par Gilbert Guingant.
Vigilance ! La Nupes triomphait pour croire avoir limité la « loi maintenant provisoirement un dispositif de veille et de sécurité sanitaire en matière de lutte contre la Covid‑19 ». Il ne faut pas. En fait, c’est un véridique « état d’urgence latent » qui peut-être dégainé à tout instant. Un moyen sournois de contourner l’absence de majorité absolue. Démonstration :
1. En 2 temps et 3 mouvements :
Soit une suite d’escamotages emboités qui se comprend en entrant dans le détail.
« On ne me la fait pas, Madame Borne. Rien que le titre, d’abord : « Projet de loi MAINTENANT PROVISOIREMENT un dispositif de veille et de sécurité sanitaire en matière de lutte contre la Covid‑19 ». Si c’est maintenu, même provisoirement (jusqu’au 31 mars 2023 quand même…), c’est que ce n’est pas suspendu.
Dans un formidable tour de passe-passe, l’article 1er déclare tout guillerettement, ni vu ni connu, qu’il suffit de remplacer dans la loi du 11 mai 2020, la date du « 31 juillet 2022 » par …celle du « 31 mars 2023 ». Soit absolument aucune modification sur le fond…
« Mais qu’est-ce que c’est que cette loi du 11 mai 2020 ? Je vous le donne en mille ! C’est là, je cite, « loi PROROGEANT L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE » ! Et c’est là qu’est toute l’ARNAQUE de cette loi. Pour appliquer « éventuellement » ces mesures dans les DOM-TOM, le gouvernement prévoit de MAINTENIR les OUTILS qui permettent leur mise en œuvre. Concrètement, il s’agit de conserver le dispositif de la base de données SI-DEP (qui centralise le nom et le statut vaccinal des personnes passant un test PCR), ainsi que l’application « Contact COVID » qui permet d’identifier et prévenir les « cas contact ».
« Là encore, ce n’est pas possible en « régime normal » : il est interdit constitutionnellement au gouvernement de créer et d’utiliser un fichier contenant des données de patients. C’est une violation du secret médical. Sauf… dans le cadre de l’État d’urgence sanitaire, et ce, grâce à la loi… du 11 mai 2020 ! » La boucle est bouclée. Mais les tours de passe-passe continuent ! Nous n’en avons pas fini avec les casse-têtes des immenses pervers…
• https://reseauinternational.net/Après-le-31-juillet-2022-il-faut-sauver-à-tout-prix-l’épidémie-en-toute-illegalite d’après Aimsib.org (Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante)
Alors pourquoi ils font ça ? Mon interprétation est la suivante : le gouvernement a besoin à tout prix de maintenir la base SI-DEP pour continuer à faire vivre artificiellement l’épidémie de COVID. Sans cette base de données, on pourrait certes toujours faire des tests PCR. Mais que se passerait-il ?
« Les testés positifs n’iraient de toute façon que très peu chez leur médecin (puisqu’aucun traitement n’est autorisé), à condition d’ailleurs qu’ils soient vraiment malades. Mais surtout, ils ne seraient plus… comptabilisés ». Gravissime ! Dans le dispositif frauduleux leur seule utilité aura été d’être comptabilisés. Même plusieurs fois.
2. Pourquoi le récit de fiction du Covid doit demeurer intact ne serait-ce qu’un an ?
Autrement dit, toute cette nouvelle façon vicieuse de définir une épidémie qui est apparue avec le COVID, en fonction du « nombre de nouveau cas », s’effondrerait. Il faudrait revenir aux bons vieux indicateurs : nombre de consultations chez les médecins généralistes, estimé chaque semaine par le réseau Sentinelles.
« Et pour vous donner une idée, le taux de consultation pour COVID, la semaine dernière (4 au 10 juillet), c’est-à-dire l’INCIDENCE, était de 90/100 000 habitants, soit très loin des plus de 1255/100 000 habitants annoncés par Santé Publique France, sur la base des « faux cas positifs » déclarés dans la base SI-DEP pour cette même semaine. 14 fois moins ! Cela change tout, non ? » Grossissement de 14 fois. Leur supposée lutte contre le Covid, d’un bout à l’autre, aura surtout été une immense fraude sur les chiffres.
• Plus de tests selfies = rapide déclin épidémique
malheureusement du 30 Octobre 2020…
« Sans SI-DEP, il n’y a plus d’épidémie. Et sans loi « maintenant provisoirement un dispositif de veille », il n’y aurait plus de SI-DEP ». Ce Qu’il Fallait Démontrer ? « Il faut et il suffit, pour le gouvernement, à tout prix maintenir le narratif COVID. Qu’elle nous fasse encore une saison, la Peste 2.0, cet automne-hiver. Pour justifier les hôpitaux qui vont craquer, pour expliquer au maximum, au 20 h et sur BFM, à coup de graphiques et de chiffres de faux tests PCR, le surplus à venir des morts, des malades, qui depuis deux ans ont subi des retards et annulations de soins, sans oublier les effets indésirables des supers vaccins COVID qui ont si bien déréglé la problématique ».
3. Ce qui n’est pas dit dans la loi va… faire loi
Et avec un peu de chance, avec un bon variant et des tests bien bâclés, on pourra, en cas de… crise sociale, politique ou autre, créer une épidémie de toute pièce, justifiant… un nouvel État d’urgence, sanitaire, évidemment ! Mais, encore une fois, sans faux tests et sans base SI-DEP, ce ne serait pas possible…
« On résume. Le Conseil scientifique annonce le 23 juin sa disparition au 31 juillet, laissant la place, pour le remplacer, à un « Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires », retoqué par le Conseil d’État le lendemain. Nouveau comité dont on ne trouve nulle trace dans le projet de loi actuellement discuté. » Ce qui n’est pas inscrit dans la loi sera tout de même utilisé : l’état d’urgence, même basé sur une fiction d’épidémie, le permet déjà.
Ce qui n’empêche pas le nouveau ministre de la Santé, François Braun, de déclarer lors d’une audition devant l’Assemblée nationale le 5 juillet, soit après l’avis négatif du Conseil d’État, que « le Conseil scientifique va disparaître, va partir vers un comité de vigilance, de surveillance, de veille ». Et d’annoncer que ses membres seront nommés par décret.
Ah bon ? Mais c’est écrit où ça ? Dans quelle loi ? Allo le Conseil constitutionnel, allo les députés, allo les sénateurs ? Y a quelqu’un au bout du fil ? Y a rien qui vous choque ? On laisse passer ? Plus besoin de faire des lois ? » Ce qui n’est pas dit dans la loi fait loi. Désormais.
« Le gouvernement annonce, et plus besoin de voter ? » Donc le manque de majorité absolue est feinté. Mais surtout illégalement tout de même.
« Ah, nos parlementaires sont formidables ! Au lieu de s’insurger contre ce flagrant délit… de coup d’État, ils discutent, pinaillent. Il faut dire que les députés de la nouvelle assemblée, pas plus que ceux de la précédente, ne pigent visiblement que dalle à l’entourloupe qu’on est en train de nous jouer. » Les combines rarement résistent aux examens méticuleux et aux démontages, pas à pas, des constructions en trompe-l’œil. Ce qui est bien le cas ici.
« Sans s’en rendre compte, les parlementaires sont en passe de fournir au gouvernement les joujoux (SI-DEP, tests) pour fabriquer artificiellement des vagues, des menaces à venir et des recommandations des injections superboostantes dans ce qui reste d’épaules et de système immunitaire aux Français. »
C’est tout le projet de loi qu’il faut refuser tout net. Et ne pas entrer dans les détails. Les apparences (plus de pass’ vaccinal, etc.) leurrent absolument. Les fictions ainsi bâclées l’emporteraient sur les réalités concrètes ?
Le prix à payer ? L’état d’urgence basé sur du faux et l’enfer vécu depuis le printemps 2020 qui reviendraient. Contre l’avis de tout le monde !
Merci et infiniment au mouvement qui nous enveloppe…
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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