Les promesses électorales en matière fiscale engagent souvent ceux qui les tiennent. Il en a été ainsi, lors du premier quinquennat d’Emmanuel Macron, pour le meilleur (citons l’adoption de la flat tax de 30 % sur la partie mobilière des revenus du capital et des plus-values, ou encore la diminution de 33,33 à 25 % du taux […]
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