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Le maire de Nice ne pourra pas obliger à nouveau au port du masque dans les transports comme il l’avait prévu à partir de lundi. Saisi par deux requérants, le juge des référés du tribunal administratif de Nice a suspendu ce vendredi l’exécution de l’arrêté pris par Christian Estrosi le 4 juillet, selon une décision consultée par 20 Minutes.
« Si le port du masque conserve toujours une utilité et est « vivement recommandé » par les autorités de l’État », la juridiction note que « l’existence de raisons impérieuses propres à la commune rendant indispensable l’édiction de la mesure querellée n’a pas été démontrée, le maire ne pouvant, dès lors, exercer son pouvoir de police générale à la place des autorités de l’État ».
Le juge des référés a également estimé que « l’arrêté contesté, qui est d’ailleurs susceptible de concerner des personnes ne résidant pas dans la commune mais devant s’y déplacer, porte à la liberté d’aller et venir et au droit de chacun au respect de sa liberté personnelle une atteinte grave et manifestement illégale ».
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La fin de l’article nous annonce que le taux d’incidence serait particulièrement haut dans les Alpes-Maritimes : 1 379 cas pour 100 000 habitants. Rappelons pour les égarés qu’un « cas » n’est pas un malade. Cela signifie donc, très officiellement, qu’environ 1,4 % des habitants ont un test positif.
Certains peuvent avoir des symptômes, la plupart du temps pas bien graves ; ils n’auraient jamais cru qu’ils étaient « malades » s’ils n’avaient pas fait un test (nous les invitons à se rendre au cimetière de temps à autre pour vérifier s’ils sont morts). Et bien sûr, il y a les 98,6 % de la population qui non seulement n’ont rien, mais auraient un test pour le faire savoir.
Le terrible retour du covid, avec sa énième vaguelette dans un verre d’eau :
– La Rédaction d’E&R –
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