par Lucien Samir Oulahbib.
Ne reculant devant aucune ignominie, le « journal-de-référence-paraissant-le-soir » se fend d’un publireportage fabriqué par un écrivaillon quelconque (au sens littéral) sur lesdits « crimes de guerre » russes à Boutcha et ailleurs, comme si cela allait de soi et qu’une juridiction criminelle internationale avait déjà tranché alors que nombre de témoignages des plus sérieux ont plutôt avancé qu’il s’agissait d’assassinats ciblés par les régiments de représailles type Safari à l’encontre de ceux soupçonnés de collaboration avec l’armée russe (qui n’a aucun intérêt à faire ce genre de choses).
Idem pour ce qui fut « l’Express » qui sans doute furieux d’avoir été ridiculisé via deux de ses journalistes par Idriss Aberkane en remet une couche en accusant pêle-mêle nombre de médias dont FranceSoir de « complotisme » sous le seul prétexte d’avoir rappelé aux dits journalistes non plus « mainstream » mais de grand chemin qu’ils ont des devoirs qu’énumèrent ladite « Charte de Munich » ce qui agacent visiblement les deux prothèses Ex-presse.
Ces deux « affaires » pourtant distinctes ne sont pas séparables tant elles participent du même effet délétère cherchant à insulter, salir, meurtrir non seulement les faits, mais la manière de les dire de façon journalistique au sens déontologique et non pas propagandiste. Voilà l’obscénité au sens propre : une absence de scène, l’observation faisant place à de la pornographie de sens lorsque le cœur de l’information est arraché et qu’à se place se trouve greffée une prothèse, celle de la fausse information se prétendant « vraie », telle celle in fine de ces pompiers européens venant à la rescousse, remarque aussi Philippot, pour agir sur plus de soixante-quinze feux partis simultanément en Gironde afin de promouvoir les « secours » européens au détriment des nationaux laissés à l’abandon (comme les treize à quatorze centrales nucléaires à l’arrêt), afin de signifier que la seule issue serait l’UE. La France devient ainsi, sans le dire, subrepticement une entité administrative de second plan, les fractions communautaires s’en remettant alors de plus en plus à la première en une espèce de Cour d’Appel si cela coince (de moins en moins) au niveau « local », tel l’achat de ces lots de « remdesivir » pourtant déconseillé par l’OMS. Nos deux médias de grand chemin se gardent bien de le signaler…
Au démembrement social sociétal politique sanitaire et culturel s’ajoute désormais l’effondrement de l’information et de « tout art de vivre à la française », comme l’avait remarqué récemment Richard Millet.
source : Nouveau Monde
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