par Nicolas Bonnal.
On a donc le retour du vaccin obligatoire, des confinements, des pénuries et la grande suppression de l’électricité car il est bon disent nos médias aux ordres (jusqu’où iront nos génocidaires journalistes si dignes de nos génocidaires élites ?) de protéger le climat ou la terre ou Gaïa ou je ne sais quoi. La guerre contre la Russie a servi depuis le début comme je l’ai dit à nous préparer au grand reset et à la coupure d’énergie si nécessaire pour mettre fin au réchauffement climatique – c’est-à-dire à la vie humaine qui va avec. Un lecteur américain me le disait il y a cinq ou six ans : en cas de coupure totale de courant (ce qui est le seul moyen avéré de protéger la planète des éruptions solaires), 90% de la population disparaitrait en occident. On remarquera que les partis politiques dits d’opposition s’en foutent (RN) quand ils n’approuvent pas (Nupes, qui est un simple avatar du PS comme l’a rappelé Castelnau).
Mais tout cela nous est imposé par les élites et par Davos et tout cela est basé sur la guerre contre la Russie. Or on ne la gagne pas et cela se sait maintenant en haut lieu et en bas lieu mais tout le monde s’en fout ou presque. L’objectif de la guerre contre la Russie est de nous faire crever, pas de reprendre la Crimée (on en est incapables de toute manière, mais c’est un autre problème). Orwell a bien dit qu’une guerre ingagnable est une guerre bonne pour l’élite qui ruine la population et qui aplatit le niveau de vie donc la capacité de réagir. Les occidentaux râlaient dans les années 60 et 70 quand leur niveau de vie augmentait, aujourd’hui qu’il s’effondre, ils rasent les murs ; comme dit Nietzsche dans la Volonté de puissance (§ 154) « chez le petit peuple l’appétit vient en mangeant ». On a commencé à le lui couper sous Mitterrand cet appétit au petit peuple : on appelait cela le plan de rigueur. Il y en eut plusieurs. Comme la gauche tenait les syndicats et le reste, tout le monde s’écrasa. Relisez ou découvrez pour rire « De la reconquête » de André Bercoff, un livre qui se demandait si l’on devait continuer d’acheter… du gaz à la Russie, pardon l’URSS, alors considérée immorale. Quand je vous dis qu’en occident on vit dans un présent permanent.
Mais concluons : le malthusianisme obtus est la philosophie de base de nos maîtres anglo-saxons. Le pauvre (99% de la population) n’a pas été « invité au banquet de la nature », il doit donc crever, dût-on comme Macron lui couper le courant qu’on gardera pour les efforts zélés de Zelensky.
C’est Poutine qui guette une révolution européenne : et si elle n’avait pas lieu ?
Nicolas Bonnal
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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