Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Viacheslav Yakobchuk/Adobe Stock
Des Canadiens cherchent à obtenir la mort par euthanasie (Aide médicale à mourir, AMM) parce qu’ils n’ont pas accès à un traitement médical ou parce qu’ils vivent avec un handicap, une maladie mentale ou la pauvreté.
Moira Wyton a écrit un article publié le 26 juillet dans Tyee au sujet de Gwen, qui demande la mort par euthanasie parce qu’elle a du mal à obtenir un traitement pour son état de santé. Mme Wyton rapporte que « Gwen veut vivre et prendre soin de sa fille. Mais le système fait en sorte qu’il est plus facile de demander une AMM qu’un traitement ».
Wyton écrit :
… Gwen envisage une mort médicalement assistée si elle ne peut pas accéder à un traitement essentiel pour ses douleurs chroniques et ses handicaps, qui rendent parfois impossible de manger, dormir, bouger ou jouer avec son enfant.
L’aide gouvernementale et la couverture d’assurance maladie ne financent pas le traitement recommandé par les médecins de Gwen pour réduire considérablement sa douleur, ni ne lui fournissent un revenu suffisant pour vivre avec un jeune enfant.
Soutenez la campagne GoFundMe pour Gwen (lire la plus récente mise à jour de la page de financement pour connaître les derniers développements de l’état de Mme Gwen).
Gwen a dit à Wyton qu’elle veut absolument être auprès de sa fille de trois ans.
Le système médical canadien fait qu’il est difficile pour Gwen de recevoir un traitement, mais facile pour elle de recevoir une AMM (euthanasie).
Wyton poursuit :
Alors que l’AMM avait pour but de donner aux gens un plus grand choix personnel et une plus grande autonomie en matière de soins de santé, Gwen affirme que les récents élargissements de l’admissibilité facilitent la mort des personnes atteintes de maladies chroniques au lieu de leur permettre de vivre.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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