De nouvelles analyses sur les lunettes de Delphine Jubillar ont été réalisées par une spécialiste en identification par empreintes génétiques.
Les résultats semblent relancer les suspicions envers le principal suspect, son mari Cédric. En effet, l’expertise révèle la présence de l’ADN de la victime ainsi que le sien. Comme le relate Le Point, ces analyses démontrent également que le profil génétique de l’amant de Delphine Jubillar et celui de sa compagne ne se trouvaient pas dans les montures de la jeune femme disparue.
En effet, Cédric Jubillar tente d’orienter les soupçons sur ces deux suspects. Les résultats permettent d’écarter cette hypothèse. Une source proche de l’enquête explique dans Le Parisien, “S’il n’y a pas d’autre ADN que ceux du couple, cela évacue la piste d’une tierce personne”.
De plus, la thèse selon laquelle les lunettes se seraient brisées après une dispute violente en sort renforcée. Celles-ci avaient déjà été analysées par la Direction générale de l’armement (DGA). Les conclusions étaient que les dommages observés sur la paire de lunettes sont la conséquence « d’efforts dynamiques » appliqués de « l’extérieur vers l’intérieur ».
Cédric Jubillar nie toute dispute. Il avait affirmé que les lunettes “étaient cassées depuis un moment”. La thèse d’une violente bagarre entre les époux refait surface.
Source : Actu Forces de l’ordre
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