Cet article a été rédigé par une ancienne infirmière qui a souhaité conserver l’anonymat.
Je suis une ex-infirmière qui a quitté le réseau de la santé il y a plusieurs années. Je reçois depuis un an de nombreux témoignages de la part d’infirmières actuellement sur le terrain. En observant l’attitude du Dr Nadeau-Vallée, résident en médecine et Ph. D. en pharmacologie, alias « Doc Tik Tok » ou « Walmart Justin Trudeau », dans son vidéo au sujet de l’article du docteur Patrick Provost, nous avons été fort préoccupées de voir de quelle manière il se permet de ridiculiser et de détruire la réputation de chercheurs chevronnés. Mais ce n’est pas tout, puisqu’il s’attaque aussi, dans d’autres vidéos, aux professionnels de la santé, dont une de nos collègues infirmières, qui questionnent de manière légitime le discours officiel, en particulier sur la vaccination des petits enfants.
Résident vs spécialiste de l’ARN
Tout d’abord, l’article que M. Provost (professeur à l’Université Laval, microbiologiste et spécialiste de l’ARN) a publié dans le Journal de Montréal a été écrit de manière consciencieuse et présente des faits à partir des données des autorités. Il y a très peu à redire, d’autant que M. Provost est un scientifique habilité à analyser de telles données. Pourtant, le Journal de Montréal a « retiré » son texte, prétextant des inexactitudes. Suite à cela, le Dr Provost a légitimement demandé des précisions sur ces « inexactitudes » dont l’accuse Sébastien Ménard, éditeur et rédacteur en chef du Journal de Québec. Mais celui-ci n’a pas donné suite et de manière surprenante, c’est M. Nadeau-Vallée qui a pris le relai et a répondu à sa place! Serait-il soudainement devenu journaliste chez Québecor?
M. Nadeau-Vallée n’est pas un spécialiste de l’ARN messager, ni microbiologiste ou épidémiologiste, mais de son statut de résident en médecine, le voici qui se met à détruire un article complet, mûri et réfléchi par un scientifique d’expérience sur les questions d’ARN. Le tout en à peine 5 minutes! Caché derrière une caméra et refusant un débat en face à face avec les professionnels qu’il attaque, il réfute un à un les arguments du Dr Provost avec des « preuves » pour le moins questionnables, le tout en détruisant sans remord sa crédibilité et donc sa réputation. Cette violence du propos n’a rien d’éthique ni de professionnel et devrait questionner chaque citoyen.
En fait, on reconnait là la stratégie habituelle du Doc Tik Tok : commencer par abaisser et discréditer les professionnels dont les positions diffèrent des siennes pour s’assurer qu’ils perdent toute crédibilité aux yeux du public qui l’écoute. C’est ce qu’il a fait avec une de nos collègues, qui a pourtant une expérience d’au moins 20 ans et qui était très appréciée dans son milieu de travail durant de longues années.
Ces infirmières que je côtoie priorisent avant tout le bien-être de leurs patients en suivant avec grand respect leur code d’éthique et de déontologie. Elles ont toujours cherché à informer de manière consciencieuse et transparente les patients qu’elles soignent sur les traitements offerts pour leur permettre de faire un choix libre et éclairé. C’est la base même de notre métier. La santé publique et le gouvernement semblent s’en permettre pas mal depuis le début de la pandémie, allant même maintenant jusqu’à condamner avec force et mépris ceux qui hier faisaient pourtant la fierté du Québec, notamment pour leur courage lors de la première vague. Qui se souvient des applaudissements tous les dimanches soir? Tout cela été oublié.
Les professionnels de la santé sont-ils libres?
Le Doc Tik Tok, qui se pense au-dessus de tous car fort de l’appui des autorités et des médias, a porté plainte à l’OIIQ (Ordre des infirmières et infirmiers du Québec). Celui-ci l’a remercié disant « qu’il est important que les infirmières s’assurent que leur comportement, leurs messages et leurs commentaires soient conformes à leurs obligations déontologiques, notamment celles relatives à l’image et à la crédibilité de la profession. » Les infirmières ne sont donc plus libres, puisqu’elles doivent absolument dire que cette injection est parfaite et que les effets secondaires sont banals et très peu nombreux. Sinon elles savent qu’elles subiront des représailles de la part de l’Ordre, qui devrait pourtant les défendre, ainsi que de la part du public qu’elles soignent. Pour l’OIIQ, l’image serait-elle plus importante que le respect de ses membres, de leur capacité de se questionner et de juger, et plus importante que le droit des patients à recevoir des traitements sécuritaires?
Alors, dans les faits, est-il actuellement permis aux professionnels de la santé de faire le lien avec les injections et les problèmes de santé qui augmentent dans les milieux de soins? Ayant reçu les confidences d’un grand nombre d’infirmiers et d’infirmières sur le terrain, ils m’affirment tous que :
dans l’évaluation de tous les professionnels de la santé sur les cas qu’ils reçoivent, aucune allusion à ce genre de lien avec le vaccin anticovid et les effets secondaires n’est faite, et c’est donc là que les ordres professionnels ont failli à la tâche;
lorsque l’un d’entre eux émet le désir à des collègues de connaître le statut vaccinal des patients qu’ils reçoivent pour d’autres problèmes de santé, c’est le silence radio de la part des collègues médecins ou infirmiers.
Des infirmières, des infirmières auxiliaires et des préposées aux bénéficiaires m’ont confié être à bout de souffle car surchargées de travail : elles observent énormément de cas lourds et instables. Mais selon elles, ce ne sont pas beaucoup des gens malades de la COVID-19, ce sont d’autres maladies qui font surface. Certaines ont observé qu’il n’y avait pas autant de ces cas avant les injections anticovid. Mais qui enquête pour comprendre ce qui se passe?
C’est donc la loi du silence dans les milieux de soins sur la possibilité des effets secondaires des vaccins anticovid, alors que ceux qui sont sur le terrain devraient logiquement participer à recueillir des données sur les effets de cette injection encore en phase expérimentale. Que se cache-t-il derrière ce silence?
Les données du VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System, le système de pharmacovigilance aux États-Unis) rapportent une explosion des déclarations de décès depuis l’arrivée des vaccins à ARNm. C’est à tel point qu’en moins de deux ans, le nombre de déclarations de décès est supérieur à tous ceux enregistrés depuis les débuts de la vaccination
(source : https://openvaers.com/covid-data/mortality?fbclid=IwAR3Kqv3C1KxLCOEUhtMNeyY1g0YKIWoyotaHH0ffOsnBzNO2nugkZPq9LHU)
Plusieurs professionnels me disent qu’ils ne se sentent plus libres de parler et de faire des choix selon leur conscience de peur de perdre leur emploi et de se faire traiter de complotistes. Malheureusement, force est de constater que nous en sommes rendus là au Québec. Pour une province qui se dit fière d’être libre, nous pouvons maintenant nous demander si cette liberté existe toujours. À écouter des gens comme le Doc Tik Tok, qui se moquent sans pudeur des professionnels qui se questionnent, qui n’hésitent pas à les condamner et à les dénoncer comme s’ils avaient commis quelque chose de grave en voulant questionner et s’inquiéter de cette promotion vaccinale anticovid même chez des sujets jeunes et en santé (très peu à risque de développer des formes graves de la maladie, cela a même été reconnu par l’INSPQ), nous comprenons ce silence chez ceux qui voudraient parler.
Puisque qu’il est difficile, voire impossible, pour les professionnels de santé de tracer un lien entre les injections anticovid et certains symptômes développés après par les patients qui vont consulter, comment ce résident peut-il se permettre d’affirmer avec d’autres professionnels que ces injections ne présentent aucun danger pour les enfants? Un œil averti devrait se questionner sur l’intense promotion de cette injection qui est faite dans les médias et sur le fait qu’à peu près rien n’est dévoilé à propos des effets secondaires qui augmentent pourtant. Rien non plus n’est dit pour sensibiliser la population à l’importance de les déclarer pour améliorer la pharmacovigilance.
En tant que professionnels de la santé, nous nous questionnons aussi sur l’attitude de Santé Canada, qui malgré les problèmes de santé qui augmentent, continue d’encourager cette injection. Auparavant, pour beaucoup moins que cela, vaccins et traitements qui faisaient seulement quelques morts étaient retirés. Même de nos jours, des médicaments sont retirés en cas de problèmes, même mineurs. C’est le cas par exemple avec l’hydromorphone, que Santé Canada a rappelé « car les flacons [pouvaient] contenir des comprimés d’une concentration plus forte, c’est-à-dire de huit milligrammes d’hydromorphone [au lieu de deux] ».
On en est loin avec les vaccins ARNm et on peut se demander ce qui explique cette différence de traitement.
Finalement, puisque l’on ne rapporte que les avantages des vaccins sans publier de manière transparente les effets secondaires observés partout dans le monde, il est impossible pour les Québécois de faire un choix éclairé face à cette injection anticovid.
Vaccins et protection contre la contamination et la transmission
J’ai été fort étonnée lorsque le Dr Nadeau-Vallée a affirmé qu’il était totalement faux d’écrire que l’injection ne prévient ni l’infection, ni la transmission. Non seulement cette affirmation ne correspond pas à ce que nous observons au quotidien… mais en plus cela fait de nombreux mois que les autorités elles-mêmes le reconnaissent. Par exemple, nous avons été en mesure d’observer, quelques semaines avant Pâques 2022, une augmentation des cas de COVID-19 et de grippe dans des classes du secondaire de notre région. À un moment donné il manquait plus de 50 % des enfants dans une classe de cinquième secondaire. Plusieurs professeurs devaient aussi s’absenter parce qu’ils étaient malades. Quelques élèves vaccinés ont dû être hospitalisés. Il est à noter que ces élèves et enseignants étaient pour la majorité doublement, ou même triplement vaccinés. Les symptômes semblaient très forts, certains vaccinés trainant parfois jusqu’à un mois des restants de grippe. Il est bon de rappeler qu’il n’y a pas eu autant d’absences au printemps 2021…
Dans ces conditions, ce qui est « totalement faux » est de dire que les vaccins empêchent la contamination et la transmission (il le dit à 2mn de son vidéo)! Comment peut-on dire des choses pareilles sans crainte d’être poursuivi?
En outre, sans doute bien peu de gens n’ont pas vu ou entendu parler autour d’eux de personnes vaccinées ayant contracté la COVID-19. Certaines ont même été alitées, parfois durant 10 jours, tellement elles étaient malades. Bien sûr, des non-vaccinés tombent aussi malades… mais là aussi, ceux que nous connaissons s’en sont relevés rapidement. Les médias ne présentent donc pas le portrait complet de la situation et maintiennent un discours de peur en faveur de l’injection, le tout alors qu’en dépit d’une « couverture vaccinale » de 90 % censée mettre fin à la transmission, le virus circule toujours…
Impact sur les professionnels et le système de santé
À voir l’état actuel des choses, nous pouvons nous poser cette question : comment se fait-il que durant l’été 2022, nous ayons autant de cas COVID-19? Des employés travaillant à faire les horaires nous ont relaté que durant l’été, suite à la première vague, ils se tournaient presque les pouces parce qu’ils n’avaient pas à chercher d’employés, comme ils en avaient un bon bassin de disponibles. Plus de deux ans plus tard, en juillet 2022, plusieurs employés s’absentent ou sont en arrêt de travail, ayant contracté la COVID-19. Se pourrait-il que plus on vaccine, plus le virus se propage? Les vagues n’en finissent plus…. Hormis lors de la vague Omicron en décembre 2021, le taux de positivité des tests n’a jamais été aussi élevé. En plein été! Le Doc Tik Tok dit que la facilitation de l’infection par les anticorps, qui serait un effet des injections, est de la « désinformation totale ». Pourtant, bon nombre de grands chercheurs et d’études publiées dans des revues à comité de lecture le montrent.
Je dois ajouter que les confidences que j’ai reçues de plusieurs soignants sur le terrain dans la dernière année ne manquent pas. En effet, on me rapporte que de nombreux professionnels de la santé tombent malades de la COVID-19. même après 3 doses. Dans le temps des fêtes, la plupart des employés doublement vaccinés tombaient malades de la COVID-19 et devaient s’absenter les uns après les autres, même chose au printemps. Plusieurs étaient très malades. Apparemment, les quelques employés non vaccinés tenaient bon plus longtemps. Il est à noter que ces professionnels portaient le masque N-95 et arrivaient tout de même à se contaminer. Nous avons vu des infirmières chefs en arrêt de travail parce qu’elles avaient contracté la maladie après 3 doses et ne s’en remettaient pas. La COVID-19 ayant le dos large, les médecins mettent tout cela sur le dos de la COVID longue, et jamais sur celui de l’injection…
Une politique discriminatoire
Alors qu’il y a déjà un manque cruel de personnel, ces nombreuses absences de professionnels vaccinés et positifs à la COVID-19 ajoutent à la charge des professionnels en place. C’est à un point tel point que désormais, dans plusieurs milieux de soins, les employés vaccinés peuvent entrer au travail après 5 jours… même s’ils ont des symptômes! L’ironie, dans tout cela, est que les employés non vaccinés doivent toujours se faire tester 3 fois par semaine, même s’ils ne sont pas malades.
Il y aussi une discrimination très claire dans les primes, puisqu’elles ne sont offertes qu’aux employés vaccinés… qui pourtant tombent malades, se contaminent et en contaminent d’autres. Certaines infirmières non vaccinées ont gardé toutes les preuves des résultats de leurs tests anticovid depuis le début, et certaines n’ont jamais obtenu de résultat positif… Ces primes deviennent un moyen détourné pour forcer la vaccination de ceux qui la refusent. Si les collègues de travail vaccinés qui sont tombés malades pouvaient dénoncer cet état de fait, cela aiderait à mettre au grand jour ces graves injustices que subissent plusieurs employés. Le silence des collègues qui devraient parler favorise la désinformation et contribue à maintenir, dans certains milieux, un climat de mépris et d’intimidation. Qui, parmi eux, a pris conscience de toute la souffrance et le mépris qu’ont subi les employés non vaccinés?
Il y a aussi des infirmiers et des infirmières à la retraite qui se sont fait appeler pour aller travailler. Ceux-ci refusant de recevoir ces injections ARNm ont été mis de côté. Comment un système de santé étant en pénurie criante de personnel peut-il se permettre de mettre de côté des professionnels d’expérience et en santé pour avoir refusé une injection qui n’empêche pas la propagation de la COVID-19? La conséquence est d’autant plus grave que cela met en péril la qualité des soins et la sécurité des patients… L’OIIQ a-t-il oublié ses responsabilités?
Système immunitaire et traitements
J’observe, en tant qu’ancienne infirmière, tout comme le font plusieurs de mes collègues, que le Doc Tik Tok ne parle ni du système immunitaire ni des solutions alternatives aux vaccins. Sans aucune preuve, il détruit l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, le zinc et les vitamines, en affirmant qu’il a été démontré qu’ils n’ont aucune efficacité. Il ne propose rien pour renforcer le système immunitaire.
Apparemment, il détient toute la vérité et nous devons donc le croire sur parole. Pour des scientifiques qui se disent évolués et beaucoup plus avancés dans la recherche, leur limitation à penser que l’injection est la seule solution à tous les problèmes montre qu’ils semblent plutôt limités dans leur capacité à soigner l’être humain.
La « liberté académique » selon Walmart Justin Trudeau
Selon le Doc Tik Tok, ce n’est pas museler les professionnels que de suspendre les personnes qui se questionnent sur le discours gouvernemental : c’est de propager de fausses informations qui est répréhensible. Mais en quoi est-ce propager de la fausse information que de se questionner, d’apporter des faits et de vouloir améliorer la condition de vie des citoyens qui souffrent à différents niveaux?
Le Doc Tik Tok nous dit-il donc qu’il faut croire tout ce que disent les gouvernements, sans questionner, sans débat, sans avoir le droit de poser des questions et d’apporter des faits ou des observations différentes du discours officiel? Il est presque comique de l’entendre dire qu’il a beaucoup critiqué les mesures sanitaires et que jamais son ordre ne l’a puni parce qu’il se basait sur la Science… De quelle science parle-t-il? Pourtant il est clair que durant tout son vidéo, il ne fait que promouvoir et défendre avec force les mesures des autorités en défaisant tous les points observés par le Dr Provost.
Citoyens « ignorants », chercheurs trop « spécialisés » : qui a le droit de s’exprimer selon le Doc Tik Tok?
Pour terminer, il discrédite encore une fois le professeur Provost en faisant une analogie étrange : il dit qu’un média sérieux ne ferait pas venir un sociologue qui dit que la terre est plate et ne doit donc pas plus faire venir un biochimiste qui propage de fausses informations. Cette « démonstration » ne tient pas debout car M. Provost, qui est effectivement diplômé en biochimie, fait des recherches sur l’ARN depuis plus de 20 ans. Il s’agit bel et bien d’un spécialiste du domaine, en tout cas beaucoup plus qu’un résident en médecine avec un doctorat en pharmacologie… qui lui, ne se prive pas de donner son opinion sur la question. Pourquoi Patrick Provost et d’autres professionnels de la santé devraient-ils se taire quand un simple résident médecine a, lui, le droit de parler?
En conclusion, en tant que citoyenne québécoise et ancienne infirmière qui a gardé sa capacité de penser, de se questionner et de faire des liens, il m’apparaît plus prudent de m’éloigner des propos méprisants, peu explicatifs et peu professionnels du Dr Nadeau-Vallée. Dans le vidéo publié en réponse à l’article de Patrick Provost et dans les autres qu’il produit, il démontre nettement son manque d’ouverture scientifique et son incapacité à écouter la pensée des autres spécialistes qui apportent un autre éclairage sur la situation sanitaire. En cherchant ainsi à détruire et à discréditer les professionnels qui questionnent le discours officiel par toutes sortes d’analogies bizarres, il montre qu’il n’est pas ouvert au débat.
Il m’apparait clair aussi qu’il ne fait que promouvoir la pensée du gouvernement. Il a la prétention de faire croire qu’il détient toute la vérité parce qu’il va dans le même sens que les autorités, mais il n’hésite pas à réduire à rien des êtres humains et des spécialistes qui ont aussi une intelligence, une expertise, une expérience de travail de plusieurs années. Il serait bon de rappeler à ce jeune docteur qu’ils sont des milliers de spécialistes et de scientifiques à travers le monde à se questionner… et qu’il n’existe aucun consensus scientifique sur la question. Il nous en dit aussi long sur lui lorsqu’il dit à la fin que la COVID-19, les injections et les mesures sanitaires, ce n’est pas sujet à débat, mais de la Science. Il prouve ainsi qu’il n’a aucun esprit scientifique, puisque la Science est débattable et n’est pas absolue.
En tant qu’infirmières et infirmiers, nous ne pouvons plus tolérer les propos intimidants du Dr Nadeau-Vallée, qui détruit sans pudeur la réputation des professionnels qui se questionnent légitimement. Que les ordres professionnels tolèrent ce genre de comportement est fort préoccupant. Si les professionnels de la santé ne sont pas en mesure d’offrir à la population toutes les informations pertinentes qui existent et non seulement celles qui vont dans le sens du discours gouvernemental, ils ne peuvent plus respecter l’éthique au cœur même de leur profession et ne sont donc plus libres d’utiliser leur jugement clinique…
Cette situation est très grave et nous nous devons de la dénoncer avec force!
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