu’attendent les entreprises et les gouvernements. Puisque le libre arbitre n’existe pas, autant le leur confier directement, n’est-ce pas ? Ils en feront bon usage, n’en doutons pas. Harari nous explique que c’est au nom de leur santé que les gens accepteront de se faire implanter des capteurs biométriques dans le corps (après ce que nous avons vu des gens durant la « pandémie », nul doute qu’il ait raison). Aussi, pour arriver à ses fins, Harari compte bien profiter des « crises » et autres « catastrophes ».
Les « Sages » de Sion dont Zuckerberg, Jacques Attali et Klaus Schwab ne peuvent qu’applaudir; de même que leurs vassaux lèches-bottes cités ci-dessus (Barak Obama, Bill Gates, Angela Merkel, Christine Lagarde, Emmanuel Macron) et tant d’autres…
Hannibal Genséric
Source : Numidia Liberum
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