– Costa Rica: l’Etat mène une enquête sur les contrats de vaccins Pfizer et AstraZeneca
Encore une autre mauvaise nouvelle pour les pharmas. Moins d’une semaine après la menace brandie par la justice baléare d’obtenir du gouvernement espagnol tous les contrats signés avec les laboratoires, c’est au tour d’un autre pays de menacer d’ouvrir une enquête sur l’achat de vaccins.
Ainsi, le nouveau président du Costa Rica Rodrigo Chaves, en place depuis le 8 mai, a déclaré: “Nous allons mener une enquête sur les raisons qui ont poussé (le gouvernement antérieur) à acheter autant de doses alors qu’il disposait des informations confirmant que le marché était saturé”. Le chef de l’Etat a déploré que son pays ait dépensé des millions de dollars en vaccins au moment où le taux de vaccination était en chute libre.
Dans la foulée, la ministre de la santé Jocelyn Chacón a annoncé la suppression de l’obligation vaccinale imposée par le précédent gouvernement.
– Des assureurs américains prévoient d’attaquer les fabricants de vaccins Covid
Suite à une explosion des prestations pour décès en 2021 (1ère année de la vaccination C0VlD), plusieurs assureurs seraient sur le point d’intenter une action en justice contre les fabricants de vaccins, indique la chaîne en ligne Just the News en citant un épidémiologiste réputé de l’Université de Yale, le Dr Harvey Risch
La compagnie OneAmerica a constaté en décembre 2021 une hausse de 40% des décès parmi ses assurés en âge de travailler. La société Lincoln National rapporte avoir dû augmenter ses prestations de 163% en 2021: 1,4 milliard de dollars contre 548 millions en 2020.
Harvey Risch s’attend à ce que les assurance-vie demandent une compensation financière aux fabricants pour couvrir les « réclamations de mortalité précoce inattendue », car ils « ont un risque financier majeur qu’ils doivent trouver comment gérer ».
Les actuaires des assureurs avaient estimé que les vaccinés COVID « vivraient plus longtemps qu’ils ne l’ont fait » sur la base de fausses déclarations sur « la mortalité toutes causes confondues … selon les essais [cliniques] originaux », a déclaré Risch à l’émission télévisée « Just the News, Not Noise ».
– « Record d’effets graves et de décès », affirme un microbiologiste de l’Université de Bordeaux
Jean-Paul BOURDINEAUD, titulaire d’un doctorat en biologie cellulaire et microbiologie. Il est professeur de biochimie et toxicologie environnementales à l’Université de Bordeaux. Il est éditeur associé du Journal of Toxicological Sciences et du International Journal of Molecular Sciences, section Molecular Role of Xenobiotics. Il nous parle des injections anti-Covid: « Jamais un autre vaccin n’a provoqué autant de décès et d’effets secondaires graves en si peu de temps. En plus sa durée de protection est très courte. »
– Quatre jeunes médecins vaccinés meurent dans deux hôpitaux de Toronto
Trois jeunes docteurs de l’hôpital Trillum Health à Mississauga, près de Toronto (Canada) sont décédés à mi juillet, quelques jours après que leur établissement a commencé à injecter au personnel une 4e injection « anti-Covid ». Un 4e médecin est mort dans les mêmes circonstances à l’hôpital North York General, également proche de la capitale de l’Ontario. Les hôpitaux ont confirmé ces décès tout en niant un lien quelconque avec les vaccins.
En haut: Dr Lorne Segall, Dr Jakub Sawicki. En bas, Dr Stephen McKenzie, Dr Paul Hannam (de g. à d.)
L’affaire a été révélée le 24 juillet par l’entrepreneur étasunien Steve Kirsch, qui diffuse des contre-informations sur les vaccins: « Quelle est la probabilité, demande-t-il, que 3 jeunes médecins ayant reçu leur 4ème dose, meurent à quelques jours d’intervalle dans le même hôpital. Sans compter le docteur décédé la même semaine au North York General. Combien d’autres « coïncidences » les gens voudront-ils encore accepter? Il faut stopper ces injections! »
C’est seulement 3 jours après la diffusion de cette alerte sur les réseaux sociaux que le quotidien Toronto Sun annonce que les deux hôpitaux ont confirmé ces décès, « tentant d’annuler les commérages et les spéculations sur les réseaux sociaux« . Le journal cite uniquement des responsables hospitaliers qui nient tout lien avec la vaccination. L’article n’expose aucun contre-argument ni investigation indépendante sur cette affaire.
– Etats-Unis: médecin militaire, elle témoigne sous serment qu’elle a reçu l’ordre de « dissimuler » les lésions causées par les vaccins
La Dre Theresa Long, chirurgienne de brigade pour la 1re brigade d’aviation, à Ft. Rucker, Alabama, a précisé devant un tribunal que cet ordre faisait suite à une directive de l’administration Biden.
Elle a présenté des données montrant que les décès de militaires dus aux vaccins dépassent ceux dus au COVID-19 lui-même.
Le moral est en baisse dans l’armée, a-t-elle témoigné, les soldats étant désespérés par la pression pour se faire vacciner, et certains ont même des pensées suicidaires. La Dre Long a déclaré qu’elle était au courant d’au moins deux personnes qui se sont suicidées à cause de la pression et de la menace de punition en cas de refus.
– La police néo-zélandaise envisage une enquête sur les décès liés aux vaccins
La convergence et la multiplication de ces études sur le rôle délétère des vaccins interrogent de nombreux professionnels de santé. C’est le cas en Nouvelle-Zélande où le collectif « New Zealand Doctors Speaking Out with Science » a adressé une lettre officielle à la police pour réclamer une telle enquête sur les décès liés au vaccin.
– Des Etats et des scientifiques américains exigent de l’Etat fédéral la lumière et la justice sur la gestion du Covid
Le Texas attaque Joe Biden et l’État fédéral pour la campagne de censure mise en place sur les réseaux sociaux, notamment contre des épidémiologistes et certains médias qui remettaient en cause les mesures sanitaires.
Le Missouri et la Louisiane viennent de gagner devant un juge fédéral le droit d’avoir un accès intégral aux données de l’État fédéral pour mettre en lumière la vérité sur la politique sanitaire américaine inhérente à la gestion de la « pandémie » de Covid-19.
Un certain nombre d’Etats ont rétabli l’autorisation de prescrire des traitements précoces comme l’ivermectine.
Le Dr Jayanta Bhattacharya, professeur de médecine réputé à l’université Stanford, avertit le New York Times qu’il devra prendre ses responsabilités pour avoir mené des « campagnes de désinformation » pour soutenir les confinements, les fermetures d’écoles et « l’hypocondrie covidiste institutionnelle » depuis plus de deux ans. Cette campagne incluait des diffamation de scientifiques en désaccord avec ces politiques, ajoute-t-il en précisant qu’il en a lui-même été victime.
Enfin, le Daily Mail nous révèle que les Américains assistent à une vague de démissions massive au sein des institutions de santé américaines (voir article de Covidhub à ce sujet)
– Suède: plus de gens hospitalisés pour effets du vaccin que pour le Covid
Il existe maintenant des données officielles de la Suède, à savoir de la « Medical Products Agency », l’autorité d’approbation et de surveillance des médicaments en Suède. Et cela confirme que les « vaccinations corona » ont provoqué une augmentation significative des effets secondaires, en particulier des cas graves et des décès. https://freie-impfentscheidung.de/schweden-krankenhaus-wegen-impfnebenwirkungen/
De même:
– Les enfants britanniques ont 52% de risques supplémentaires de mourir après une injection Covid
– Le Portugal champion de la vaccination et No 1 des cas de Covid
– 4e dose en Allemagne: désaccord entre le ministre et son M. Vaccin
Alors que le ministre de la Santé allemand, Karl Lauterbach, vient de recommander une quatrième dose de vaccin Covid pour les moins de 60 ans, le chef de la Commission permanente des vaccinations Thomas Mertens s’y est opposé. De son côté, la Fédération allemande des hôpitaux demande le retrait de l’obligation vaccinale après la révélation d’effets secondaires massifs.
– Un tribunal italien ordonne l’analyse des vaccins ARN
Le tribunal de Pesaro, saisi par un enseignant réfractaire à l’obligation vaccinale, a commis un expert pour identifier le contenu des vaccins anti-Covid à ARN messager Moderna et Pfizer/BioNTech. Ces analyses seront réalisées en septembre, a précisé l’avocate Nicoletta Morante. Il s’agit selon elle « d’une première en Italie, et peut-être en Europe ».
– L’Argentine va indemniser les victimes d’effets indésirables
Fin juillet, sans résonance internationale, le gouvernement argentin a établi une procédure «d’indemnisation» pour les personnes qui auraient souffert d’«effets indésirables» après s’être vus imposer le «vaccin destiné à générer l’immunité acquise contre le Covid-19, dans le cadre du Plan stratégique de santé approuvé le 29 décembre 2020». L’article de FranceSoir
Par ailleurs, l’avocat argentin Augusto German Roux, ayant participé en 2020 aux essais cliniques de Pfizer en Argentine, témoigne de ses mésaventures suite à sa propre vaccination. Entre effets secondaires, diagnostics médicaux erronés et secret défense, il est catégorique : « C’est criminel ». Il n’a cessé d’interpeller les autorités sanitaires de son pays.
Image en vedette : dessin de azo – azo.centerblog.net
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Source : Lire l'article complet par Mondialisation.ca
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