Ce soir, sans commentaire, j’ai voulu partager avec vous ceci…
A vous d’exprimer votre ressenti !
Qu’il est plus important d’être debout que de vivre
Ils peuvent assassiner nos corps mais pas nos âmes
Le souffle du néant n’éteindra pas la flamme
Ici toi mon ami que c’est pas l’ignorance
Jamais qui sera le drapeau de notre France
Source : Youtube
Paroles :
Tous les gamins du monde charbon sur du papier
Dessineront toujours ton visage, ô Liberté
Nos crayons comme un poing levé contre des balles
Pour montrer à l’obscurité qui tient la flamme
Ressers les rangs puis taille la mine à ton crayon
Dis petit prince, dis redessine-moi l’horizon
Des libertés qui font la vie de nos bistrots
Des sourires que nous tirent tous nos potes au pinceau
Tous les gamins du monde charbon sur du papier
Dessineront toujours ton visage, ô Liberté
Ici, oui mon ami, que c’est pas l’ignorance
Jamais qui sera le drapeau de notre France
À l’encre du crayon, à l’encre de ma plume
À l’encre de nos yeux, au combat sous l’enclume
Menacés mais libre toujours et contre tout
Que rien jamais ne mettra ma France à genoux
Tous les gamins du monde charbon sur du papier
Dessineront toujours ton visage Liberté
À ceux qui plieront jamais sous la tyrannie
Que nous sommes tous les enfants du même pays
Ce n’est pas mon pays ce soir qu’on assassine
C’est l’histoire de l’Homme, c’est Pierrot, c’est Colombine
C’est Michel-Ange puis c’est Lascaux puis c’est Paris
C’est la lumière n’en déplaise à la tyrannie
C’est un peu de nous qui est parti avec nos frères
Et si vient l’obscur, nous avons la lumière
Puis il n’est rien de plus fort que le don de soi
Que la main tendue vers celui qui vous combat
Je suis la France puis nous sommes les enfants du libre
Ici ça fait longtemps qu’on brûle plus les livres
Des violences enfants de nos sociétés malades
De nos arts pris sous les terreurs des fusillades
À Cabu, à Tignous, à Charb, à Wolinski
À tous les autres et puis aux fils de mon pays
À nos enfants, misère, qui savent même plus lire
Ils est temps mon pays, oui de redevenir
Allez la Terre, allez la France, allez mes frères
De tous les horizons, de toutes les frontières
Que jamais ne plient nos genoux devant la haine
Puisque toujours la force se nourrit de la peine
Ton pays chante ton prénom pour que là-haut
Pour que Cabu boive un canon avec Mano
Si nous chantons puis si nous chanterons encore
La liberté aux mémoires de nos amis morts
Autant que dessineront tous les gamins du monde
Ton nom sur les arbres et puis parfois des jocondes
Aux pinceaux qui font les Vinci, les Wolinski
Puis tous nos frères qui font les cultures des pays
Ami c’est pas fini, ami il reste à boire
Dans nos sanglots qui viennent faire pleurer nos buvards
Retourner à la mine, à la mine du crayon
Contre leurs champs de mines en tous genres, mort aux cons
C’est pas la prière des bons dieux que nous chantons
C’est celle de nos enfants libres sous leurs crayons
Un trait pour mettre un peu de couleur à nos cœurs
Pour dessiner des jours prochains, des jours meilleurs
Et si c’est un crayon, oui contre la mitraille
Alors que le papier soit le champ de bataille
Que nos plumes à jamais gardent toujours leur libre
Qu’il est plus important d’être debout que de vivre
Ils peuvent assassiner nos corps mais pas nos âmes
Le souffle du néant n’éteindra pas la flamme
Tous les gamins du monde charbon sur du papier
Dessineront toujours ton visage, ô Liberté
Tous les gamins du monde charbon sur du papier
Dessineront toujours ton visage, ô Liberté
Ici toi mon ami que c’est pas l’ignorance
Jamais qui sera le drapeau de notre France
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