Des efforts conjugués ?

par Gilbert Guingant.

Lorsque nous sommes aimés, parfois, pour ce que nous sommes, et non pour ce que nous… devrions être. Le « devrions » être, si intrusif, ne devrait pas s’imposer ainsi, non ? Des efforts conjugués, associés, alliés vont prendre les mains dans le sac qui se planquent derrière ce devrions… C’est que…

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Moins nous utilisons de mots plus cela nuit à nos corps, à notre fonctionnement métabolique ? On le dirait bien. Chaque mot précieux détient des vibrations émotionnelles, sensationnelles (de sensations) et affectives. Que les autres n’ont pas. Se priver volontairement de la richesse incroyable du langage, c’est Se Punir durement soi-même. C’est rétrécir volontairement son potentiel de vivre pleinement. Se déshydrater de pleins de ressentis subtils, qui ne seront pas vécus, etc. Est-ce si raisonnable ? Si Sensé plutôt ? Lorsque « sensé » = vraiment réaliste, la tête bien sur les épaules, éveillé. Sensé, ce qui  signifie accepter les 5 sens et rechercher le langage comme un amplificateur de la conscience morale et des ressentis. Bref les illimités trésors de la vie intérieure.

Moins on utilise de mots, plus on souffrirait ? Vérifions… « La disparition progressive des temps (subjonctif, passé simple, imparfait, formes composées du futur, participe passé…) donne lieu à une pensée au présent, limitée à l’instant, incapable de projections dans le temps ». Ce qui est tellement Anti naturel… Puisque ? Simplement tous les efforts sont… Conjugués. Donc ils utilisent toutes les conjugaisons existantes. N’en délaissent aucune. Ce qui se rejoint à se conjoindre. Que dites-vous ? Hé bien, que même dans la vie affective, nous entendons vraiment que conjugaux veut dire aussi… conjugués. Tout ce qui fait avancer l’amour est Déjà « dans » les mots… l’amour se prouvant comme utiliser à fond toutes ses facultés mentales, dont l’usage complet et désintéressé du langage.

« Moins de mots et moins de verbes conjugués c’est moins de… capacités à exprimer les émotions et moins de possibilité d’élaborer une pensée ». C’est bien une autodestruction, oui un comportement uniquement barbare, une aberration cruelle et… suicidaire. Si les vrais Ennemis de la société sont au sommet, les nécessité du langage vont les en chasser. Et vite. Ce sont uniquement des nuisibles. Nous passer d’eux c’est de la haute salubrité !!

« Des études ont montré qu’une partie de la violence dans la sphère publique et privée provient directement de l’incapacité à mettre des mots sur les émotions. » La prétendue « peste émotionnelle » c’est bien de se prouver incapables de ressentir des émotions positives, de résonner à celles des autres et de ne savoir y répondre (… ce que sont les pervers narcissiques !). Les si inhumains néolibéraux nous l’ont assez prouvé. L’effondrement moral, qu’est le macronisme, reste cette malveillance permanente, cette violente fermeture aux autres. Cruautés si antisociales qui font que tout ce qui est honnête, généreux, intelligent, joyeux, éveillé, beau, partageur et anti corruptions se voit honteusement persécuté. Les lois doivent être, en tout premier lieu, prises Contre les trop riches, contre les corrompus, contre les médias vendus et leurs gouvernements. C’est l’évidence même… eux seuls ont les moyens de foutre le bordel absolument partout… et ils en abusent et surabusent, non ?

« Sans mot pour construire un raisonnement, la pensée complexe chère à Edgar Morin est entravée, rendue… impossible. » Dire c’est illisible (parce que complexe) est donc un acte plutôt très régressif. Acte qui ne trouvera jamais de justification nulle part. Vouloir empêcher autrui d’accéder au complexe, au difficile à expliquer, aux textes qui demandent des efforts… de lectures reste une aberration dictatoriale qui ne passera jamais. Bon vous n’aimez pas. Bon vous le dites. C’est vos droits. Mais pas plus loin ! Soit d’empêcher les autres, par la force dissuasive, d’accéder à ces textes « libérateurs »… On ne censure pas seulement à partir de ses caprices personnels. Enfin un peu de bon sens !

Plus le langage est pauvre, moins la pensée existe. Donc les moyens de s’en sortir ensembles… Il n’y a plus que des impératifs abstraits, des ordres brefs aboyés, une anti-communication généralisée, une société limitée à de rapports de forces. Sans issues ! Tu vois « ce ne sont pas que des mots », c’est du concret brûlant qui peut nous émanciper des autoritarismes fous. Comment ?

« Hé bien, enseignez et pratiquez la langue dans ses formes les plus variées, même si elle semble compliquée, surtout si elle est compliquée. Parce que dans cet effort se trouve la liberté ». Des émules d’imagiter ? On le dirait bien. Surtout lorsque reste souligné que qui ne vous demande pas d’efforts (de compréhension, de lecture, d’écoute, d’expérience personnelles) ne peut être votre ami. Grand merci à ce salubre texte, non ? Surtout depuis qu’il conjugue les efforts…

« Ceux qui expliquent à longueur de temps qu’il faut simplifier (sic) l’orthographe, purger la langue de ses « défauts », abolir les genres, les temps, les nuances, tout ce qui crée de la complexité sont…  les fossoyeurs de l’esprit humain ». C’est qu’ils aident idiotement leurs propres ennemis, les ennemis de tous leurs entourages. Ceux qui clairement veulent détruire la langue française. Pas très malin donc d’assister toujours ces sinistres individus, non ? et de ne tirer que contre son propre camp.

Il n’est pas de liberté sans… exigences. Pas de vraies lectures sans Efforts à fournir…  puisque c’est bien… sortir de soi et de sa merde de zone de confort – pour aller, ardemment nus, vers l’inconnu, donc que nous ne connaissons pas encore. Inconnu qui est comme illisible au début et se lit et comprend peu à peu. Et donc ? Qui ne conçoit rien renonce si aisément… le sens enfin décrypté du si démago (donc très trompeur) « qui conçoit bien énonce clairement ». Ce qui nous limite aux redites, aux rabâchages, aux rengaines infertiles, aux rejets insensés des nouveautés, encore obscures de futur, et qui s’explicitent par tous les efforts conjugués.

Il n’est pas de beauté sans la pensée de la beauté ». Un exemple immédiat ? Ce lien si empli de surprenantes trouvailles. Bien placées trouvailles.

Des efforts conjugués ? En effet. « Comment construire une pensée hypothético-déductive sans maîtrise du conditionnel ?

Comment envisager l’avenir sans conjugaison au futur ?

Comment appréhender une temporalité, une succession d’éléments dans le temps, qu’ils soient passés ou à venir, ainsi que leur durée relative, sans une langue qui fait la différence entre ce qui aurait pu être, ce qui a été, ce qui est, ce qui pourrait advenir, et ce qui sera après que ce qui pourrait advenir soit advenu ? »

Mais encore ? Le langage est tout autant existentiel et affectif qu’informatif et informationnel. Châtrer une des dimensions c’est une forme de suicide du sociable et de l’humain. Si essentiel comme  accès au futur.

Que dites-vous ? Eh bien, que même dans la vie affective, nous entendons vraiment que conjugaux veut dire aussi… conjugués. Tout ce qui fait avancer l’amour est Déjà « dans » les mots… Amour, cet essentiel afin que survive la société du vivre ensembles. Cet essentiel que les politiciens (ces si grands ignorants de la vraie Politique !) délaissent si dérisoirement. Leurs « petites » (plus que petites) phrases jamais ne constituent un programme durable, ne soudent la société autour d’un vrai projet collectif, ne lui donnent de solidaires raisons d’agir pour l’intérêt général. N’y est perçue que l’indigne obsession compulsive de n’enrichir que les déjà infiniment Trop riches, dans l’immense n’importe quoi, sans s’occuper des conséquences concrètes de cette complète Folie. Donc 99% seraient passionnés par Trop enrichir les déjà Trop riches, les enrichir à nos grands dépens ? Faisons un référendum pour voir. L’acte puissant de la vraie démocrate – même édulcoré le référendum est si… lâchement évité depuis 2005 on dirait. Clair que au moins 80% de ces 99 % veulent stopper net les gouvernements ennemis. Veulent plutôt conjuguer les efforts communs.

Au Passé au Présent et au Futur réUnis donc unis…

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• « Les antis et les nantis »

Ce qui est si rarement fait ? Décrire au maximum les vrais Ennemis de la démocratie, comme de nos vies… Soit ? « Ceux qu’il convient effectivement d’appeler les « Nantis » de l’information, ce sont les intervenants, politiciens, auto-proclamés experts et prétendus journalistes qui, dans les médias mainstream, déli(v)rent et/ou soutiennent une version inique de la pensée. La version officielle. La version que le pouvoir en place veut imposer en tant que vérité incontestable (soit la Bible incarnée, la divine parole, rien que ça !). La vérité tout court.

Partant de ce constat malheureusement 100% bel et bien patenté, ces intervenants ont opéré, matériellement, en France, un nantissement de l’espace médiatique ». Soit un coup de force privé, des insurgés illégaux contre tous les moyens d’expressions. Un seul exemple, pour le moment ? Le gang des journalistes-producteurs ont expulsés les écrivains de leurs fonctions essentielles. Et, depuis la société a comme perdu sa boussole. Et … Insensés paraissent tant de comportements…, etc. ceci fait plus que réfléchir !

« Je dis « matériellement », car voici la définition juridique de « nantissement » : « Le nantissement est une sûreté conventionnelle. »

Or, cette mainmise totale que les membres du pouvoir en place s’emploient à avoir sur la vérité officielle, qu’ils veulent ainsi imposer sans discussion aux citoyens comme étant la vérité tout court ; cette mainmise consiste hélas pleinement en une sûreté, un gage mis sur l’espace médiatique qui leur permet à la fois de verrouiller l’information et d’empêcher le débat de fond… Débat de fond exigé par le principe constitutionnel de la liberté d’expression pour avoir une « vérité vraie ».

Hé oui ! N’en déplaisent aux Nantis : « Quand la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie », comme le disait Jacques Prévert.

D’où, d’ailleurs, le caractère viscéral, carrément, de cette haine farouche dont les «Nantis » font montre envers les « Antis » (alors que les « Antis » ne demandent modestement que le respect de leurs droits fondamentaux à disposer librement de leur corps  siège une véritable asymétrie de traitement ou discrimination vis-à-vis du consentement libre et éclairé) ». Et ces nantis (donc clairement Illégaux !) dissimulent leurs effroyables jalousies envers les pauvres, leurs haines insensées envers les autres, en les diffamant gravement : jamais de lois prétendues anti haine ne Sanctionneraient des politiques très antisociales, des injustices flagrantes envers les plus faibles, des paroles scandaleuses de ces nantis. Qui ne sèment que désordres et conflits dans la société. Hé, parce qu’ils en ont les moyens, avant tout !

Pourquoi ?

« Parce que, à l’instar d’une faille dans une fortification, faille dans laquelle l’assaillant peut s’engouffrer et inverser la situation en sa faveur – fût-elle minuscule – la vérité n’a besoin que d’un espace infime pour, à un terme échu plus ou moins long, toujours finir par s’imposer au mensonge »… La modeste vérité est un grain de sable minuscule qui, de toutes les façons, vainc toujours.

C’est la raison pour laquelle, pour toute vérité officielle qu’il sait être en réalité un mensonge, le pouvoir en place a besoin de totalement verrouiller l’espace médiatique, s’il veut pouvoir imposer ce mensonge au peuple comme étant la vérité.

Et c’est même immanquablement l’élément de fait manifeste au possible, « criant » dirais-je (« Oyez ! Oyez citoyens ! »), pour reconnaître à coup sûr un mensonge d’État »… Ils ont « besoin » que nul.le ne parle pour faire « semblant » de parler. Et après cela ils auraient un avenir durable ?|efn_note]La-gouvernance-twitter[/efn_note]

Explicitons ce conjuguer les efforts et à absolument tous les temps ? La société du spectacle. Une société où les problèmes sont… connus, identifiés, récurrents, et où celles et ceux qui pourraient, qui devraient y remédier en prenant les mesures adéquates, ne le font jamais. À la place, faire du vent est plus souhaitable, plus profitable, car au fond, il n’y a que l’habillage qui compte. Il ne faudrait surtout pas que les gens… déchirent l’emballage, ou poussent le décor, pour découvrir ce qu’il y a derrière. Ca la foutrait mal, vous imaginez ? Des gens qui se mettraient à… réfléchir, avec le langage au complet avec eux… au lieu de réagir de manière totalement disproportionnée, à l’IMAGE Agitée, à chaque fait-divers, à chaque actualité ?

Rappelons ici aussi encore une fois, que le cerveau reptilien prend le dessus quand les images agitées envahissent tout son front, et qu’une réponse de type émotionnel « primaire » (les émouvoir positif font Mouvoir… il y a donc de très saines émotions et de malsaines. Malsaines, uniquement celles… extorquées par des agressions d’images !) est sollicitée, et apportée, par un fait-divers, une actualité, ou tout autre sujet… « sensible ». Et la particularité de ce cerveau « manipulable » est de court-circuiter totalement le cerveau logique, et la réflexion qui va avec. Ceci est couramment utilisé en publicité, marketing, et bien sûr en… antipolitique. Les USA ont même créé un emploi officiel pour ce genre de manipulateurs au service du pouvoir, on appelle ça des spin doctors. En France, la macronie en a pris le chemin avec les fameux « conseillers en anticommunication » et autres « consultants en escroqueries stratégiques » des cabinets de conseil payés une fortune. Avec l’argent de nos impôts, cette fois-ci. Pour de… vrai ». Ce sont nos employés, payés par nous seuls, nous pouvons donc les licencier… les dégager les foutre dehors. Graves délits ? Rétrécir la politique à ne… que mentir sur les mots et le langage comme à n’agiter frauduleusement que les images. Et sans aucun plan Responsable derrière… non ce n’est plus supportable…

« Tout ceci pour dire que la mécanique est désormais bien huilée, et que ça rentre de plus en plus dans les mœurs ; à tel point qu’aujourd’hui il serait très fortement reproché à un politique de ne pas « réagir » (le mot est important, il a tout son sens) sur les réseaux sociaux, à un faits-divers de l’actualité. Ceci serait considéré comme anormal, voire signe d’un désintérêt (alors que réagir est Antipolitique en diable. Car la Politique est… d’agir pour l’intérêt général et de toujours refuser de réagir soit de se… prouver manipulée par des intérêts… trop particuliers ! Donc de ne plus… faire de Politique du tout !). Alors que précisément, c’est parce qu’ils font du vent sur Twitter que les gouvernants ne règlent rien : c’est un signe évident d’« anti-communication », donc pas… d’action. Ré-agir, c’est tout sauf agir.

Et c’est bien là le but : il faut ANTI… communiquer en permanence, histoire de bien court-circuiter continuellement les esprits, de les abrutir sous un flot d’infos sans lendemain, car il faut faire monter l’adrénaline, la colère, la peur… et susciter de l’émotion primaire, négative, instantanée, sans réelle possibilité de passer à la réflexion (comme à se… mouvoir vers l’action comme toutes le émotions positives et désirées nous font mouvoir d’émouvoir… Un peu comme la masse qui nous masse, de son gigantesque massage).

Car au fond, si les Français commençaient à réfléchir… que se passerait-il ?

Nos zélites ne le savent que trop bien :

Elles perdraient rapidement leur pouvoir, puis encore plus vite leur tête.

Tout ceci (… agiter les images) est évidemment destiné à cacher l’absolue impuissance de ceux qui prétendent nous régenter : que ce soit en matière sécuritaire, comme en matière économique, ou en quelque autre domaine que ce soit, nos gouvernants ont les pieds et les poings liés.

Derrière ces nouvelles flaques de néant, se cache cependant un fond de vérité : ils savent très bien l’état réel du pays, et notre situation face aux pénuries qu’ils ont eux-mêmes provoquées, et la décrépitude générale due à leur aveuglement total sur tous les fronts »… Aveuglements qui ne sont que les leurs… et dont le langage peut les démanteler. Ce pourquoi nous avons toujours dit que le… langage est de notre côté…

Si nous l’utilisons à fond évidemment. Sinon nous perdons une chance unique… Par exemple, ne faire que passivement subir des images n’est pas… faire mouvoir les mots.

« Ce sont des problèmes structurels auxquels nous devons faire face, c’est à dire des problèmes qui devraient être réglés par des mesures fortes, drastiques et difficiles à prendre. Au lieu de cela, tout le… monde tourne en rond ». Pas tout le monde en fait. Les amoureux des mots, elles, eux, avancent tout droit. Avec les yeux droits de l’honnêteté tranquille. Tranquille sur sa quille…

« Et plus particulièrement les plus privilégiés de la réPublique (qui ont tous Sombré dans les infantilismes les plus inexcusables). En lieu et place de réelles mesures de fond, nous avons surtout des individus cherchant à se faire réélire ou même, juste à se faire bien voir de la populace, l’œil rivé en permanence sur les courbes de sondages de la fameuse « opinion publique« . Opinion qui n’est en fait qu’un golem créé par ceux-là mêmes qui… composent en permanence avec elle… Là aussi, le système a gagné et perdu en même temps, en créant les outils de sa propre inaction, et en les érigeant en dogme »… Ce n’est pas parce qu’ils sont pour l’immobilisme suicidaire que tout le monde les suivra. De fait, chaque jour, toujours plus d’humains QUITTENT affectivement et mentalement ces… escrocs !

« Tout ceci est véritablement criminel au dernier degré, car l’ensemble de ces problèmes non réglés, pris par-dessus la jambe par nos politichiens irresponsables-mais-pas-coupables, va nous revenir dans la figure sous la forme d’une tempête parfaite qui emportera tout. Alors qu’ils… eussent pu être réglés si, une fois le diagnostic fait, des mesures avaient été prises. Encore eût-il fallu ne pas partir d’entrée de jeu avec des menottes aux poignets ».

Sauf que eux seuls ont des menottes à leurs menottes. Puisque leur destin ontologique est de finir en… prisons. D’être donc… arrêtés, stoppés net, dans leurs claires folies destructrices. Et voilà t’y pas, mon pote, que le langage est l’arme pacifique la plus parfaite pour nous aider à défaire tout cela.

Oui une « défaite » tu sais ce que cela dit… eh bien, que leur défaite est totalement toute défaite là, sous nos yeux. Ils ne peuvent plus se refaire, ils sont donc faits et refaits !!

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Prochain texte sur ce thème : comment L’ÉQUIPE équipe ? Ce qui prouve que même « l’arbitraire du signe » ne peut mentir que le langage ne serait fait que pour un seul autoritariste irresponsable, pour une pensée inique prétendue unique… Mais bien que tout en lui reste collectif, généreux, solidaire et unifié POUR TOUS.

Fini, bien fini donc, le monstrueux égoïsme bourgeois du tout pour moi et jamais rien pour les autres.

source : Imagiter
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