par Oscar Fortin.
Cette nouvelle a donné lieu à beaucoup de spéculations sur la cause de sa mort, aucunement prévisible à court terme, selon son médecin personnel.
Journalistes et écrivains se sont penchés sur cette mort, plutôt suspecte. Plusieurs écrits, sur ce sujet, convergent dans le sens d’une mort criminelle, causée par un empoisonnement, froidement injecté au moment de son sommeil.
Selon les analystes et spéculateurs, deux personnages sont mis en évidence, comme acteurs principaux, pour procéder à l’empoisonnement et pour s’assurer que les conditions de sa mort soient reliées à sa condition de santé. Il ne saurait être question d’une autopsie en pareil cas.
Ces deux hauts fonctionnaires du Vatican sont nul autre que le cardinal Villot, secrétaire d’État du Vatican, et le second, Marcinkus, l’Évêque en charge de la Banque du Vatican. Ils ont été identifiés comme pouvant être les auteurs de cette mise en scène de la mort de ce pape.
Un nouveau conclave s’imposera pour décider d’un nouveau Pape qui devrait normalement faire la lumière sur les conditions de la mort du Pape Jean-Paul I.
Le cardinal Karol Wojtyla, ce grand personnage de la lutte contre le communisme en Pologne, sera, cette fois, l’élu majoritaire du Conclave. Il se présente comme l’homme fort pouvant mettre un terme à tout ce qui peut avoir odeur de socialisme et de communisme en Amérique latine. Il s’est fait proche du dictateur Pinochet et peu critique des crimes commis par ce dernier.
Un point de vue tout à fait différent de son prédécesseur, le pape Jean-Paul I. qui était plutôt favorable à la théologie de libération, amplement répandue en Amérique latine et dans les Antilles. Il faut croire également que l’arrivée de ce Pape, peu connu, n’était pas sans soulever des interrogations sur la capacité de ce dernier à gérer les destinées de l’Église. Autant, le Peuple de Dieu, dans son ensemble l’aimait autant les collègues à l’interne doutaient de ses jugements et décisions. Il faut croire que Karol Wojtyla partageait beaucoup de ces observations.
Les premiers défis du successeur du Pape Jean-Paul 1er seront, évidemment, faire la lumière sur la ou les causes de la mort de ce dernier. Le Peuple de Dieu et la communauté internationale veulent savoir ce qui a entrainé Alberto Luciani, pape J.P 1er, à une mort subite, à 33 jours de son Pontificat.
Jean-Paul II et les causes de la mort de Jean-Paul I
À ce que je sache aucune initiative a été prise pour lever le voile sur cette mort suspecte. Les 25 années de son pontificat ne lui ont pas permis de se consacrer à cette tâche. Il en fut de même avec le Pape Benoît XVI. À ce que je sache, la cause de cette mort n’intéressait plus les autorités en place.
Par contre, le point le plus surprenant est que les deux suspects identifiés par des analystes et auteurs ont vite rejoint le nouveau Pape en la personne de Jean-Paul II. Ils ont été des personnes de confiance du nouveau Pape.
Conclusion :
Là où des pouvoirs s’imposent, les plus forts s’en tirent toujours mieux que les autres.
Il faut noter ici, que le pape J.P. II a demandé, sur son lit de mort, que toutes ses archives soient détruites. À chacun d’en juger.
• https://www.vaticannews.va/2020-08/election-pape-jean-paul-ier-albino-luciani-concile-vatican-2
source : Humanisme
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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