Preuves des mensonges de Zelinsky et des merdias français.
par Christelle Néant.
Le 27 juin 2022, l’armée russe a bombardé une usine transformée en entrepôt militaire à Krementchouk, ce qui a provoqué l’incendie du centre commercial qui se trouvait à côté. Sans surprise, l’Ukraine et les Occidentaux ont accusé l’armée russe d’avoir bombardé directement le centre commercial, sauf que les vidéos filmées sur place prouvent que la version russe est vraie.
Malgré les démystifications systématiques et de plus en plus rapides, l’Ukraine continue de propager de fausses informations sur les « crimes de guerre » de l’armée russe. Après l’énorme mensonge de Boutcha, puis de la gare de Kramatorsk, après les fausses accusations de viols sur enfants démenties par l’ex-médiatrice ukrainienne aux droits de l’homme, voici maintenant l’affaire du bombardement du centre commercial de Krementchouk.
Le 27 juin 2022, l’armée russe mène une attaque aérienne à longue portée contre des entrepôts situés dans l’usine de machines routières de Krementchouk, contenant des armes et munitions fournies à l’Ukraine par les États-Unis et plusieurs pays européens. L’usine en question se trouve aux coordonnées suivantes : 49°04’25.1″N 33°25’37.4″E.
D’après le ministère de la Défense russe l’explosion des munitions qui se trouvait dans l’entrepôt a provoqué un incendie dans le centre commercial désaffecté se trouvant à proximité.
Le jour même le Président ukrainien, Volodymyr Zelensky annonce que des milliers de civils étaient prétendument dans le centre commercial au moment du bombardement, et accuse l’armée russe d’avoir délibérément visé cette infrastructure civile.
Problème, très vite cette version prend l’eau façon Titanic. Les vidéos publiées pendant que l’incendie fait rage montrent très peu de voitures sur le parking, mais aussi une absence totale de femmes et d’enfants ! Comment peut-il y avoir plusieurs milliers de personnes dans un centre commercial avec très peu de voitures devant et sans femmes ni enfants ? C’était le jour réservé aux hommes sans voiture ?
Or, si on regarde sur Google Maps, le centre commercial et plusieurs magasins qui s’y trouvent sont marqués comme temporairement ou définitivement fermés, et il n’y a aucun avis de moins de 4 mois ! En clair, il semble que plus personne ne vient dans ce centre commercial depuis le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine, alors que Krementchouk n’est pas sur la ligne de front. Cela expliquerait pourquoi il n’y avait quasiment pas de voitures et pas de clientes !
De plus, si les vidéos montrent un manque flagrant de femmes et d’enfants, il y a, par contre, beaucoup d’hommes, et surtout beaucoup d’hommes en uniforme militaire et en armes ! Or Krementchouk est loin du front. S’il y a autant de soldats ukrainiens en armes à cet endroit, c’est qu’il y a une infrastructure militaire à proximité !
Or l’armée russe a indiqué que des entrepôts de l’usine voisine ont été transformés en zone de stockage pour des armes et des munitions occidentales ! Et que ce sont ces entrepôts qu’elle a bombardés. Chose que d’autres vidéos ont prouvé sans l’ombre d’un doute.
Ainsi, une vidéo filmée dans l’usine en question montre clairement un beau cratère, prouvant que l’endroit a bien été bombardé.
Or une vue par drone du centre commercial de Krementchouk, et une photo de la façade arrière (photo d’illustration de l’article) montre que ce dernier a brûlé, mais il n’y a pas de cratère d’impact !
Encore mieux, en voulant en rajouter une couche dans le pathos et la désinformation, le faussaire en série Anton Guerachtchenko s’est filmé dans un des magasins (à 44 secondes ci-dessous), et on peut y voir des bouteilles d’alcool en verre parfaitement debout et intactes !
Or, si une bombe ou un missile largué par un avion avait touché le centre commercial, l’onde de choc aurait envoyé par terre toutes ces bouteilles !
Et la cerise sur le gâteau a été la vidéo de caméras de surveillance d’un parc bordant un lac situé près de l’usine.
La vidéo censée prouver que l’armée russe a bombardé le centre commercial de Krementchouk prouve en fait le contraire. En effet si on regarde une carte on s’aperçoit que ce qui se trouve près du parc et du lac (3) c’est l’usine (2) et pas le centre commercial (1) qui est à plus de 400 m de l’endroit que l’on voit être bombardé dans la vidéo.
Sur la vidéo on voit clairement un point de repère facile à identifier : le kiosque qui se trouve sur le lac (entouré en rouge ci-dessous). Or à 17 secondes puis à 43 secondes on voit clairement que c’est la zone entourée en jaune qui est bombardée, et pas du tout le centre commercial qui est à 500 m de là ! On voit même la boule de feu à 1 min 01 et 1 min 21 !
Et si on regarde les dégâts de près, on se rend compte que le centre commercial a brûlé par l’arrière ! C’est-à-dire justement par sa façade qui est face à l’usine !
En clair, l’explosion des munitions situées dans l’usine a projeté des matériaux enflammés sur le centre commercial de Krementchouk, qui a pris feu, et sa destruction n’est pas dû à un bombardement direct de l’armée russe. Un endroit de stockage qui a été choisi à cause du fait que l’usine est directement reliée au réseau ferroviaire (lignes pointillées blanches et grises ci-dessous), très pratique pour transporter des munitions et des armes lourdes !
D’ailleurs une des lignes de chemin de fer visibles sur la carte apparaît sur la quatrième photo du tweet ci-dessus, entre le centre commercial et l’usine.
Cette énième catastrophe est due au fait que depuis le début de la guerre, l’armée ukrainienne utilise des infrastructures civiles ou des zones résidentielles comme zones de stockage, de déploiement ou de tir !
Au lieu de relayer bêtement les communiqués de presse de Kiev sur le fait que la Russie aurait bombardé un centre commercial bondé à Krementchouk, les médias occidentaux feraient bien de souligner qu’installer des unités militaires dans des écoles en fonctionnement, des postes de tir dans des hôpitaux ou des appartements, ou des entrepôts de munitions dans des usines ou des centres commerciaux est une violation de la convention de Genève, et qu’en procédant ainsi, l’armée ukrainienne porte l’entière responsabilité de la destruction des infrastructures civiles qu’elle a elle-même transformée en cibles militaires !
source : Donbass Insider
Source : Reseau International
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