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Campagne de dons Juin 2022
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par Naëlle Markham.
J’ai un scoop pour vous, un vrai de vrai. Il ne s’adresse qu’aux complotistes qui en feront leurs choux gras. Comme je les comprends… J’en fais partie. Quant aux moutons, qu’ils continuent leur sieste bienheureuse, car si par malheur une petite secousse menant à une prise de conscience malvenue venait à déranger leur béatitude, les pauvres, ils ne s’en remettraient pas. C’est bien connu, comme avec un somnambule, il faut prendre toutes les précautions pour éviter un choc.
Pour tous les autres, voici les news : à la louche, nous sommes environ 8 milliards d’humains sur terre et nous allons TOUS mourir.
Ah ? Vous le saviez déjà ? Zut alors, moi qui croyais être la seule à m’en douter… Ben oui, évidemment… Tout comme moi, vous savez pertinemment que seule une infime partie des humains actuels devrait franchir le cap du XXIIe siècle. Donc, grosso modo, dans cent ans, on aura comptabilisé comme morts nos 8 milliards d’humains actuels, MAIS… on reprend son souffle et on se détend : c’est NORMAL.
Mon seul souci, et cela devrait vous interpeller aussi, c’est que parmi ces 8 milliards de morts, trop nombreux sont ceux qui s’en iront ad patres de façon tout à fait inusitée et injuste en comparaison de ce que l’humanité a connu ces derniers millénaires.
En schématisant – je ne veux pas non plus pondre un traité de démographie -, il était une fois des gens qui voyaient arriver leur mort, comme les personnes malades (dans les hôpitaux), les personnes âgées (dans les foyers) ou les suicidaires (sur les ponts) ; et il y avait ceux qui mouraient sans avoir le temps de réaliser l’arrivée de l’instant fatidique. Les circonstances en étaient généralement accidentelles, criminelles ou guerrières. Ah, et aussi quelques maladies très abruptes quant à la liquidation de leurs sujets, d’autant que ceux-ci, pendant des années, auront consciencieusement ignoré tous les signaux d’alerte.
Et puis est arrivé l’an de grâce 2020.
Avec une infection nommée Covid.
Et une cohorte d’injections géniques (garanties sûres et efficaces par contrat. Mais si, puisque je vous le dis. Et puis, ce n’est pas grave s’il est caviardé le contrat) pour en préserver les fragiles humains que nous sommes, oui, si fragiles que nous avons survécu à dix mille générations avant Edward Jenner et Louis Pasteur. Admettons.
Et dans le sillage de ces traitements est arrivée… la « nouvelle » mort.
Avant d’en dire plus, une esquisse de la toile de fond, bien abrégée, je vous le concède.
Plusieurs éléments sont constitutifs de la condition humaine, paraît-il : entre autres, le rire, le langage, la conscience de soi, la tendresse. Personnellement, je ne suis pas convaincue que ceux qu’on appelle les « animaux » ne partagent pas avec nous toutes ces capacités, mais comme je ne suis pas zoo-télépathe, je resterai sur ma faim et imputerai ces aptitudes à l’Humain (avec un grand H), bien des d’humains (avec un petit « h ») en étant totalement dépourvus.
La conscience de sa propre finitude définit donc l’Humain, lui qui sait qu’il va mourir, bon gré mal gré. Pour paraphraser Mathieu, « nul ne sait ni le jour ni l’heure », mais le fait est là, le jour viendra. Ainsi, de tout temps, l’être humain a vécu sa propre existence dans l’optique de cette échéance inéluctable. Des merveilles du monde sont autant d’odes à cette disparition programmée, que ce soient les monuments, la musique ou la littérature. Les plus grandes laideurs aussi sont associées à ce passage obligatoire : au moment de rejoindre le tombeau, des humains, pétris de peur, ont emporté avec eux un maximum de congénères pour leur tenir compagnie.
Fin de la parenthèse. Venons-en maintenant au vif du sujet.
Depuis des mois, il y a pléthore de décès subits, relatés comme tels, sans que jamais personne ne se hasarde à poser les questions qui fâchent. Ces derniers jours, un nouveau syndrome a carrément été porté sur les fonts baptismaux et nommé SADS (Sudden adult death syndrom) ou syndrome de la mort subite de l’adulte, je suppose comme un clin d’œil maléfique à la mort subite du nourrisson (Quand j’ai commencé à écrire ce texte il y a quelques semaines, le SADS était aux abonnés absents sur les réseaux tant il était anecdotique).
En résumé, des adultes entre vingt et quarante ans voient leur vie arrachée et leur mort volée car cette « nouvelle » mort ne respecte plus les règles et ne joue plus le jeu comme auparavant.
Elle arrive à une période de la vie, où elle est censée figurer dans le décor comme une échéance lointaine, très lointaine. C’est plutôt le temps d’étudier, de faire décoller sa carrière, de fonder une famille, de voyager, de profiter de la jeunesse de son corps. Bref, je ne vous fais pas un dessin. En temps normal, la Faucheuse n’a pas l’habitude de traîner ses guêtres trop près des trentenaires. Et de leur côté, ces jeunes adultes estiment, en toute bonne logique, avoir bien assez de temps devant eux avant le jour J. En résumé, ils ne sont ni prêts ni préparés, pas plus que leur entourage, à une disparition prématurée, et statistiquement, en tout cas jusqu’à tout récemment, ils avaient toutes les raisons de ne pas l’être.
Et comme si cela ne suffisait pas, Mme la Faucheuse, cette traitresse, a truqué les cartes (en fait, la tricheuse ce n’est pas elle, mais je vous laisse vous faire votre opinion sur la question). Non contente d’attraper toujours plus de jeunes dans la force de l’âge, en plus, elle en remet une couche (devrais-je plutôt dire qu’elle en remet une dose, ce serait plus de circonstance, non ?) : elle les laisse dans l’ignorance de leur destinée fatale jusqu’au bout, jusqu’à la dernière minute, et même jusqu’à la dernière seconde. Le temps d’un battement de cœur, ces jeunes adultes s’écroulent, morts. Ils n’auront rien vu arriver, pas pu dire un dernier au revoir, partager un ultime câlin ou se réconcilier. Rien. Le « Clap » de fin sonne et, non seulement leur vie leur aura été arrachée, mais ils auront aussi été dépouillés de leur mort. Injuste, n’est-ce-pas ? Je vous avait pourtant prévenus…
Qui est le coupable ? À votre avis ? Dans leur corps, à leur insu, une bombe à retardement a été installée et sa minuterie a bousillé celle que Dame Nature leur avait livrée avec le forfait Naissance. Désormais, le réglage est complètement détraqué et le tictac provoqué par les épines plantées dans tout leur corps fait « boum » sans prévenir, au bout de quelques heures, quelques jours ou quelques mois.
En conduisant…
En pratiquant leur sport favori…
En dormant…
En mangeant…
En se baignant à la plage ou à la piscine…
L’instant d’avant, ils étaient là, occupés à leurs tâches, aucunement malades (voir plus haut – ils ne séjournaient ni en hôpital, ni en foyer et encore moins sur des ponts), et l’instant d’après, ils sont partis pour toujours. Alors qu’ils auraient pu vivre cinquante ans de plus sans souci.
Et ce n’est PAS NORMAL, quoiqu’en dise la propagande. Ne laissez personne dire que c’est NORMAL. Ne croyez pas à une nouvelle normalité. Posez-vous plutôt la question de savoir ce qui a changé dans le décor depuis dix-huit mois.
– Pourquoi ?
– Que font les familles et la médecine légale ?
– Qui manipule cette Faucheuse nouveau genre ?
– Est-ce que ce génocide va s’arrêter un jour ?
– Est-ce que les responsables seront punis ?
Avec en arrière-plan une question lancinante : « Pourquoi ce silence assourdissant ? »
Pour ma part, je vais vous laisser avec une maxime que j’ai appliquée toute ma vie, en toutes circonstances, autant professionnelles que privées : « Quand on commence à se poser des questions, c’est qu’on a déjà les réponses ».
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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