par Laurent Aventin.
Le Dr Cristina Sacchi, chef du département d’auto-immunité de l’hôpital d’Alessandria Antonio et Biaggio Arrigo (Italie ?) a conduit des recherches sur la production d’auto-anticorps chez le personnel de santé hospitalier qui a reçu le vaccin ARNm de Pfizer. Les auto-anticorps sont des marqueurs des maladies auto-immunes, ces résultats montrent par ailleurs un lien de cause à effet proportionnel au nombre de doses reçues chez les personnes ayant participé à l’étude. Il ne peut donc plus y avoir de déni sur ce lien de cause à effet. Pourtant, la presse et les institutions sanitaires promptes à dénoncer le manque de preuves sur le lien entre maladies auto-immunes et injections contre Covid restent… muets.
Le Dr Cristina Sacchi confirme le lien de cause à effet du vaccin Pfizer et l’apparition de maladies auto immunes. Dans une vidéo disponible ici, le Dr Cristina Sacchi explique :
« Dans mon laboratoire, nous nous occupons de l’étude des auto-anticoprs et des maladies auto-immunes. J’aimerais présenter notre étude sur les preuves de la présence d’anticorps anti-nucléaires (ANA) chez des travailleurs de la santé en milieu hospitalier après la vaccination par le BNT 162b2 (vaccin ARNm de BioNtech-Pfizer). L’objectif de l’étude était de vérifier le développement et/ou la persistance des ANA chez des travailleurs de la santé après la vaccination par Pfizer. En conclusion, nos résultats suggèrent que la vaccination ARNm de Pfizer semble induire l’apparition d’ANA de novo chez 23% des participants et que le pourcentage de positivité semble être en corrélation directe avec le nombre d’expositions au vaccin (corrélé au nombre de doses reçues). En conclusion, nous pensons que d’autres études sont nécessaires pour expliquer les mécanismes biologiques sous-jacents par lesquels les vaccins covid -19 pourraient conduire à des manifestations auto-immunes incluant l’apparition d’auto-anticorps, le mimétisme moléculaire et le rôle de certaines avancées en matière de vaccins. »
Les auto-anticorps sont des biomarqueurs des maladies auto-immunes, la détection de leur présence précède la maladie et/ou confirme son existence.
Le Dr Cristina Sacchi a également présenté ses travaux sur un poster disponible ici pour les abonnés. Une étude similaire réalisée par la même équipe sur les conséquences de la vaccination annuelle contre la grippe saisonnière ne montre aucun effet de ce genre (avec une méthode d’analyse similaire et comparable à l’étude présentée sur « vaccin Pfizer et maladies auto-immunes »).
Les résultats sur les conséquences des injections anti-Covid sur le système immunitaire ne sont cependant pas nouveaux et viennent confirmer ce qui a été observé dès 2021, notamment en Israël, pays précurseur de la vaccination de masse.
Qu’est-ce qu’une maladie auto-immune ?
Une maladie auto-immune est généralement provoquée par un dysfonctionnement ou une anomalie du système immunitaire ; ce dernier se retourne contre l’organisme et l’attaque :
Diabète de type 1, sclérose en plaques, polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante, psoriasis, lupus érythémateux disséminé, vitiligo, maladie de Crohn, syndrome de Guillain-Barré… Ces maladies apparemment bien différentes ont un point commun : elles sont dues à un dérèglement du système immunitaire qui se met à « attaquer » l’organisme qu’il doit normalement protéger. Appelées maladies « auto-immunes », elles touchent environ 5 millions de personnes en France et constituent le troisième groupe de maladies en termes de morbidité et de mortalité dans les pays industrialisés, après les cancers et les maladies cardiovasculaires. Aujourd’hui, si des traitements permettent de freiner leur évolution, elles restent inguérissables.
Les systèmes de surveillance des effets secondaires des injections contre Covid (VAERS aux Etats Unies, ANSM en France…) font remonter des maladies auto-immunes que le chercheur Jean Marc Sabatier propose d’analyser.
Le silence des institutions et de la presse au service d’une idéologie
La remontée des effets secondaires par les mécanismes de surveillance sanitaire montre qu’il existe un certain nombre d’effets indésirables parmi lesquels les maladies auto-immunes. Ces informations ne sont pas relayées par les médias subventionnés ou des chercheurs qui réfutent ces effets. Cette même presse indique qu’il n’y a pas de risque ; le gouvernement américain affirme qu’il n’y a pas de preuve montrant un lien de cause à effet entre les injections expérimentales contre Covid et les maladies observées. Le déni est total, unanime et concerté. Il y a de fait une ligne à tenir pour ceux qui veulent rester dans le système : celle des gouvernements et de l’industrie pharmaceutique.
D’autres organisations (financées par l’État et/ou l’industrie pharmaceutique) qui communiquent sur le sujet avancent que les risques des injections Covid pour les personnes atteintes d’une maladie sont moins importants que les risques liés à une non vaccination. Souvent sans preuves et pour se conformer à la doxa.
Lorsqu’il y a des preuves scientifiques liées aux injections contre Covid, l’information n’est pas diffusée, on la tue en la taisant. Il y a donc bien une ligne idéologique construite sur un discours pseudo-scientifique ignorant volontairement les preuves lorsqu’elles sont disponibles. Il ne s’agit pas pour les idéologues (et ceux qui participent à la divulgation de leur message) de tenir un discours cohérent – la majorité des gens ne vérifient pas et ils le savent – mais seulement un discours rassurant qui inspire la confiance. C’est précisément la définition de la manipulation de masse.
source : Le Courrier des Stratèges
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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