Schwab, Gates et autres Harari sont considérés depuis la crise covid comme les grands architectes de la réorganisation de la planète au travers du Great reset. Et cette redéfinition de la vie sur terre passe par la 4ème révolution industrielle qui doit impacter la nature même de l’être humain, allant jusqu’à remettre en question son intimité, sa conscience et bien sûr la nature biologique et naturelle de son corps. Ce sinistre projet, pourtant choquant par sa transgression de toutes les législations, aurait dû faire l’objet d’enquêtes par les police et justice des différents Etats pour mise en danger massive des populations. Pourtant, comme vous avez pu le constater cette idéologie néo-nazie ne trouve aucun obstacle en dehors de quelques voix qui crient dans le désert du Net. Pourquoi? Parce que tout simplement, ces héros du 21ème siècle sont des pions chargés de porter sur la scène médiatique un projet que nous pourrions faire remonter au minimum au 18ème siècle.
La corrélation entre population et production
Thomas Malthus
Thomas Malthus. Cet économiste britannique du 18ème-19ème, simultanément pasteur anglican, est une figure universellement reconnue comme ayant inlassablement oeuvré à diaboliser la croissance démographique, et ses conséquences sur les ressources naturelles et /ou manufacturées. Ses travaux s’appuient sur une « prédiction arithmétique » qui voudrait :
« (…) que sans freins, la population augmente de façon exponentielle ou géométrique (par exemple : 1, 2, 4, 8, 16, 32…) tandis que les ressources ne croissent que de façon arithmétique (1, 2, 3, 4, 5, 6…).
Il en conclut le caractère inévitable de catastrophes démographiques, à moins de limiter la croissance de la population. Malthus préconise ainsi une régulation volontaire des naissances, la « contrainte morale » : les couples prévoyants, en retardant l’âge du mariage et en pratiquant la chasteté jusqu’au mariage, seraient enclins à n’avoir que le nombre d’enfants qu’ils sont certains de pouvoir entretenir.
Il prône aussi l’arrêt de toute aide aux nécessiteux, en opposition aux lois de Speenhamland et aux propositions de William Godwin qui souhaite généraliser l’assistance aux pauvres. »
Ses démonstrations mathématiques ne devaient pas être si convaincantes finalement. Pierre-Joseph Proudhon lui répondra quelques années plus tard qu’il était le seul homme de trop sur la terre. Par ailleurs, vous trouverez sur Wikipédia des références actualisées qui démontent un minimum la pensée malthusienne. https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Malthus
«Il n’y a qu’un seul homme de trop sur la Terre, c’est M. Malthus.»
Proudhon, Système des contradictions économiques ou Philosophie de la misère, 1848
L’influence de Malthus sur Darwin
Charles Darwin, paléontologue britannique, va s’intéresser au début du 19ème siècle aux origines des espèces. Il va formuler sa théorie de l’évolution qui explique que l’évolution biologique des espèces s’explique par la sélection naturelle et la concurrence vitale. Qu’il l’ait souhaité ou pas, ses travaux vont ouvrir une voie royale à l’eugénisme, y compris au concept de l’Homme nouveau, défendu simultanément par le nazisme et le soviétisme.
Revenons à l’influence de Darwin par Malthus. Voici un extrait d’article qui synthétise et structure à merveille les 3 axes concernés par cette influence.
Selon la thèse la plus communément admise, Malthus aurait apporté à Darwin l’idée selon laquelle une pression constante s’exerce sur l’ensemble des organismes vivants du fait de leur propension à se reproduire en excès par rapport à la quantité de ressources disponibles.
D’après cette interprétation minimale, Darwin aurait adopté de Malthus la seule idée qu’une contrainte forte (la pénurie de moyens de subsistance) maintient le nombre d’organismes de chaque espèce à un certain niveau. Pour les tenants de la seconde thèse, l’apport de Malthus aurait été plus spécifique : non seulement Darwin aurait intégré l’idée qu’il y a un nombre limités de places dans la nature mais, encore, que la place de chaque espèce est acquise au prix d’une âpre « lutte pour l’existence ».
Par rapport à la première thèse, la seconde maintient que c’est grâce à Malthus que Darwin aurait commencé à entrevoir les conséquences de la limite des ressources. Comme certains l’ont affirmé, si la notion de lutte pour l’existence était déjà discutée à l’époque (notamment dans les travaux d’Erasmus Darwin, de Charles Lyell et de Jean-Baptiste Lamarck, selon Gavin de Beer) , c’est à travers sa lecture de Malthus que Darwin aurait réalisé l’ampleur de cette lutte dans la nature.
Bien évidemment, reconnaître le principe d’une lutte pour l’existence entre les espèces ne revient pas à admettre que cette lutte puisse prendre place entre les individus d’une même espèce. C’est précisément sur ce point précis qu’insistent les tenants de la troisième thèse. Pour eux, Malthus aurait permis à Darwin de réaliser que la lutte pour l’existence se déroule également à l’intérieur d’une même espèce ou d’une même tribu, « notamment à travers la suppression des individus les plus faibles.
Pour exprimer de façon condensée la gradation de ces trois thèses : grâce à Malthus, Darwin aurait apprécié 1° la contrainte forte qu’exerce la limite des ressources sur l’accroissement des populations, 2° la lutte pour l’existence qui résulte de cette contrainte entre les espèces et 3° entre les individus d’une même espèce.
La dette de Darwin envers la théorie des populations de Malthus : une approche structurelle https://www.cairn.info/revue-bulletin-d-histoire-et-d-epistemologie-des-sciences-de-la-vie-2013-2-page-171.htm
la-dette-de-darwin-envers-la-theorie-des-populations-de-malthus-une-approche-structurelle-cairn.info_Télécharger
La Bombe P (comme population)
De larges portes sont donc ouvertes à des scientifiques et autres chercheurs qui veulent bien s’engouffrer dans ce monde eugéniste. Le mépris des masses peu éduquées et peu intelligentes ne cessera d’augmenter pour finir par devenir une conviction: « les 80% sucent les 20%« . En clair, la terre est peuplée de ces bouches inutiles dont on devrait se passer pour se concentrer sur des projets plus importants.
L’argent coule à flot en direction des académies et des laboratoires qui veulent bien jouer le jeu tel qu’expliqué aujourd’hui au travers des interventions de Harari, de Gates et de Schwab. C’est dans ce contexte qu’en 1968, un professeur de Stanford publiera un livre traitant de ses travaux sur la surpopulation: la Bombe P. Un ouvrage intégré dans l’enseignement académique depuis des décennies et qui a influencé des milliers et des milliers d’universitaires à travers la planète.
Paul Ehrlich y traite la thèse selon laquelle une famine envahirait le monde au cours des années 70 et 80, due à la croissance de la population mondiale. Par conséquent, il demande des mesures politiques immédiates pour limiter cette catastrophe annoncée.
La thèse est exagérément pessimiste basée sur des « modèles mathématiques » qui valent ce qu’ils valent. Mais voilà, le monsieur est professeur à Stanford, et ses écrits défient ceux de n’importe quel autre livre. D’ailleurs, le succès est au rendez-vous. 2 millions d’exemplaires sont distribués et ancrent des sujets de population et d’environnement dans les années 60-70.
Controversé, le livre est critiqué pour son ton alarmiste et ses prédictions se sont révélées infondées et inexactes3. D’après Paul et Anne Ehrlich, leur analyse de la situation alimentaire est, à cette époque, effectivement erronée puisqu’elle sous-estime l’impact de la révolution verte et que la baisse de la croissance démographique dans les pays riches en Europe joue un rôle important dans la création d’excédents agricoles dans ces pays. Mais, toujours selon les auteurs, l’ouvrage a rempli son rôle en sensibilisant la population aux questions environnementales et en introduisant la taille de la population dans le débat sur l’avenir de l’humanité.
Wikipédia
Le Club de Rome se saisit du « problème » de surpopulation vs limitation des ressources. Une planification mondiale se met en place.
La même année de la parution très médiatisée de la Bombe P se créait opportunément à Rome un puissant think tank, sobrement appelé le Club de Rome. Son siège est à Winterthur/Suisse. Et l’on trouve un descriptif sommaire de cette organisation sur le site de l’Université de Genève. Il y est dit:
Le Club de Rome est une association internationale et non politique réunissant des scientifiques, des humanistes, des économistes, des professeurs, des fonctionnaires nationaux et internationaux préoccupés des problèmes complexes auxquels doivent faire face toutes les sociétés, tant industrialisées qu’en développement.
Curieusement, le site de l’Uni oublie de dire que les 2 cofondateurs sont:
- Alexander King, un chimiste britannique qui a planché sur la création d’explosifs dans le cadre de la 2ème guerre mondiale. Le père de King avait travaillé pour la Nobel Explosives Company et avait fini en tant que directeur du plus gros industriel britannique, l’Imperial Chemical Industries
- Aurelio Peccei, un grand industriel (Fiat, Alitalia, Olivetti).
De fait, les industries les plus polluantes et les moins humanistes sont parfaitement représentées au sein du Club de Rome, et ce depuis sa fondation. A relever l’implication active de l’OCDE et de la Fondation Rockfeller. Cette dernière organisa notamment une rencontre en Italie qui s’est conclue par la « déclaration de Bellagio » qui appelle à la planification mondiale à long terme. Soit la référence de base du Great reset de Schwab.
Matthias Schmelzer, « ‘Born in the corridors of the OECD’: the forgotten origins of the Club of Rome, transnational networks, and the 1970s in global history », Journal of Global History 12, 2017.
Perspectives on Planning: Proceedings of the OECD Working Symposium on Long-Range Forecasting and Planning [archive], Bellagio, Italie, le 27 octobre au 2 novembre 1968, Organisation de coopération et de développement économiques, 1969.
Au fil de son existence, le Club de Rome a accueilli aux côtés de ces stars de l’industrie, la reine Béatrix des Pays-Bas, un premier ministre indien, un prince saoudien, un ancien président du Mexique. De fait, il s’agit d’un lieu similaire au WEF où cohabitent les milliardaires des diverses industries, des scientifiques dédiées à la cause du plus fort, et des politiciens complaisants. Le mélange indigeste des genres qui existe depuis en tout cas le New Deal du président Roosevelt.
Du rapport Meadows de 1972 au Développement durable
En 1972, le Club de Rome commandite et publie un rapport, Les Limites à la croissance (dans un monde fini), qui traite de la croissance et ses effets sur l’environnement qui interpelle. Les chercheurs du MIT (principalement le couple Meadows) qui l’ont rédigé y remettent en question la croissance, tout en alertant sur une pénurie de ressources à venir et sur l’impact de l’activité industrielle sur l’environnement. Les concepts d’empreinte écologique et de développement durable y étaient déjà évoqués.
Cinq facteurs de danger étaient mis en avant : l’accélération de l’industrialisation, la croissance de la population mondiale, la malnutrition mondiale, l’épuisement de ressources naturelles, la dégradation de l’environnement. Dans les années 80, ces réflexions sont complétées pour donner naissance au développement durable.
Depuis, ce concept est omniprésent dans les textes des instances supranationales de leurs satellites, mais aussi en tant que label utilisé par les firmes transnationales.
Coup d’Etat planétaire, 2019
Dans un magnifique article, Fabrice Nicolino écrira Quoi qu’il en soit, le mot durable sert admirablement bien des intérêts innombrables, à commencer par ceux de l’industrie, moteur essentiel de la destruction du monde. La preuve en un graphique. Vous placez les dates pré-citées et vous relevez les années où l’évolution de ces variables-clés de l’environnement. Les modèles mathématiques ou l’arrivée de ministres de l’écologie dans les gouvernements n’ont, au mieux, eu aucun impact.
De fait, les industriels, les financiers et leurs politiciens aux commandes de la planification des ressources ne semblent avoir aucune intention de prendre soin du vivant.
Dennis Meadows
Dennis Meadows est l’époux de Donella, et il a participé à la rédaction du fameux rapport Meadows, financé par le Club de Rome. En 1972, le couple avait entre 30 et 31 ans. Quant à Jörgen Randers, il est de 1945 et avait juste 27 ans.
Alors, pensez-vous que ce trio avait les moyens et la connaissance nécessaires et suffisants pour développer un concept aussi lourd, qui révolutionnera la planète? On est une fois de plus dans le narratif de jeunes universitaires brillants qui développent produits et concepts qui révolutionnent la planète. des narratifs qui ont fait long feu.
Ce qui précède n’empêche pas de s’intéresser à ce que raconte Dennis, Donella étant décédée.. Voici un extrait traduit d’un entretien éminemment important que j’ai retrouvé et que vous trouverez en bas de page.
Le génocide décomplexé: Réduction de la population ET des libertés
https://video.wordpress.com/embed/hfyQT99Q?cover=1&preloadContent=metadata&useAverageColor=1&hd=1
La population est la variable à réduire de quelques milliards d’âmes si on veut vivre dans la paix, la prospérité, etc. Ca vous rappelle quelqu’un d’autre? Le spécialiste des vaccins vous en parle mieux que quiconque:
https://embed.ted.com/talks/lang/fr/bill_gates_innovating_to_zeroA regarder à partir de 3’50
En 2010, une journaliste française se posait la question de la réduction de la population mondiale. Audrey Garric a relevé que « le fonds des Nations Unies pour la population, UNFPA, a affirmé dans son rapport de 2009 sur l’état de la population mondiale, présenté lors de la conférence de Copenhague le 18 novembre 2009, que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale »[1].
Faut-il pour autant réduire la natalité dans les pays où elle est la plus élevée, à savoir les pays en développement ? Pas forcément car tout dépend de l’empreinte écologique des Etats, c’est-à-dire la multiplication entre le nombre d’habitants d’un territoire et leur impact sur l’environnement. Comme l’a souligné une étude de l’université de l’Oregon, chaque bébé qui naît aux Etats-Unis est responsable de l’émission de 1 644 tonnes de CO2, c’est-à-dire 5 fois plus qu’un bébé venant au monde en Chine et 91 fois plus qu’un enfant qui voit le jour au Bangladesh. Facteur aggravant pour les Américains, leur espérance de vie est relativement élevée (78 ans contre 72,9 ans pour la Chine et 62,8 ans pour le Bangladesh).
Suite à la publication de ce rapport UNFPA, la ministre danoise du Développement a par exemple souhaité que la limitation démographique soit reprise dans l’accord issu du sommet sur le climat de Copenhague de décembre 2009.
Il n’y a aucun secret. Tout est là. et les fact checkers qui disent le contraire mentent.
Le vaccin anti-Covid aurait-il un rôle à jouer pour atteindre les objectifs de réduction démographique?
Le grand public commence à comprendre que quelque chose ne tourne pas rond dans le comportement des dirigeants politiques de la terre. Déjà qu’ils semblent tous lire le même script, et qu’ils prennent simultanément des décisions similaires qui choquent par leur dimension contraignante pour ne pas dire coercitive. Ainsi, dans ce script, revient inlassablement la contrainte vaccinale anti-covid malgré la multiplication d’effets secondaires, dont certains sont graves, voire létaux.
Le constat quant à la létalité des produits dits vaccinaux avait été fait, il y a un an, ici même, par le Pasteur Martin Hoegger
Un nouveau syndrome pour justifier la mort de jeunes gens en pleine santé.
Face à un nombre croissant de morts qui demeurent inexpliquées, officiellement, on a introduit un syndrome nouveau, dit Syndrome de la mort soudaine de l’adulte!
Et voici ce qu’écrit la doctoresse Delépine:
Très tôt dans l’histoire des pseudovaccins ARNm, les médecins israéliens témoins les premiers de l’injection en masse de la population ont signalé ces morts subites, brutales qui les ont particulièrement choqués lorsqu’ils les observaient chez les jeunes qui ne risquaient rien du covid.[1][2] Alors aujourd’hui devant ce déni de réalité, n’hésitant pas à inventer une « maladie inconnue » pour innocenter les pseudo vaccins, on croit à un cauchemar.
Avant le Covid étaient décrites d’exceptionnelles « morts subites » (et encore plus rarissimes chez les jeunes) correspondant le plus souvent après les explorations post mortem biologiques et autopsiques à des troubles cardiaques congénitaux et/ou infarctus, AVC, ruptures d’anévrisme, sur des terrains à risque familiaux ou personnels, etc.. L’autopsie et les examens ne revenaient pas négatifs comme ce pseudo nouveau syndrome australien les décrit. On ne trouve rien ![3] On ne trouve aucune allusion au statut vaccinal des sujets concernés dans l’article. (…)
Le Dr Cole (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/5822) affirme que les décès « soudains » chez les jeunes sont causés par les injections covid[4]. Extrait de sa vidéo :
« Ces “morts soudaines” ? Quelle blague.
Il y a des gens qui sont venus avec un nouvel article l’autre jour et un nouveau syndrome : le syndrome de la mort soudaine de l’adulte (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6742).[5]
Ce syndrome SADS arrive parce que des personnes reçoivent une injection d’une toxine qui enflamme leur cœur.
Il y a eu des études précoces avec ces injections d’ARNm qui montrent qu’elles font gonfler le cœur, entraînant un manque de circulation, il n’y a plus assez d’oxygène dans le sang et donc cela entraîne une insuffisance cardiaque et la mort. (…)
Et maintenant on voit des centaines d’athlètes mourir alors qu’ils sont à leur top physique. (…)
« Nous devons nous lever contre cette injection avant que notre nouveau gouvernement n’impose la vax obligatoire y compris aux jeunes enfants ! »
Une corrélation entre taux de vaccination et intensité de l’épidémie?
Je me souviens d’un nombre important de scientifiques qui n’avaient de cesse d’alerter, ces deux dernières années sur la dangerosité de vacciner en période épidémique, dans la mesure où selon eux, cela alimenterait mutations et épidémies. Feu le professeur Montagnier était l’un de cela. L’idée fait son chemin et elle consisterait à penser que ces vaccins anti-covid semblent non seulement ne pas protéger les vaccinés contre la maladie, mais en plus, qu’il y aurait corrélation entre le taux de vaccination et l’intensité de l’épidémie. Et cette idée a été confirmée le plus officiellement du monde par LCI. Regardez plutôt ce petit passage sur le plateau de David Pujadas.
https://video.wordpress.com/embed/HEmAQEMj?cover=1&preloadContent=metadata&useAverageColor=1&hd=1
Infertilité par la vaccination?
Aux effets indésirables du vaccin covidien, il convient d’ajouter les pénuries organisées d’hydrocarbures et d’aliments de base. Tout cela réduira la population mondiale.
Résultats sur la natalité en Allemagne
Alors la question qui tue est la suivante : y a-t-il une volonté politique de réduction démographique d’ampleur planétaire, et couverte par les gouvernements?
La question du génocide me hante depuis de nombreuses années maintenant. Elle découlait naturellement de tout un tas d’informations officielles glanées au fil du temps. Ainsi, le choquant constat que les statistiques suisses approchaient le foyer (ménage) en tant que centre productif m’avait immédiatement mis la puce à l’oreille. Que fait-on des gens improductifs tels que les handicapés, personnes âgées, chômeurs, etc?
Ce n’est pas tout. Souvenez-vous de cet autre papier qui s’appuyait sur des rapports et des écrits officiels pour justifier la dépopulation!
Voici le Concept qui justifie tout
La géonomie est l’ancêtre du Développement durable et autre écologie de la haute finance. Extrait de Coup d’Etat planétaire, 2019
La géonomie est la science de la gestion rationnelle de la terre. Ce mot méconnu et non répertorié dans les dictionnaires a été créé en 1909 par le naturaliste et géographe roumain Grigore Antipa, architecte et gestionnaire des ressources naturelles des bassins du Danube et de la mer Noire. Son défi était à la fois de faciliter la navigation sur le fleuve et d’augmenter la production (poissons, cannes), tout en réduisant les colonies de moustiques. Le tout sans porter atteinte à la fonction des zones inondables et à l’équilibre écologique. Il développa un système de gestion qui permettrait de combiner, de rationaliser, et d’optimiser différentes variables liées à l’espace, sans détériorer l’équilibre naturel de l’écosystème environnant.
Ce concept sera repris dans les années 40 par Maurice-François Rouge de l’Institut d’urbanisme de Paris, une référence en la matière. Dans son ouvrage « La géonomie ou l’organisation de l’espace », celui-ci présente la géonomie comme « une discipline nouvelle […] distincte de l’urbanisme et de la géographie, c’est la science de l’organisation de l’espace, qui étudie les structures et les équilibres qui affectent l’occupation des sols, sous le triple aspect de la géographie, de la sociologie et de l’économie ».
Le concept va se développer avant de s’étendre à de multiples domaines. « La science, l’art et l’éthique, dont l’objet est de trouver pour l’espace-entendu dans sa réalité concrète et géographique, et considéré dans sa totalité aussi bien physique, chimique, biologique et humaine- les structures et les équilibres fonctionnels les plus propres à répondre à la totalité des besoins de l’homme, c’est –à-dire à ses besoins spirituels, comme à ses besoins matériels, esthétiques aussi bien que physiologiques ; la géonomie cherche à connaître, et s’efforce de réaliser la meilleure adaptation possible de l’espace et de la société. »
Plus tard, Maurice-François Rouge fera évoluer sa description de la géonomie dans le cadre de son cours d’Organisation de l’espace à l’École pratique des hautes études : « C’est un ensemble de connaissances scientifiques pris dans les sciences et disciplines de base (géographie physique et humaine, géologie, pédologie, climatologie, écologie, démographie, sociologie, économie…) qui sont mises à contribution pour décrire la réalité des espaces et les lois et conditions de leurs modifications possibles; ensuite une série de combinaisons de ces apports, aidées par différentes techniques (mathématiques, cartographiques, statistiques) qui constituent les moyens utilisés par le « géonome » dans son « art » de recherche des solutions les meilleures. »
A ce stade, la géonomie s’occupe de tout ce qui existe dans le monde et/ou détermine la vie de l’humanité. Elle est donc une description multifactorielle, holistique et englobante de l’espace naturel et humain qui, aidé de la science et la technologie, va se projeter dans l’espace et le temps afin de prédire l’impact de la gestion environnementale.
La convergence avec le rapport Brundtland est patente dans le désir d’appréhender et de modifier les espaces afin de poursuivre la croissance économique. Le concept de développement durable reprend le référentiel de la géonomie et en fait un élément central de la politique communautaire et unifiée de la planète.
Et puisque le développement durable propose une approche globale, car à la fois environnementale, sociétal et économique, il sera un des vecteurs de la globalisation, et de la fusion des espaces nationaux.
Et voici que pour aller dans le sens de ce qui précède, un outil-clé l’Agenda 21, va voir le jour en juin 1992, au « Sommet de la terre », à Rio (Brésil). Agenda 21 est un plan de travail qui planifie la gestion et le contrôle des territoires et de leurs ressources. Il découle d’une stratégie globale et cherche à l’ancrer localement. Uniformisation et hyper-contrôle de la gestion des collectivités territoriales deviennent possibles grâce à des actions et normes identiques à travers tous les Etats. Son préambule le présente en tant qu’unique solution pour sauver la planète. On nous explique d’abord que « L’humanité se trouve à un moment crucial de son histoire », que l’ »Action 21 aborde les problèmes urgents d’aujourd’hui et cherche aussi à préparer le monde aux tâches qui l’attendent au cours du siècle prochain », mais aussi que « La bonne application d’Action 21 est la première et la plus importante des responsabilités des gouvernements. Les stratégies, plans, politiques et processus nationaux sont vitaux pour ce faire. La coopération internationale doit venir appuyer et compléter les efforts nationaux. Dans ce contexte, le système des Nations Unies a un rôle essentiel à jouer. »
Son point 10, Conception intégrée de la Planification et de la Gestion des terres, explicite à lui seul les enjeux. Un nouveau paradigme considère la planète comme un tout unique et indivisible, laissant de côté l’indépendance des Etats. D’ailleurs, la chose est confirmée par le Pacte migratoire[3]qui prévoit de « Gérer les frontières de manière intégrée, sûre et coordonnée » (point 11).
Le point 5 de l’Agenda 21 intitulé « Dynamique démographique et durabilité » reprend la problématique démographique chère aux adeptes du développement durable et de la géonomie. Cet élément est un fil rouge de la gouvernance contemporaine, qui pose sur la table la question d’un eugénisme dit libéral, incluant le principe de l’avortement, du tri génétique et de l’euthanasie.
Plus tôt, dans un essai paru en 1798, Malthus s’inquiétait déjà de l’évolution démographique de l’humanité: « Je pense pouvoir poser franchement deux postulats : premièrement, que la nourriture est nécessaire à l’existence de l’homme ; deuxièmement, que la passion réciproque entre les sexes est une nécessité et restera à peu près ce qu’elle est à présent. Je dis que le pouvoir multiplicateur de la population est infiniment plus grand que le pouvoir de la terre de produire la subsistance de l’homme. »
Coup d’Etat planétaire, 2019
« Si elle n’est pas freinée, la population s’accroît en progression géométrique. Les subsistances ne s’accroissent qu’en progression arithmétique. Les effets de ces deux pouvoirs inégaux doivent être maintenus en équilibre par le moyen de cette loi de la nature qui fait de la nourriture une nécessité vitale pour l’homme ».
Les siècles passent, mais l’obsession de la croissance démographique reste une thématique centrale des travaux des mondes politique et scientifique. La géonomie intègre elle aussi ces inquiétudes et vise à analyser les expansions ou effondrements de populations par les facteurs environnementaux.
Coup d’Etat planétaire, 2019
Ce serait l’accès facilité aux énergies fossiles et au nucléaire (à l’uranium) qui a permis une croissance démographique jusqu’à atteindre les 7 à 8 milliards d’individus (théorie des pulsations). Par conséquent, le jour où ces ressources viendraient à être épuisées, ou leur mise à disposition réduite, la population mondiale, qui devrait alors renoncer aux activités qui en dépendent, reviendrait à des sources d’énergie naturelles (c’est-à-dire précaires), et son effectif se contracterait alors pour redescendre à un niveau estimé à moins d’un milliard d’habitants.
Coup d’Etat planétaire, 2019
La réduction des populations est un thème qui tient une place centrale dans les réflexions menées par l’oligarchie. L’ONU a par exemple pleinement intégré l’évolution démographique dans différents rapports et accords stratégiques planétaires. Une journaliste du Monde, Audrey Garric a relevé que « le fonds des Nations Unies pour la population, UNFPA, a affirmé dans son rapport de 2009 sur l’état de la population mondiale, présenté lors de la conférence de Copenhague le 18 novembre 2009, que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale »[5]. Suite à la publication de ce rapport, la ministre danoise du Développement a par exemple souhaité que la limitation démographique soit reprise dans l’accord issu du sommet sur le climat de Copenhague de décembre 2009.
En Suisse où l’Agenda 21 est pris très au sérieux, le parlement du canton de Neuchâtel a mis en place une loi qui oblige les Etablissements médico-sociaux et les homes –hors des centres de soins palliatifs- à accepter l’aide au suicide. L’Armée du Salut a été sèchement priée de suivre le mouvement. Exit donc les croyances religieuses et autres convictions personnelles. Pour le parlement en question, la liberté de choix des résidents, pas forcément malades, l’emporte sur le règlement des EMS et des homes. Ceci n’est toutefois valable que pour les établissements publics. En revanche, pas de contraintes si vous gérez un établissement privé. Les pauvres ont du coup davantage droit à la liberté de se suicider que les riches !
L’euthanasie, outil démographique de choix, connaît une progression importante dans un nombre croissant de pays, y compris dans la très civilisée Hollande. Grâce à une loi votée en 2002, l’euthanasie connait un boom fulgurant dans ce pays, avec plus de 7’000 personnes à éliminer pour l’année 2017[6]. Les médecins sont tellement débordés par leur nouvelle activité qu’il a fallu en recruter de nouveaux. La chose a suffisamment été banalisée pour que de plus en plus de gens choisissent l’euthanasie sans pour autant être en phase terminale de maladies graves. Le taux de personnes euthanasiées car elles étaient en fin de vie a chuté en quelques années pour passer de 98% à 70%. A méditer…
Dernière information révélatrice de la mentalité ambiante. Selon des études, les Belges seraient favorables à l’arrêt des soins pour les plus de 85 ans. Evidemment que ceux qui ont les moyens de se payer les traitements ne sont pas concernés par une opinion publique chauffée à blanc par les coûts démesurés imposés par les Big pharma, et la privatisation des services publics de la santé…
Une société qui est capable d’euthanasier des personnes dans un cadre médical qui est supposé soigner, interpelle. Philip Nitschke, le médecin fondateur de l’ONG EXIT- international qui milite en faveur de l’euthanasie est une coqueluche des médias. Dans ses interventions médiatiques, il banalise la mort des personnes en bonne santé, mais qui ont dépassé les 70 ans[7]. Et comme le business n’est jamais très loin du système, il vient de mettre au point une boîte-capsule, imprimable en 3D, qui facilite le suicide, et mute ensuite en cercueil. Ces messages portés par les médias populaires, eux-mêmes financés par l’oligarchie, sont autant de messages qui influenceront fatalement les personnes isolées vivant dans la précarité. Economies sur les coûts de la santé, des pensions des retraités, et autres subsides aux handicapés.
Coup d’Etat planétaire, 2019
Je ne peux m’empêcher de faire le lien entre ce qui précède et ce que j’ai écrit en période Covid. Voici quelques exemples:
LHK
Annexes
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https://video.wordpress.com/embed/o1KNzW0L?cover=1&preloadContent=metadata&useAverageColor=1&hd=1
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Source : ns2017
Un des théoriciens de la dépopulation.
Ils avaient à peine la trentaine en 1972 et quel recul et quelle expérience pouvaient-ils bien avoir que n’auraient pas eu des chercheurs européens plus expérimentés. Ça continue de prouver aux yeux ouverts que ce sont les US qui gouvernent l’Europe depuis longtemps.
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme