En poste au commissariat de Nîmes, une jeune policière adjoint, correspondait avec deux détenus qui avaient des téléphones en prison.
En septembre 2021, une fouille de cellule est opérée à la prison. Les téléphones de ses amis du quartier sont saisis. Comme le relate Midi-Libre, un officier de police judiciaire découvre que l’une des personnes contactées par les détenus est policière adjointe au commissariat de Nîmes.
Comme l’explique le quotidien régional, l’un des détenus lui annonçait qu’il allait être placé en garde à vue. “T’es sûr ? C’est bon. T’inquiètes. Tu as besoin de quoi ? J’y serai à 6 heures (NDLR : au commissariat) “, lui répond la jeune femme après avoir vérifié l’information sur le registre des gardés à vue.
La policière a été jugée. Le tribunal l’a condamné à six mois de prison avec sursis. La peine ne sera pas inscrite à son casier judiciaire. Elle a l’interdiction d’exercer le métier de policier et gendarme pour une durée de cinq ans.
Source : Actu Forces de l’ordre
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